Description Ennuyeuses

presse de se marier II) Le mariage d’Emma 1) Charles a) La demande en mariage b) Un personnage médiocre et naïf ->bête et sans ambition c) L’incompatibilité avec Emma 2) Sa fille a) Elle ne l’aime pas b) Ce n’est pas un garçon 3) Une vie ennuyeuse III) Sa mort 1) Les déceptions amoureuses a) Léon b) Rodolphe 2) La ruine a) L'heureux et le maitre Guillaumin b) Justin ou la dernière marche vers la mort 3) Une mort avec une dimension tragique et pathétique a) La scène de la mort

nouveautés entraînantes de la vie de Jeanne puis son retour à la réalité accompagné de ses souvenirs et, finalement, d’une vie triste et ennuyeuse. 1) Lignes 1-18 : résumé du début du livre suivi d’un retour à la réalité puis d’une vision du futur. 2) Lignes 19-30 : comparaison entre le paysage du mois de mai et celle d’octobre. 3) Lignes 31-59 : description du paysage actuel d’automne. 4) Lignes 56-59 : promenade de Jeanne sur le chemin de petite mère. Dans la première partie

Le passage que nous allons étudier correspond à « la rencontre entre Thérèse et Laurent ou la naissance d’une passion ». Il s’agit de l’apparition du désir lors d’une rencontre fortuite pendant une « réception du jeudi », soirée habituellement ennuyeuse pour Thérèse. Mais en quoi cet extrait, correspond-il à un discours descriptif très détaillé de l’expression admirative croissante de Thérèse pour Laurent. Afin de répondre à cette problématique, il est intéressant d’étudier l’importance des

Nana, malgré ses caprices, on l'apprécie et on s'attache à elle. Mais j'ai trouvé qu'il n'y avait pas assez d'actions, de péripéties. Il y a des longues scènes détaillées qui parfois sont un peu ennuyeuses, mais c'est la caractéristique de Zola de bien décrire les événements. Et puis de telles descriptions permettent de voir la vie à cette époque, et dans ce livre on décrit la vie mondaine. La dernière scène du roman où Zola décrit le cadavre de Nana est très bien faite, elle met en opposition le

doué. Toutefois il réussit cependant à passer l'examen d'officier de santé qui permet de pratiquer la médecine. Il s'installe à Tostes. Il épouse (c’est sa mère qui l’y oblige), Mme Dubuc, qui est laide. Sa vie avec celle-ci lui paraît longue et ennuyeuse. Une nuit d'hiver, Charles est appelé à la ferme des Bertaux. Le père Rouault, le maître des lieux, un paysan qui paraît assez aisé, vient de se casser la jambe. Charles trouve sa fille très charmante ; elle s’appelle Emma. Il multiplie les visites

en vers, est a mi-chemin entre un conte et une poésie avec des personnages pittoresques : elle divertit ainsi le lecteur. De plus, l'apologue est un récit court, il évite ainsi les détails inutiles, ainsi que les longues descriptions que le lecteur peut parfois juger ennuyeuses. A ce propos, Voltaire a dit "Tous les genres sont bons, sauf le genre ennuyeux". Le récit est simple, il y a peu de personnages. Il est dynamique et concis. L'auteur utilise toute sorte de systèmes pour dynamiser et simplifier

d'hiver. 1993. Résumé du livre Sylvie et Jérôme sont deux jeunes gens d’une vingtaine d'années issus de la classe moyenne . Il abandonnent leurs études médiocres de sociologie et deviennent enquêteurs pour un institut de sondage. Leur vie est ennuyeuse, ils gagnent peu. Un jour, une enquête les emmène dans la campagne où ils découvrent dans la France rurale une abondance inouïe sur les étalages de marché. Après cette expérience, la vie ne sera pas la même. Ils décident alors de tenter l'aventure

escarpolettes"). Le début de la nouvelle nous décrit le départ pour la journée des Dufour, puis le déroulement des paysages au fil du voyage qui les mène à Bezons. Au long de cette première partie, Maupassant nous donne beaucoup de détails sur la description des paysages que traversent les Dufour. Deuxième partie intitulée "La balançoire" ("Mademoiselle Dufour essayait de se balancer debout...des rires faisaient grimacer diversement"). Arrivées à Bezons, la mère et la fille Dufour se mettent sur la

visionnaire, un observateur impartial de son époque. On découvre cet aspect notamment grâce aux descriptions qui parsèment ses nombreux romans, réunis dans La Comédie Humaine. Bien que de nombreux critiques considèrent ces descriptions comme utiles et bien amenées, d’autres comme André Breton ne partage pas cet avis. Il l’explique d’ailleurs très clairement dans son Manifeste du réalisme : « Et les descriptions ! Rien n’est comparable au néant de celles-ci. Ce n’est que superposition d’images de catalogues

Info extrait: Point de vue omniscient, type de discours description. Quand ? Présent contemporain. Vue du narrateur puis d'un passant. Rupture temporel: Analepse car le lieu change. Nom de l'œuvre = Nom du magasin, éponyme. Nous avons des marques du jugement du narrateur: jaunâtre, blanchâtre et des connotation morbide ---> comparaison « morne «   = les éléments du décor sont soumis au jugement du narrateur. Plans: Une description réaliste Précision spatiales Précision temporelles