Déviance

de Merton, Becker et Davis sur la déviance, en soulignant leurs principales similitudes et différences. Textes MERTON, Robert K., « Structure sociale, anomie et déviance », in Eléments de théorie et de méthode sociologique, (trad. de l’américain et adapté par Henri Mendras), Paris : Ed. Armand Colin, 1997, pp. 163-187. BECKER, Howard S., « Le double sens de “outsider” » suivi de « Types de déviance », in Outsiders, études de sociologie de la déviance (traduit de Outsiders : studies in

« Outsiders » où il explique que notre vision des autres est influencée par certains clichés. Pour lui la déviance est une interaction entre la personne qui comment l’acte et celles qui réagissent à cet acte. Lorsque le comportement déviant est découvert, l’étiquetage est mis sur la personne et réduit celle-ci à cet acte de déviance. Pour Becker se sont les groupes sociaux qui créent la déviance en instaurant des normes. En transgressant ces normes l’individu est déviant. Le troisième piège se trouve

du crime et celle de la déviance de Howard Becker? Sources utilisées : ← Ruitort P. (2002) : Premières leçons de sociologie. Paris : PUF (collection major bac), pp. 71-83 [Contrôle social, normes et déviance : respecter ou enfreindre la règle?] ← De Coster M. et al. (2006) : Introduction à la sociologie. Bruxelles : Editions De Boeck Université, pp 230-232 [Ville et criminalité] ← Durkheim, E.(1970) [1984] : «Le crime, un phénomène normal ». In : Déviance et criminalité. Texte réunis

M Metailé, 1985. (Première édition 1963). INTRODUCTION : Le thème étudié dans OUTSIDERS est la déviance.  Sont qualifiés de déviants, au sens de la sociologie américaine, les comportements qui transgressent des normes acceptées par tel groupe ou telle institution. Cette recherche de H. BECKER constitue une étape importante du développement récent de la sociologie de la déviance, puisqu’elle élargit les liens des études sur la délinquance. L’auteur : Howard BECKER, né en 1928, est

1 juin 2010 1°ES Dissertation économie : -Sujet : vous analyserez les différents effets du contrôle social sur la déviance. Pour commencer, il est intéressant d'étudier ce sujet afin de déterminer si le contrôle social a un impact positif ou au contraire négatif dans notre société, et donc en parallèle d'évaluer son utilité et sa capacité à limiter la déviance. C'est en observant les comportements des délinquants dans les grandes villes américaines, entre la première et la seconde

témoigne le dramatique attentat de charlie hébdo il y a un mois. Avant de pouvoir parler de délinquance, nous devons expliquer son origine. En effet, la délinquance provient de la déviance, mais plus précisément du non-respect des normes juridiques, c’est-à-dire des lois et plus exactement des règles pénales. En effet, la déviance est une notion générale, qui intègre toutes les transgressions de normes qu’elles soient sociales ou juridiques. Etre déviant, en fait, c’est avoir un comportement  qui fait

D'après le dictionnaire de sociologie (Larousse 2003) le conformisme se définit comme une adhésion consciente ou non, aux valeurs, aux normes, et aux comportements prédominants dans le groupe d'appartenance ou de référence, le conformisme s’oppose à la déviance. Il existe deux principaux types d'influence. L'influence informationnelle tout d'abord qui sert à obtenir des informations, comme nous le dit Drozda-Senkowska (2007) l’individu ce (se) soumet à l’influence informationnel pour dissiper un doute

toujours respectées, c'est la déviance. Nous verrons alors dans un second temps comment s’exerce le contrôle social afin d’en voir les conséquences. Enfin, nous montrerons que le changement social et les conflits sont également sources de régulation du système social. 1- Normes et Déviance A) La construction des normes 1- Les normes forment un système contraignant (doc 1) 2- La production des normes juridiques et des normes sociales B) Le non respect des normes : la déviance (doc 6 page 266) 1- Les

soustraire aux codes sociaux, ce qui relève d’un comportement déviant. Ainsi, Pour Merton l’anomie dans une société mène irrémédiablement à la déviance, qui, loin d’être suscitée par les passions humaines n’est que la conséquence de désirs suscités par la société elle-même, laquelle se retrouve dans l’incapacité de répondre à ces désirs. Donc, l’origine de la déviance n’est pas à rechercher dans « une nature humaine » définie comme perpétuellement désirante mais bien dans la structure sociale elle-même

Celle-ci amenait comme question que l’avortement peut rester aux yeux de la société une déviance, car ce n’est pas un acte banalisé. Elle permettait de démontrer qu’avorter est un acte que tout le monde n’approuve pas et que les jeunes se sentent bien souvent excluent. Elle proposait comme débat le fait que l’avortement, surtout chez les ados, était encore tabou dans la société, considéré comme une déviance ou non selon les personnes. Elle contrarie comme idées reçues tous les jugements portés sur