Descriptions Des Personnages Dans La Bete Humaine

jeune paysan. Nous nous demanderons comment ce récit transmet une vision cruelle de l'Homme. Nous évoquerons tout d'abord l'art de la nouvelle : sa construction, particulièrement travaillée, vise à produire un effet. Puis, nous montrerons que la description mêle les registres et révèle une vision de l'Homme assez sombre.Dans « Coco », le récit est très élaboré, dense et organisé en vue d'une fin saisissanteEn effet, ce récit d'une histoire banale est structuré et

angoissant. En effet, on retrouve plusieurs indices qui témoignent d'une mort brutale entre les deux personnages tel que la présence du passsé simple qui montre que l'action se déroule de manière vive "il y eut" "retrouva", la scène est marquée par la rapidité puisque la fonction du passé simple est de marquer une succession d'actions brèves. La chute commune fait figure dans l'extrait puisque les personnages sont caractérisés par une fatalité "amicale": "vécu en frère" "effroyable embrassade", ils sont

fantastique ? S'agit -il d'un conte gaillard (ton comique et farcesque) ou plutôt d'une histoire tragique ? Pré-requis : -fonctionnement et rôle de la description, points de vue narratifs et organisation du récit - les niveaux de langue et les indices du langage familier. Durée : 3 semaines (11 séances d'une heure + une évaluation de 2h). Le contenu proposé dépasse parfois la durée d'une heure. Un effort

relèvent beaucoup de choses. Il filme leur temps, leur vie en zoomant et en fait de véritables tableaux. On peut même penser à certains tableaux d'impressionnistes tellement la description est poussée et précise. On peut donc dire que ce roman s'attache au naturalisme parce qu'il essaie de ns faire comprendre les personnages dans leur milieu. ¨Voilà quelques idées. Si j'étais toi, je lirai en profondeur sur quelques moteurs de recherches "le naturalisme" tu pourrais ainsi compléter ce que tu as commencé

2nde p. 339  Une écriture scientifique - E. Zola, Germinal, I, chap. 4, « le travail dans la mine », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « Dans la nuit fumeuse » - E. Zola, Thérèse Raquin, 1868 - E. Zola, « Ébauche » de La Bête humaine, 1890 ; Littérature 2nde p. 170-171 - Zola, L’Assommoir,  Une écriture métaphorique - E. Zola, Germinal, « Une mine de charbon en 1885 : le Voreux », 1885 - E. Zola, Carnet de Notes, Dans les corons, « La descente » Documents complémentaires :

mouvements. L'éloignement du point de vue. La focalisation est d’abord centrée sur le personnage du comte : on sait qu'il a appris la trahison, et le début du texte (paragraphe 1) où l'eau des averses qui mouille son visage évoque les larmes, et où la tempête fait écho au tumulte de son coeur, suggère sans ambiguïté les sentiments du mari bafoué, à travers les éléments naturels. Au paragraphe 2, la description du paysage comporte des connotations féminines (le val de Vaucotte ouvrait sa gorge profonde)

c’est celui que vous trouvez dans les églises, qui enseigne les valeurs de la paix et l’amour. Mais non, celui-ci présente des aspects abominables de la nature humaine. C’est ce que nous verrons dans les 4 principaux axes que j’ai relevés. Pour commencer, nous pouvons étudier la façon dont l’auteur met en évidence la terreur du personnage. Une première lecture suffit à faire ressortir la violence et cruauté du prêtre. Pour cela, l’auteur a utilisé

| | |Emile ZOLA La Bête humaine | |(1840-1902) « L'agonie de la Lison » (chap. X) | |romancier

son père : Veut vivre de son écriture, refus du père. Tentative de suicide. → La métamorphose, écrit pendant une crise familiale. I/Une description du monstre : un texte fantastique 1)L’énonciation → Point de vue interne (intéressant, réflexion), 3ème personne => distanciation, mais on comprend que ce sont ses pensées. « il » devient « je » → le personnage se dédouble Il se voit d’un point de vue externe (transformation, chambre, extérieur), il essaye de sortir de sa condition (symboliquement)

donc de comprendre l’histoire. Par exemple dans La Bête Humaine Zola décrit parfaitement l’appartement de Séverine et Roubaud au moment de la dispute ; on s’imagine l’action comme dans un film. De même il décrit la Gare du Havre qui existe en réalité. Aussi, l’écrivain va copier le comportement de vraies personnes pour les assimiler à ses personnages afin que le lecteur puisse s’identifier à l’un d’eux, comme la folie de Jacques dans La Bête Humaine. Puis, l’écrivain peut également décrire un métier