Dette intérieure

(Lehman brothers par exemple), la crise des crédits (crédit crunch) et de graves difficultés pour les entreprises industrielles et commerciales. Tout d’abord, la crise peut toucher l’économie réel à travers le phénomène de la déflation par la dette (analysée par I Fisher en 1933) ; plus les débiteurs liquident leurs actifs, plus les prix des actifs baisent et donc plus la valeur réelle des dettes restantes augmente. Puis, on constate un ‘’effet de richesse’’ : la dévalorisation par le krach des

justement de prévenir par l’idée d’une unité monétaire commune internationale. Ce phénomène d’instabilité a été amplifié par la mutation des institutions qui avaient été mises en place à l’époque, le FMI et la Banque Mondiale. À partir de la « crise de la dette » de 1982, elles se transformèrent en instruments d’une libéralisation financière et économique toujours plus poussée au service d’une idéologie néo-libérale dont le « Consensus de Washington » reste aujourd’hui le plus connu des symboles3. On peut

ou moins la « constitution » bien que nous n’avons pas de constitution européenne. L’union a pour but de promouvoir la paix, ses valeurs et le bien-être du peuple. L’union offre à ses citoyens un espace de liberté, de Justice sans frontières intérieures. L’union établit un marché intérieur. Les échanges de marchandises s’effectuent librement, liberté de circulation des personnes, des capitaux et des services. Les actes :  Acte unique européen, entré en vigueur le 1 Janvier 1987. C’est

Les libéraux postulent que les dépenses publics entraînent un effet boule de neige, cumulant les déficits et accentuant la dette. Il faut donc diminuer drastiquement les dépenses de L'État. C'est pour cela qu'ils parlent de « soutenabilité » de la dette. J-P Fitoussi, en tant qu'économiste keynésien, conteste les libéraux. L'État n'a pas l'obligation de réduire sa dette, comme les ménages. Il peut léguer des dettes aux générations futures, dettes qui représentent l'investissement d'éducation,

assez limitative. Face à la crise d’endettement international des années 1980, le Maroc s’est engagé, à l’instar de nombreux Pays en Voie de Développement à appliquer des politiques d’ajustement structurel en contrepartie du rééchelonnement de sa dette. Ces politiques d’essence libérale, axées sur une réduction du rôle de l’Etat, la déréglementation, la libération du commerce extérieur, la réduction des dépenses de l’Etat et la mise en place de politiques anti-inflationnistes et de promotion des

les effets de la flambée du cours du pétrole sur le niveau général des prix. Dans le domaine des finances publiques, les recettes ont enregistré une progression de près de 12% qui a concerné les principaux impôts à l’exception notable de la TVA intérieure. En regard, les dépenses se sont inscrites en expansion de près de 14%, sous l’effet de l’alourdissement des charges inhérentes à l’opération de départ volontaire à la retraite et au soutien des prix des produits pétroliers, les dépenses d’équipement

internes : spécialisation des démocraties populaires ; les achats à l’Ouest vont devenir de plus en plus onéreux. Endettement des pays du CAEM pour pouvoir continuer à acquérir les produits à l’Ouest. Endettement auprès de la banque mondiale, du FMI. Dette tchèque multipliée par douze entre 1970 et 1980. Ces régimes n’ont aucun scrupule à avoir recours à ces structures qui sont le symbole de l’économie de marché. Resserrer les échanges, en particulier pour les matières premières, les céréales, le pétrole

globale. 3 La compétitivité globale devait être approchée par un ensemble de critères permettant d’apprécier l’évolution des fondamentaux économiques (compte courant, balance commerciale, balance des paiements, déficit budgétaire, investissement, dette extérieur, taux d’inflation, taux d’intérêt, etc.), de la compétitivité prix et hors prix des différents secteurs, du climat social et des échanges extérieurs. Cette analyse globale devait être affinée par une analyse comparative de la compétitivité

ont été souvent exprimés dans la deuxième partie de l'année 1995, la plupart des problèmes économiques et sociaux qui s'attachent à une dépense publique excessive n'ont malheureusement pas été soulevés à cette occasion. La nécessité de réduire la dette et les taux d'intérêt a été évoquée à juste titre, mais non les bienfaits intrinsèques d'une dépense modérée. L'idée keynésienne qu'un freinage excessif des dépenses publiques nuirait à la croissance n'a pas été abandonnée, alors même que la situation

de souris sur une référence qui les suit, comme [1], ou sur le lien qui le souligne, comme la théorie monétariste ; Pour que les justifications des nombreuses affirmations concernant l'économie soient accessibles d'un clic sur une référence comme "Dette trimestrielle de Maastricht des administrations publiques" [103] ; Pour que des détails techniques comme [24] soient en annexe pour alléger le texte. Bien que sa mise en page permette une impression propre sur papier, il est conseillé de le parcourir