Deuxième Promenade Les Rêveries Du Promeneur Solitaire

jadis surprise, disait-on, entre les bras d’un carabinier ; d’autres, d’autres encore, Spontini, le pion féroce, avec son cou-teau corse qu’il montrait rouillé du sang de trois cousins, le petit Chantecaille, si bon enfant, qu’il laissait fumer en promenade ; jusqu’à un marmiton de la cuisine et à la laveuse d’assiettes, deux monstres, qu’on avait surnommés Paraboulomenos et Pa-ralleluca, et qu’on accusait d’une idylle dans les épluchures. Ensuite arrivaient les farces, les soudaines évocations des

surprise, disait-on, entre les bras d’un carabinier ; d’autres, d’autres encore, Spontini, le pion féroce, avec son couteau corse qu’il montrait rouillé du sang de trois cousins, le petit Chantecaille, si bon enfant, qu’il laissait fumer en promenade ; jusqu’à un marmiton de la cuisine et à la laveuse d’assiettes, deux monstres, qu’on avait surnommés Paraboulomenos et Paralleluca, et qu’on accusait d’une idylle dans les épluchures. Ensuite arrivaient les 50 farces, les soudaines

jour, un seul jour, / Peuvent arriver (v. 35-36) ; – de l’aide à envisager par l’entremise de Gétas (v. 30) : pour les affaires, / Il a une expérience des plus complètes (v. 31-32). 2. Première phase : l. 2-8, Harpagon s’interroge sur le voleur. Deuxième phase : l. 9-17, il est désespéré et s’apitoie sur la perte de son pauvre argent (l. 11). Troisième phase : l. 17-38, il enrage contre sa famille et le public, et décide de faire appel à la justice. Mise au point 3. Phrases interrogatives (l.

écrit comme une musique hâtive, furtive, qui épouse le halètement du siècle, nourri par ses propres inventions comme par des fragments de traditions expatriées." A. Meddeb, Phantasia, p. 164. Du titre : Phantasia : une lecture rapide de ce deuxième titre d'Abdelwahab Meddeb risque de ne retenir que le mot français, dérivé de l'arabe moderne, fantasia : démonstration équestre de cavaliers arabes ; ainsi se trouverait occultée la différence orthographique par la correspondance phonétique.

trouva «l’air mauvais». Mais, partagé entre «les yeux clairs de Catherine» et «ce dieu repu et accroupi, auquel dix mille affamés donnaient leur chair, sans le connaître», «il voulait redescendre dans la mine pour souffrir et se battre» (page 71). Deuxième partie Chapitre I : Dans leur domaine de la Piolaine, les Grégoire, bourgeois «dormant beaucoup avec passion» (page 73) vivaient le bonheur des propriétaires. «La fortune des Grégoire, quarante mille francs de rentes environ, était tout entière

«_l’air mauvais_». Mais, partagé entre «_les yeux clairs de Catherine_» et «_ce dieu repu et accroupi, auquel dix mille affamés donnaient leur chair, sans le connaître_», «_il voulait redescendre dans la mine pour souffrir et se battre_» (page 71). Deuxième partie Chapitre I : Dans leur domaine de la Piolaine, les Grégoire, bourgeois «_dormant beaucoup avec passion_» (page 73) vivaient le bonheur des propriétaires. «_La fortune des Grégoire, quarante mille francs de rentes environ, était tout entière

trouva «l’air mauvais». Mais, partagé entre «les yeux clairs de Catherine» et «ce dieu repu et accroupi, auquel dix mille affamés donnaient leur chair, sans le connaître», «il voulait redescendre dans la mine pour souffrir et se battre» (page 71). Deuxième partie Chapitre I : Dans leur domaine de la Piolaine, les Grégoire, bourgeois «dormant beaucoup avec passion» (page 73) vivaient le bonheur des propriétaires. «La fortune des Grégoire, quarante mille francs de rentes environ, était tout entière

la validation du socle commun de compétences. C1 La maîtrise de la langue française 1 Lire Le narrateur choisit de nous faire partager le début de son amitié avec une jeune fille nommée Marie. L’évocation de ce souvenir le plonge dans une douce rêverie, lui rappelant que rien, depuis, ne lui « tint le cœur plus chaud » (l. 4-15). 14 6239_001_224.indd 14 16/08/12 12:36 2 Lire Le narrateur éprouve un grand bonheur à l’évocation de ce souvenir. Pour exprimer ses sentiments, il utilise des phrases

......106 XIII QUELQUES CHIFFRES ...................................................115 XIV LE FLEUVE-NOIR ........................................................... 123 XV UNE INVITATION PAR LETTRE..................................... 138 XVI PROMENADE EN PLAINE ............................................. 150 XVII UNE FORET SOUS-MARINE ........................................ 157 XVIII QUATRE MILLE LIEUES SOUS LE PACIFIQUE ....... 166 XIX VANIKORO ............................................

perchés au sommet des mâts, scrutant ardemment l’étendue immense, le vaisseau offre une image toute différente de celle des long-courriers. « Des courants et de la pêche à la baleine. » Expéditions d’explorations faites par les États-Unis. Les promeneurs des banlieues de Londres, ou d’ailleurs, se souviennent peut-être d’avoir vu fichés en terres d’immenses os recourbés, soit pour former une arche au-dessus d’un portail, ou l’entrée d’une tonnelle, et peut-être leur aura-t-on dit que c’étaient