Dette Publique Maroc

Equation d’équilibre sur le marché des biens et des services : Y + M = C + I + G + X Soit Offre Globale (Y + M) = Demande Globale (C + I + G + X) avec : Y =PIB, M = Importation de B et S, C = Consommation finale, I = Investissement, G = Demande publique, X = Exportation de B et S. Il s’agit de l’économie en équilibre ouverte avec prise en compte de l’Etat. Tout ce qui est produit sous forme de richesse est distribué sous forme de revenus et tout ceux-ci sont dépensés : Y = C + S + T S = Epargne

public (théorie Keynésienne) Endettement public : à quoi ça sert ? Soutenir l’économie en cas de besoin Financer des grands projets d’infrastructure Financer les déficits des comptes publics Equation vertueuse : Réduction dépenses publiques + réforme structurelles baisse endettement public = marge de main d’œuvre Cercle vicieux : Déficit public Hausse des dépenses Baisse des revenus Hausse des impôts Moins de croissance/chômage Perte compétitivité

mêmes fluctuations, les mêmes variations, les taux d'investissement perdent plus d'un % et les taux d'intérêt perdent 3% en un an, la crise du SME, (système monétaire européen) le manque de confiance, l'impossibilité pour la France d'augmenter sa dette publique (obligation des signataires de Maastricht) font qu'elle ne peut relancer sa politique économique et donc investir. On remarque une augmentation des deux taux en 1994, mais elle sera de courte durée car dès 1995, on constate un effondrement des

Mme Paula Risikko Ministre du Travail: M. Lauri Ihalainen Ministre du Commerce extérieur et des Affaires européennes : Mme Lenita Toivakka Données économiques Principaux indicateurs économiques (2013) Indicateurs PIB Déficit public en % du PIB Dette publique en % du PIB PIB par habitant Taux de croissance Taux d’inflation Taux de chômage Finlande France 193 Mds EUR 2061 Mds EUR 2,2 % 57 % 35 345 EUR - 1,4 % + 2,2 % 8,2 % 4,3 % 92,7 % 32 355 EUR + 0,9 % + 1,5 % 11,5 % Sources : Ministère des

création monétaire ? (cas où il y a une seule banque) Tout simplement avec une écriture : Actif Banque Passif Crédit à Durant ………………………………………………….1500 | DAV (=dépôt à vue) de Durant ……………………….1500 | Pour cette écriture : on a une dette à l’égard de cette banque. Càd ici que Mr Durant a sur son compte 1500€. Mr Durant doit 1500 en contrepartie de cette création monétaire. La créance de la banque est appelée la contrepartie. Cette monnaie apparait au passif, dans la rubrique du bilan

de convergence sous-régionale édictés par l’Union économique et monétaire ouest-africaine (UEMOA), à savoir le solde budgétaire de base supérieur à 0% du Produit intérieur brut (PIB) ; le taux d’inflation annuel inférieur à 3% ; l’encours de la dette publique inférieur à 70% du PIB et la non accumulation des arriérés extérieurs et intérieurs. Mais le ministre fait-il semblant d’ignorer que derrière ces performances trompeuses et qui ne sont que « de la poudre aux yeux » se cache une atroce réalité

déficit (et donc la dette publique). Selon les dernières estimations 1680 milliards d'euros de dettes pour l'Etat français. Déficit publique (aujourd'hui 160 milliards d'euros) = différence entre les recettes et les charges. Critères de Maastricht: ils permettent aux pays européens de converger vers la monnaie unique. Pour cela on a imposer des critères de convergence aux Etats européens: taux d'inflation inferieur a 3%, dette publique inferieur a 60% PIB et déficit publique inférieur a 3% du PIB

Il est nécessaire de définir ce qu’est la dette, afin de bien comprendre ce que cette notion recouvre ; il s’agit de la dette brute de l’ensemble des administrations publiques françaises, qui représente les engagements financiers sous forme d’emprunts pris par l’Etat, les collectivités territoriales, et les organismes publics français. Il s’agit du montant total des emprunts. Il existe une autre définition de la dette ; la dette au sens de Maastricht. D’après les articles 104C et 209E du traité

répondre aux directives de Bruxelles en matière de déficit (inférieur à 3%), la Grèce avec l’aide de Goldman Sachs ont utilisés des instruments financiers complexes comme ceux à l’origine de la crise des subprimes pour dissimuler l’ampleur de sa dette pendant une dizaine d’années. Cela a été faisable puisqu’on n’a une élite qui est corrompu, l’économie souterraine a des proportions de véritable fléau et est estimée à environ 20% du PIB réduisant ainsi considérablement les recettes fiscales. La

de l’ALENA, suppression progressive des droits de douanes. 2007- Crise des Subprimes, baisse de la valeur du dollar (1€ = 1.45$ en 2007) 2010- remontée du dollar (1€ = 1.36$), dévaluation de l’euro suite à la dégradation de la notation de la dette publique grecque. Le dollar est aussi le symbole d’un impérialisme, domination d’un état sur un ou plusieurs pays, et d’une mondialisation à l’américaine largement critiquée par ceux qui en subissent les effets.