Deval

fr/Media/Buchenwald-1945.jpg Un témoignage Une jeune fille juive allemande témoigne : « Nous nous étions couchés tôt. Moi et ma famille, nous dormions tous les quatre quand nous avons entendu frapper à la porte d'entrée. Frapper violemment. Mon père a dévalé l'escalier, il a ouvert la porte devant laquelle se tenaient deux nazis en uniforme brun. « Dis à ta famille de s'habiller rapidement, vous venez avec nous. Dépêchez-vous ! » Nous n'avions pas le choix. Nous nous sommes habillés en vitesse, et les

people’s culture. According to me, it easier for two persons who are on the same wavelength and who share the same point of view, to maintain a relationship. Nevertheless we’re made to meet us, us to like, learn from the other. Thus as said it Jacques Deval, “we love a being only as long as we consider it different from the others, and also we consider it different others than as long as we love him”.

abandonner le monde. / Mais quoi ? Que dirons-nous de cet autre vieillard / Lequel ayant passé son âge plus gaillard / Au service de Dieu, ores César imite ?" - s. 112 "Quand je vois ces seigneurs…" **Satire du népotisme :** s. 113 "Avoir vu dévaler …" **Satire de l'ignorance des gens d'Eglise :* - s. 79, v. 14 :"Je n'écris de savoir, entre les gens d'Eglise" 3) Satire de la société romaine, de la ville de Rome :* **- s. 78 : "Je ne te conterai …" "Je te raconterai du siège de l'Eglise

On ignorait punitions et crainte, on ne lisait pas d'édits menaçants gravés dans le bronze ; la foule suppliante ne redoutait pas le visage de son juge, mais on vivait tranquille, sans défenseur. Le pin toujours debout n'avait pas encore dévalé les montagnes 1, 95 montibus in liquidas pinus descenderat undas, nullaque mortales praeter sua litora norant ; nondum praecipites cingebant oppida fossae ; non tuba derecti, non aeris cornua flexi, non galeae, non ensis erat :

mortelle, lutté contre Thanatos et abusé Hadès, Sisyphe fut envoyé dans le Tartare, lieu d’expiation pour tous les grands criminels aux yeux de ces divinités. Il y fut condamné à pousser un rocher en haut d’une colline sans jamais y parvenir : le rocher dévale inéluctablement la pente avant d’en atteindre le sommet et Sisyphe se doit de répéter inlassablement son action. Beaucoup voient en Sisyphe l’incarnation du Soleil ou des marées qui s’enchaînent

troupes doit « précipiter en préalablement la démocratie bourgeoise ». Les soviétique préconisent la réprimander du travail parallèle dans les centres usinier se mettre à avant 1905. Ils appellent au boycottage de la douma, en se lier le but de faire dévaler cette « effigie » de représentation populaire. Les menchéviks, au contraire, prendre décidé de ne pas faire échec à la douma ; ils avaient prendre indispensable y entrer.

le parti doit « pousser en avancé la démocratie philistin ». Les bolchéviks publier la reprise du travail clandestin dans les centres industriels commencé avant-centre 1905. Ils appellent au boycottage de la douma, en se observer le but de faire dévaler cette « trait » de figuration populaire. Les menchéviks, au contraire, prendre décidé de ne pas faire échec à la douma ; ils avaient goûter nécessaire y entrer.

participe présent « l’ayant vu » (5) « étant survenue » (6) « faisant trembler » (7) actions simultanées _ 1 : on suit le comte, progression horizontale « se coucha à terre » (1) « il se traina » (1) puis 2 : on suit la caravane « sautant » (16) « dévaler » (20) « bondit » (22) « tomba » (22) mouvement cinématographique, technique de descriptions vivantes II) Le criminel a) La déshumanisation du personnage _ Appellation « le comte » (1) banalisation et caractérisation par son statut social

LECTURE PREMIERE QUESTION - Qui le pronom « il » désigne-t-il dans la phrase « il a dévalé la colline »? 0,5pt « il » désigne probablement un fugitif poursuivi par des forces armées qui cherchent à le rattraper - Qui le pronom « ils » désigne-t-il dans la phrase « pourvu qu'ils me laissent le temps »? 0,5pt « ils » désigne les forces armées, les hommes qui sont à la poursuite du fugitif sus-mentionné. - Pourquoi l'auteur a-t-il choisi d'utiliser des pronoms plutôt que de nommer

RENCONTRE AVEC UN VAMPIRE Mila sort de chez elle en claquant la porte, dévale les escaliers quatre à quatre et se retrouve dans la rue. Elle marche en direction de l’arrêt de bus qui se trouve à quelques pas de la boulangerie à laquelle elle s’est arrêtée pour acheter deux croissants et un pain aux raisins. Lorsque le bus arrive, il est 7h23. Elle monte et repère une place au fond. Elle se dirige vers cette place tout en observant les personnes présentes dans le bus. Le trajet jusqu’à