Description Realiste Pejorative Du Quartier

service de l’avare père d’Élise, Harpagon, comme intendant et il essaie d’obtenir ses grâces avec de la flatterie et des louanges. (Scène 1) Cléante, le frère d'Élise, avoue à sa sœur qu'il aime une jeune fille pauvre nouvellement installée dans le quartier, son nom est Mariane. Elle est modeste, vertueuse, pleine d’attentions et de respect pour sa mère malade. Cléante voudrait l'aider grâce à son argent, mais il ne peut pas à cause de l’avarice de son père, qu’on apprend être veuf. Élise annonce elle

enfants [qui aient honte de m’appeler leur grand’maman] ]. [S’il fallait [qu’elle me vînt visiter en équipage de grande dame], et [qu’elle manquât par mégarde à saluer quelqu’un du 7 Livre 1.indb 7 09/03/12 14:48 1 La construction de la phrase quartier] ], on ne manquerait pas aussitôt de dire cent sottises. […] Je ne veux point tous ces caquets et je veux un homme, en un mot, [qui m’ait obligation de ma fille], et [à qui je puisse dire] : « Mettez-vous-là, mon gendre, et dînez avec moi. » Molière

enfants [qui aient honte de m’appeler leur grand’maman] ]. [S’il fallait [qu’elle me vînt visiter en équipage de grande dame], et [qu’elle manquât par mégarde à saluer quelqu’un du 7 Livre 1.indb 7 09/03/12 14:48 1 La construction de la phrase quartier] ], on ne manquerait pas aussitôt de dire cent sottises. […] Je ne veux point tous ces caquets et je veux un homme, en un mot, [qui m’ait obligation de ma fille], et [à qui je puisse dire] : « Mettez-vous-là, mon gendre, et dînez avec moi. » Molière

aient honte de m’appeler leur grand’maman] ]. [S’il fallait [qu’elle me vînt visiter en équipage de grande dame], et [qu’elle manquât par mégarde à saluer quelqu’un du 7 Livre 1.indb 7 09/03/12 14:48 1 La construction de la phrase quartier] ], on ne manquerait pas aussitôt de dire cent sottises. […] Je ne veux point tous ces caquets et je veux un homme, en un mot, [qui m’ait obligation de ma fille], et [à qui je puisse dire] : « Mettez-vous-là, mon gendre, et dînez avec moi. »

familière, connue et reconnue, le quotidien désigne un « chez-soi » qui peut être partout. C’est le cadre connu dans lequel, on mène une activité organisée par les habitudes. Le terme quotidien renvoie à notre environnement familier (la maison, le quartier) et à toutes ces choses qui cohabitent avec nous dans cet espace proche : outils, ustensiles, appareils, mais aussi des gadgets, des bibelots, des souvenirs de voyage, des meubles hérités ou chinés. L‘espace du quotidien se dessine autour du corps

avoir un garçon, mais pas n'importe quel garçon" "A son of a gun" (expression équivalente à Son of a bitch (fils de pute !) mais qui a un sens plus admiratif que péjoratif ("quel enfoiré, ... un sacré pistolet !") L'auteur se lance ensuite dans la description d'un jeune homme dont le Monde entier va entendre parler : un type qui armé de grisgris, de talismans, amulettes, fétiches, porte-bonheur, va se trouver investi de pouvoirs qu'il exercera en particulier sur les femmes... Il fait référence ici à

rhétorique guerrière et la vérité. balle-bidon : rime interne. Concentration, peur, dégoût, lâcheté, au travers d’une accumulation de pronoms personnels. P 23 – p 13 Moi d’abord plus remuer : harmonisation du contexte à travers la description de la campagne. Cette description est négative ; il ne l’aime pas, comme une personne. Elle aggrave son cas car dans ce décor, il est obligé de se battre. P 24 – p 14 Cheveux : souligne le totalité de l’être mobilisé complètement pour le combat. cabanon :

finalité est similaire : les aliments étrangers atteignent les résidents. On peut malgré tout se demander si les produits alimentaires vendus aux minorités sont vraiment les mêmes que ceux vendus aux locaux, mais l’immigration et la formation de quartiers étrangers favorisent tout de même le métissage alimentaire. On peut aussi penser que la tradition du marché (communes à de nombreux pays dans le monde, en France comme dans les pays d'Afrique) a peut être favorisé ces échanges ; l'habitude d’acheter

 18-19 Problématique de lecture Peut-on voyager à la rencontre de l’autre en lisant des fictions littéraires ? • « Comprendre comment une œuvre met en tension les expériences individuelles et les questions collectives. » CONNAISSANCES • La description de l’autre dans une fiction littéraire. • Ses visées argumentatives implicites. ATTITUDES • « S’intéresser à l’expérience d’autrui comme élément de l’expérience universelle. » De voyages en rencontres 15 Pour la lecture analytique et comparative

primitif de barbarie. Dans cette thèse, le terme « autochtone » est employé quand cela est possible. Néanmoins, le terme « sauvage » (dérivé du mot latin « selvaticus » qui signifie celui qui appartient à la forêt) sera souvent utilisé sans valeur péjorative, avec la valeur conceptuelle qu’il a au XVIIIe et pour rendre plus clairs les arguments de notre étude, surtout quand il s’agit des références directes aux écrivains et aux penseurs que nous étudions. Par exemple, dans les discours sur les conceptions