Désarmement

la valeur de l’esprit ; ce qui prône leurs différences d’après Hegel. Il arrive donc au constat que la société met en place une hiérarchie qui pervertit l’homme. Par exemple, au moment du désarmement nucléaire, la Russie étant tributaire du blé Américain et autres produits vivriers a été contrainte au désarmement sous peine de ne plus avoir d’approvisionnement de la part des Etats Unis. Ce qui fait valoir l’adage « la fin justifie les moyens » Bien que la question de nature de l’homme soit commune

qualité (nombre de missiles maintenant limité, construction de missiles contenant plusieurs charges nucléaires). → preuve que les accords de la Détente sont + pour s'assurer leur supériorité sur le contrôle de l'arme atomique que pour parler de désarmement. Traités contournés. L'humanité a le pouvoir de se détruire → peur à travers le monde. La crise de Cuba n'as finalement été qu'une mascarade, qu'une « avant-première ». 2. Chute des deux Grands. Il y a ensuite les

rapproche de la Chine qui accueille Gorbatchev en mai 1989. • Vers un désarmement ? Gorbatchev et Reagan entament une série de rencontres (novembre 1985 et octobre 1986). C'est l'occasion de renouer le dialogue d'autant plus que Reagan doit, face à un Congrès hostile, réduire le déficit budgétaire en partie imputable aux dépenses militaires. Le résultat est la signature en décembre 1987 du premier véritable accord de désarmement : le traité de Washington sur les forces nucléaires intermédiaires. Il

France et Italie) décident du destin de l'Europe, qui passe de 18 à 26 États. Les vaincus doivent subir des punitions pour leurs actes. Par exemple, l’Allemagne est l'objet du traité de Versailles (28 juin 1919) qui porte sur ses frontières, son désarmement et les réparations aux quelles elle est tenue. Ce traité est vécu comme un diktat. Les réforment sont non négociables. Les sanctions prises sont extrêmement dures pour l'Allemagne. Elle doit subir la démilitarisation des environs du Rhin, l’indépendance

existe des fragilités internes dans chaque bloc (contestation de l’URSS par la Hongrie et la Tchécoslovaquie, et la France qui sort du commandement intégré de l’OTAN). Les accords SALT (Strategy Arms Limitation Tops) en 1972 sont un politique de désarmement, en 1975, les accords d’Helsinki garantissent les frontières issues de la seconde guerre mondiale. L’échec de la guerre au Vietnam fragilise les Etats-Unis, l’URSS en profite pour avancer ses pions particulièrement en Afrique, on assiste à un regain

des principes suivants : i. ii. iii. iv. v. vi. vii. viii. ix. Le respect du droit de chercher asile et du principe fondamental du non?refoulement devrait être garanti dans toutes les circonstances ; Des mesures pour le désarmement des éléments armés et l'identification, la séparation et l'internement des combattants devraient être prises aussitôt que possible, de préférence aux points d'entrée ou dans les centres de premier accueil/de transit aménagés à l'intention des nouveaux

rapproche de la Chine qui accueille Gorbatchev en mai 1989. • Vers un désarmement ? Gorbatchev et Reagan entament une série de rencontres (novembre 1985 et octobre 1986). C'est l'occasion de renouer le dialogue d'autant plus que Reagan doit, face à un Congrès hostile, réduire le déficit budgétaire en partie imputable aux dépenses militaires. Le résultat est la signature en décembre 1987 du premier véritable accord de désarmement : le traité de Washington sur les forces nucléaires intermédiaires. Il

pays vainqueurs y sont représentés Le pacte signé le 28 avril 1919 crée la Société des Nations d’après les principes du président américain Wilson, exposés en « 14 points » dans un discours célèbre présentant ses idées pour maintenir la paix : désarmement généralisé, respect des libertés (notamment de commerce), respect du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes (chaque nation a droit à un Etat), et rejet de la diplomatie secrète (jugée responsable de la guerre), au profit d’une diplomatie ouverte ;

1991 posant plusieurs conditions à la reconnaissance de nouveaux Etats issus de l’ex-URSS et de l’ancienne Yougoslavie : le respect de la démocratie, des droits de l’homme et des minorités, l’inviolabilité des frontières, le respect des accords de désarmement et de non prolifération, l’engagement de régler par les négociations les successions d’Etat et les conflits régionaux. II. Néanmois, le droit international pose quelques limites à la liberté laissée aux Etats de reconnaître ou non une collectivité

d'une prise de parole des Églises varie beaucoup selon les domaines : L'église intervient majoritaiement sur les « grandes causes » comme le Tiers Monde (76%) ou la discrimination raciale (67%), la paix dans le monde, mais un peu moins pour le désarmement (54%) car le terme relève d' un cadre plus politique. Les questions touchant des thèmes plus économiques et environnementales comme l'écologie et le chomage sont moins abordés par les églises. Les questions apparaissant comme une ingérence