Deuxième Promenade Les Rêveries Du Promeneur Solitaire

qui concerne la prose, il faut souligner deux courants différents : En premier lieu, un groupe d’écrivains, appelés plus tard « écrivains philosophes » parmi lesquels se trouvent Voltaire, Diderot et Rousseau. En deuxième lieu, face à ces philosophes et prosateurs, on trouve un deuxième groupe d’écrivains, les libertins, c’est-à-dire, les partisans de la liberté. Parmi ce group se trouvent Retif de la Bretonne, Le marquis de Sade, Chloderlos de Laclos et Crébillon (fils). Il y a aussi des écrivains

sculptures, dessins d’artistes romantiques ; enfin la dimension européenne du mouvement est mise en évidence par la présence de textes et d’œuvres d’auteurs tant français qu’anglais ou allemands. Quatre exercices autocorrectifs Une fiche méthode Une deuxième fiche méthode vous donneront l’occasion d’exercer vos talents poétiques, à l’oral et à l’écrit, et de continuer à vous entraîner pour l’exercice de commentaire récapitule les dates et aspects essentiels du Romantisme. rappelle la méthodologie

Littérature  et  Culture  3     Le  XIXe.  Siècle     Belén  A.  Pañeda  Sempere.  LMCC   INDEX 1.Introduction 2. Premier Romantisme -René (Chateaubriand) 3. Deuxième Romantisme -Le père Goriot (Balzac) -Le Rouge et le Noir (Stendhal) 4. Troisième Romantisme -La parnasse 5. Le réalisme objetif -Madame Bovary (Flaubert) 6. Naturalisme 7. Supernaturalisme 8. Symbolisme français 9. Modernité poétique 10. Bibliographie 1 «Il est impossible de

l'entrée, gourmandait les traînards, et, au fur et à mesure de leur arrivée, les petits garçons, soulevant leur casquette, passaient devant lui, traversaient le couloir et se répandaient dans la cour. Louis PERGAUD - La Guerre des boutons [pic] Deuxième partie (15 points) Corrigé de la rédaction : La révolte a lieu. Le narrateur est puni. Il écrit à sa mère pour raconter les faits et justifier sa participation au complot. Rédigez cette lettre, qui comportera une partie narrative et développera

lever les yeux sur elle était un trait d'audace »], son penchant pour la solitude. Olivier ne revanche se voue à l'hédonisme, mais lui aussi, dans un autre registre rate tout, jusqu'à sa mort. Pourtant, tout oppose ces deux amis puisque Julie, sa deuxième cousine, est amoureuse de lui mais il ne l'aime pas. L'amitié qui lie les deux hommes fait d'Olivier le témoin privilégié des tourments de Dominique qu'il tente d'apaiser, mais en vain. Seul Augustin, le précepteur de Dominique, semble se tirer d'affaire

transfigurations. Car, tout aussi bien que d'une drogue redoutable, l'être humain jouit de ce privilège de pouvoir tirer des jouissances nouvelles et subtiles même de la douleur, de la catastrophe et de la fatalité. Tu verras dans ce tableau un promeneur sombre et solitaire, plongé dans le flot mouvant des multitudes, et envoyant son coeur et sa pensée à une Electre lointaine qui essuyait naguère son front baigné de sueur et rafraîchissait ses lèvres parcheminées par la fièvre; et tu devineras la gratitude

religieuse à sonder cet abîme… Au sortir de ma nuit première, mon esprit ne s'est pas éclairé progressivement, par lueurs graduées ; mais par jets de clartés brusques – qui devaient dilater tout à coup mes yeux d'enfant et m'immobiliser dans des rêveries attentives – puis qui s'éteignaient, me replongeant dans l'inconscience absolue des petits animaux qui viennent de naître, des petites plantes à peine germées. Au début de l'existence, mon histoire serait simplement celle d'un enfant très choyé,

s’achemine vers la mort. Il convient d’ailleurs de noter que l’adjectif « lépreux » peut s’appliquer aussi bien aux murs qu’à une personne, ce qui contribue à personnifier la ville. Le champ lexical de la mort envahit peu à peu le texte à partir du deuxième paragraphe : « un froid de mort », « comme une haleine de mort qui souffle le long des rues ». Pour le lecteur au fait du roman et de ses thématiques, c’est bien sûr au monde du désert, atemporel et donc pur de toute déchéance, que doit être confrontée

« pour paraître incessamment », Les Lesbiennes. C’était en 1845... « J’aime les titres mystérieux ou les titres pétards », manda Baudelaire à son éditeur, le 7 mars 1857. Celui des Fleurs du Mal appartenait à la deuxième catégorie ; il était apparu pour la première fois dans la Revue des Deux Mondes, qui inséra, le 1° juin 1855 , dix-huit poèmes accompagnés d’une épigraphe empruntée aux

mère pieusement mélancolique, il y mena une existence étrange : langueurs sans vraie cause, exaltations sans but, troubles d'une sensibilité ardente en proie au « vague des passions», plongées dans les abysses d’une âme en détrese, terreurs, rêveries solitaires, courses sur la lande en compagnie de Lucile. Sa vocation poétique s'éveilla alors et son âme d'artiste allait rester marquée par les impressions de Combourg. En 1786, le vieux comte François-Auguste, à deux mois de sa mort, las de voir son