Description Du Personnage De Nana

dérouleront, ni quels personnages y prendront part, ni quels en seront le commencement et la fin. Je connais seulement mon personnage principal, mon Rougon ou mon Macquart, homme ou femme, et c'est une vieille connaissance. Je m'occupe seulement de lui, je médite sur son tempérament, sur la famille où il est né, sur ses premières impressions et sur la classe où j'ai résolu de le faire vivre. C'est là mon occupation la plus importante : étudier les gens avec qui ce personnage aura affaire, les lieux

qu'est réellement le roman , la plume d'un grand écrivain : Chrétien de Troyes . Il écrit des recit de chevaleries , il écrit aussi courtois , (ex : Yvain ou le chevalier au lion , Lancelot au chevalier à la charrette ) ce sont des recit autour de personnages toujours écrit en vers , en octosyllabe mais pour la premiere fois ils sont écrit en langue romane et le théme de roman ne désigne pas un genre littéraire à proprement parlé . Notre premier grand roman s'inscrit au XVI avec Gargantua de Rabelais

second empire, la France était présente en Afrique du nord (d’où les origines de Thérèse) et la révolution industrielle battait son plein. L’importance de cette révolution est retrouvée dans le roman, où Zola choisit de faire travailler trois de ses personnages au chemin de fer d’Orléans (Camille, Laurent et Grivet). On observe aussi des transformations de Paris à cette époque et du paysage urbain. En effet, mille cinq cents architectes, en réhabilitant le centre, ont participés à une nouvelle répartition

réelle fascination chez le lecteur. Ainsi la notion de héros reflète couramment l'attitude d'un personnage qui s'accomplit dans des actes empreints de bon sens et qui est animé par un sentiment de justice. C’est à cause de cela que le lecteur associe, le plus souvent, le héros à l’action, qui est le moteur de l’histoire. D’autre part, les qualités extraordinaires sont souvent les qualités du personnage principal du roman, lequel a presque toujours le statut de héros. Mais ce mythe du héros qui s'est

« un mariage sans messe, on avait beau dire, ce n’était pas un mariage ». Les convives déambulent dans les salles du Louvre et se livrent à des réflexions naïves qui contrastent avec les références esthétisantes de la bourgeoisie installée. Les personnages ne comprennent pas l’art et discutent des apparences matérielles du lieu. La journée se termine mal, en discussions politiques et en querelles sur le prix du repas entre noceurs. De plus, Gervaise entend son surnom, « la Banban », donné par Madame

narratif *** - Situation initiale : elle définit le cadre de l'intrigue (lieu, époque, personnages). Ces éléments sont principalement présentés dans l'incipit (premières pages).Les lieux son présentés dans les deux premières pages. On peut relever le " Boulevard de la Chapelle " et " l'hôtel Boncoeur " (p 1-2). La première indication temporelle se situe à la 4ème page avec l'élection d'Eugène Sue (1850).Les personnages (Gervaise, Lantier et leurs deux enfants Claude et Etienne) dans lesdix premières pages

sont des chefs-d'œuvre littéraires. Il y a des personnages qui vivent les expériences similaires. De plus, Le Père Goriot et L’Assommoir ont beaucoup de thèmes central et similaire. Ces thèmes incluent l’argent, la famille, la lutte et des autres. Mais, l’argent joue un des rôles les plus intéressants dans les deux romans. L’argent porte beaucoup de puissance. Il est au coeur de la catastrophe dans les deux romans. Il colore les coeurs des personnages et ruiné leurs vies. Balzac et Zola mettent l’accent

du naturalisme, se situe au début de l’oeuvre, précisément au chapitre 2. Après avoir été quittée par son compagnon Lantier, Gervaise Macquart, une jeune provinciale, rencontre à Paris, dans une distillerie populaire nommée l’Assommoir, un autre personnage clé du roman, un certain Coupeau, ouvrier zingueur qui tente de la séduire. Zola met en scène son héroïne qui, attendant Coupeau, campe littéralement devant un immeuble, qualifié « d’énormité » et « d’organe vivant » où habitent les Lorilleux.

perçue sans la représentation d'une fin », « Est beau ce qui est reconnu sans concept comme l'objet d'une satisfaction nécessaire ». héros : Personnage principal d'un roman ou d'une pièce de théâtre. Demi-dieu dans la mythologie grecque, homme exceptionnel divinisé à la suite de ses exploits magnifiques, le héros est devenu, en termes littéraires, un personnage qui, s'il ne se distingue pas par des actions grandioses, n'en demeure pas moins chargé d'une mission exceptionnelle : conduire l'action dans

(vers 1860-1890) qui prolonge le réalisme et qui s’attache à peindre la réalité en s’appuyant sur un travail minutieux de documentation et en s’inspirant notamment de la méthode du physiologiste Claude Bernard. Procédés narratifs récurrents : description, focalisation externe, discours indirect libre… Le mot « naturalisme » : Avant de désigner le mouvement littéraire, le terme « naturalisme » a été employé au XVIIIe siècle au sens de « système qui considère la nature comme principe fondamental