Désenchantement du monde

le ciel de la nuit. Son éclat n’est pas seulement lié à son accession au pouvoir suprême : il est inné. Fût-il d’origines plus « obscures » (315) - terme antithétique de ceux exaltant l’éclat de Titus - que son ascendant sur le monde eût été immédiatement évident :« Le monde en le voyant eût reconnu son maître ». Ce vers sera d’ailleurs appliqué à Louis XIV, le Roi Soleil, et l’assimilation est aisée. La force du pouvoir de droit divin tient pour une bonne part dans le spectacle qu’il donne de sa

(maintenant c’est le pouvoir du cœur et de l’âme)· Chateaubriand exalte la beauté de la religion chrétienne· Avant on utilisait pas « je » car c’était interdit par la religion car c’était synonyme d’orgueil (1 des 7 péchés capitaux)· Révolte et désenchantement, ils ne sont pas bien dans leur siècle· Julien Sorel = Napoléon, il cache son amour pour Napoléon car c’était un prêtre, mais il faisait des églises à son nom (église Sainte-Napoléon)· La société est cupide et stupideXIX : la société, l’histoire

Changer l’orientation du regard (de âme) --> touche l'être Dessiner le chemin philosophique --> Perception et raison Monde de la caverne, monde du corps Valorisation de l’intelligible chez Platon Perception lacunaire --> on ne perçoit jamais les six faces du cube Abstrait /Concret Ce qui est abstrait à une plus grande valeur pour Platon --> Sortie du monde concret/visible --> Théorie de la ligne de la connaissance (Livre 6) Allégorie quatre stades - en dehors de la caverne

heureux de pouvoir jouer avec le browning nickelé qu’il m’avait aussi donné J’étais très heureux, insouciant Je croyais jouer au brigand Nous avions volé le trésor de Golconde Et nous allions, grâce au Transsibérien, le cacher de l’autre côté du monde Je devais le défendre contre les voleurs de l’Oural qui avaient attaqué les saltimbanques de Jules Verne Contre les khoungouzes, les boxers de la Chine Et les enragés petits mongols du Grand-Lama Alibaba et les quarante voleurs Et les fidèles

parfaitement conscient que ce meurtre ne lui apportera pas le salut, et ne compensera pas l’échec cuisant de son action politique, et de son projet révolutionnaire. → Comme la plupart des héros romantiques, Lorenzaccio a fait l’expérience du désenchantement. Il a perdu toutes les illusions. Mais à travers son tyrannicide imminent, il tente de limiter les dégâts, en préservant une certaine unité de soi-même, ce fil qui le rattache à celui qu’il était autrefois : « Il ne se bat pas pour des idées,

telle enseigne qu’elle conditionne les esprits tout en démystifiant le mystique, mais aussi en construisant les mondes nouveaux à partir des anciens. Lorsqu’on aperçoit dans son immédiateté le contexte colonial, il est patent que ce qui morcelle le monde c’est d’abord le fait d’appartenir à telle race ; à telle communauté. A partir de ce contexte, l’on pourrait parler de littérature trilogique ; ou mieux encore d’une littérature basée sur trois plans à savoir une littérature colonialiste (celle qui

qu’animent les principes de la Sainte-Alliance, les ultraroyalistes remettent en cause les conquêtes de la Révolution et de l’Empire. La bourgeoisie libérale, positiviste et matérialiste, forte des progrès scientifiques, préside à l’éclosion d’un monde nouveau. Le moderne s’oppose à l’ancien. En art, le classique s’oppose au romantique. La France s’ouvre aux influences européennes. Perdue entre les deux, la jeunesse est plongée dans « le mal siècle », fuyant le présent et la réalité en se réfugiant

Allemagnes ne semble plus pouvoir être contesté. Les accords éco leur ouvrent l’accès aux céréales ainsi qu’aux technologies de pointes dont le monde communiste a besoin pour rivaliser avec l’ouest. Face à la Chine, Brejnev n’hésite pas à utiliser une politique de confrontation mais refuse d’aller àla guerre. Il joue une politique très active au près du Tiers Monde (en Inde, en Algérie, à Cuba et à Madagascar). b) ….qui cache mal la sclérose croissante et les problèmes de l’URSS. 1) Un échec

n’importe quelle absurdité et les gens vont le croire parce qu’ils ne savent pas encore que la médecine se lie à l’Argent chez lui. C’est donc un personnage en quelque sorte dangereux, rien ne peut arrêter sa force. Il a très bien compris que le monde appartient désormais aux audacieux qui savent voler l’argent des autres. C’est l’homme d’affaires du XXème siècle. Les idées scientifiques  Éliminer l’ancienne médecine.  Un savoir psychologique et psychanalytique qui lui permet de pénétrer

pleinement. Car par le choix de la conduite à risque, l’homme se rend à nouveau maître de lui-même, domine sa vie, la joue à sa guise et échappe par-là à ce qui l’entrave, l’étouffe : l’ennui, la surprotection des sociétés modernes, le désenchantement d’un monde totalement balisé, cette existence trop bien programmée qu’évoque Caillois, où le risque réintroduit une part d’incertitude et d’aléas. Paradoxalement, le jeu avec le danger est présenté, du moins par les deux essayistes- comme une école