Deuil national

de lui. La phobie scolaire est souvent liée à une peur ancienne de la mort et de la séparation, quelquefois réactivée par un traumatisme plus récent : pour le professeur Marcel RUFO, pédopsychiatre, «cette pathologie se déclare souvent suite à un deuil survenu dans l’entourage de l’enfant. Celui-ci réagit alors comme s’il y avait une possibilité qu’en sortant de chez lui, ses parents et lui risquent de mourir. » (La revue des Parents, décembre 2002 : la phobie scolaire). Quelles sont les conséquences

désespoir, jusqu’à ce qu’on accepte finalement que l’on a tout tenté. On abandonne. On abandonne et on accepte. Le chagrin peut être une chose que l’on a en commun mais il est différent pour tout le monde. Il n’y a pas que la mort dont on fait le deuil, de la vie, d’une perte, d’un changement. Et on se demande pourquoi ça bloque autant parfois, pourquoi ça fait tant de mal mais la chose dont on doit se souvenir c’est que ça peut changer. C’est comme ça qu’on reste en vie, quand ça fait si mal, qu’on

tunnel noir. La lumière s'infiltre dans notre coeur, chassant peu à peu les ténèbres. La vie nous semble de nouveau « belle ». Pour l'enfant de Dieu, sa foi est revigorée. Tu as changé ma plainte en danse de joie, tu as ôté mon vêtement de deuil; tu l'as remplacé par un habit de fête… Psaumes 30.12 De l'hiver, même s'il n'oublie pas l'âpreté il ne ressent plus la rigueur. Le divin Maître l'a consolé. La douleur a labouré l'âme et elle est prête à recevoir la semence divine. Dieu fait

EVOCATION DU THEME DE LA MORT a/ présence le la mort - perçue dès le titre avec « enterrement » repris au vers 1. Mise en évidence de la mort à la rime vers 1 et 9 -symboles traditionnels « noir », « blanc », l’habit de deuil « crêpe ». Coutume « prendre le deuil ». Métaphores « automne » et « soir » -vision choquante « histoires de cercueils », une vision crue - rythme lent, comme une démarche funèbre lente, comme les escargots qui sont des animaux lents, et l’absence de ponctuation -

Carpe Diem, Baudelaire, Remords Posthume Remords posthume : post = après, hume = mort.Titre ironique : on ne peut pas avoir du remord une fois que l’on est mort.Il s’agit d’un sonnet avec rime ABBA ABBA.Les rimes féminines « embrassent » les rimes masculines.Forme de domination de la femme ?1 : En quoi ce poème appartient-il au carpe diem ?Sentiments de vie : « remords » (v.14), « peureuse » (v.5), « aventureuse » (v.8).Beaucoup d’ironie.« Ce que pleurent les morts » (v.13).Des actions de vivants :

où il parle des sentiments amoureux que l’on peut éprouvé lors d’une rencontre passagère d’une femme sur un trottoir. Mais aussi C.Orléans dans « Ballade du premier jour de mai » qui lui parle de l’amour mais d’une manière plus triste a travers le deuil, il met en relation la perte douloureuse d’un être cher et qu’il n’arrive pas a oublier avec le 1er mai qui est le jour des mariages. On peux également trouver sous le ton humoristique grâce au temps verbaux ( vous me plûtes , vous vous tussiez, je

ouverture sur un autre sujet proche tout de même de celui-ci. OU BIEN, autre plan pour ce sujet : 1) La souffrance est parfois necessaire pour la poésie a) Certaines caractéristiques - l'élegie → permet de célébrer les malheurs, le deuil, l'amour perdu - la souffrance, la tristesse : théme récurrent - utilisation du lyrisme pour exprimer ses sentiments - les sonorités b) Dans cette sous-partie je voulais parler de Beaudelaire qui dit que le poète

enfant. De plus elle fait des hyperboles et glorifie la façon d’être de son fils : elle le considère au Christ ou à un saint. Cette manière de parler est peut être expliquée par la tristesse de l’aïeule et sa solitude qui va commencer dès ce jour. Ce deuil est alors compris par tous les témoins présents ce jour. À la dernière strophe, Victor Hugo utilise l’ironie pour marquer l’abus de pouvoir de Napoléon Bonaparte en l’appelant « Monsieur Napoléon »et en vantant ses diverses richesses. Il montre

qui on peut se confier et tout dire : l'amitié, c'est le partage - entends-tu : l'auditeur est sollicité, interpellé - vol : allusion aux stukas qui ont bombardé de mai à juin 40 (exode, civils mitraillés) - noir : uniforme des SS ( noir, mort, deuil) - corbeaux : oiseaux très antipathiques, charognards auquel sont comparés les allemands qui pillent le pays, les nazis et la Gestapo qui terrorisent ( impression de menace) - nos : chez nous (rappel de l'occupation) - plaines : impression de nudité

Depuis la nuit des temps, les tres vivants ont connu la souffrance. Cette etape est inevitable dans la vie d’un individu. Si les animaux ne peuvent exprimer pleinement leur souffrance, les humains quant a eux, ils le font. La souffrance se manifeste comme suite: la souffrance physique, la souffrance affective, la souffrance sociale et la souffrance personnelle. Selon les psychologues, une personne connait seule sa souffrance. Elle est seule a la porter et seule a vivre avec. La souffrance est