Des étoiles plein les yeux

peines, multiplie par toi et moi mais ne divise jamais par un autre... car je t'aime. [ Inconnu ] Athée pieds. Voilà ma religion. [ Elie Semoun ] Avant de te coucher, regarde a ta fenêtre et les étoiles que tu verras sont les milliers de baisers que je t'envoie. [ Inconnu ] C'est dans la flamme de tes yeux que brûle mon avenir... [ Inconnu ] C'est en regardant le ciel que j'ai compris que je n'étais rien, et c'est en te regardant que j'ai compris que tu étais tout. [ Inconnu ] C'est en regardant le

-Une supernova est l'ensemble des phénomènes conséquents à l'explosion d'une étoile, qui s'accompagne d'une augmentation brève mais fantastiquement grande de sa luminosité. Vue depuis la Terre, une supernova apparait donc souvent comme une étoile nouvelle[1], alors qu'elle correspond en réalité à la disparition d'une étoile. Les supernovas[2] sont des évènements rares à l'échelle humaine : leur taux est estimé à environ une à trois par siècle dans notre Voie lactée. Les télescopes Hubble et

Et des mains vers le ciel plein de lacs de lumière S'envolaient quelquefois comme des oiseaux blancs Mon bateau partira demain pour l'Amérique Et je ne reviendrai jamais Avec l'argent gagné dans les prairies lyriques Guider mon ombre aveugle en ces rues que j'aimais Car revenir c'est bon pour un soldat des Indes Les boursiers ont vendu tous mes crachats d'or fin Mais habillé de neuf je veux dormir enfin Sous des arbres pleins d'oiseaux muets et de singes

voyais tous les jours. «  Qui es tu ? demanda Edward. - Je suis la petite fille de Kim. » Le silence suivit mes mots. Un long, très long silence qui s’ arrêta net par une poutre qui craqua. Je leva les yeux et je vis le trou dans le toit qui laissait apparaître les étoiles brillantes en plein jour. Edward me laissa avancer de quelques pas, pas beaucoup mais suffisamment pour apercevoir les statues de glace. Elles étaient nombreuses, grandes et belles. Elles ressemblaient comme deux goutes d’ eau

grands pieds (bis) Qui sentent le fromage (bis) Si tu les lavais (bis) Que ce serait bien dommage (bis) refrain Que J’aime tes cheveux (bis) En forme de tignasse (bis) Ils me font penser (bis) Aux poils de ma vache (bis) Refrain Que J’aime tes grands yeux (bis) en forme de lucarne(bis) Ils me font penser (bis) Aux fars de ma camionnette (bis) Refrain C'est la mère michelle C'est la mèr' Michel qui a perdu son chat Qui crie par la fenêtr' à qui le lui rendra C'est le pèr' Lustucru qui lui a répondu

(comme, tel, semblable à, etc.). Hypotypose (Féminin): L’hypotypose fait la description d’une chose comme si elle la mettait sous les yeux du lecteur, de façon animée et vivante. Figure privilégiée du genre Démonstratif. Ex: Néron évoque l’arrivée de Junie dans Britannicus(II,2):Cette nuit je l’ai vue arriver en ces lieux, Triste, levant au ciel ses yeux mouillés de larmes, Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes... Métaphore (Féminin) : Comparaison sans outil comparant. Figure

Clair de LuneOn tangue on tangue sur le bateauLa lune la lune fait des cercles dans l’eauDans le ciel c’est le mât qui fait des cerclesEt désigne toutes les étoiles du doigtUne jeune Argentine accoudée au bastingageRêve à Paris en contemplant les phares qui dessinentla côte de FranceRêve à Paris qu’elle ne connaît qu’à peine et qu’elleregrette déjàCes feux tournants fixes doubles colorés à éclipses luirappellent ceux qu’elle voyait de sa fenêtre d’hôtel surles Boulevards et lui promettent un prompt

Gourmont (1858-1915) 7) Ce fut par un soir d’automne publié en 1921 publication posthume par Paul Jean Toulet (1867-1920) 8) J’écris pour que le jour… publié en 1901 extrait du recueil « cœur innombrable » par Anna de Noaille 9) Dans nos yeux bleuts publié en 1957 extrait du recueil « une voix » par Georges-Emmanuel Clancier (1914……) 10) Extase publié en extrait du recueil « Odes »Par Victor Segalen (1897-1882) 11) Heureux celui qui meurt d’aimer publié en 1963 extrait « le fou

prix qu’elle avait réglé sans marchander. Elle n’avait jamais su discuter le prix d’un objet, c’était comme diminuer la valeur de celui-ci à ses yeux. Et maintenant, dans la cuisine, sur la table, elle était là, entre un café à moitié plein (elle n’avait jamais pu finir ses tasses et se demandait encore pourquoi le café était meilleur dans un mug plein qu’elle laissait ensuite traîner ) et un cendrier à moitié vide ( il faudrait bien qu’un de ces jours, elle arrête de fumer). La lumière du néon

2014 A Léane Qui sommes-nous, perdus comme un sanglot d’écume Parmi les fleuves las où saignent nos élans? (Cliquer Ici Pour Le Poème: Le zenith.) A Léane. Par Thierry Cabot Editions ÉLP Au feu de quelle étoile, à l’or de quelle rive, Avons-nous quelquefois réchauffé nos pieds lourds ? Dans quel espace vain flottant à la dérive Et rongé par la lèpre invisible des jours ? Qui sommes-nous, perdus comme un sanglot d’écume Parmi les fleuves las où saignent