Déviants

aspect, tel que l'intégration au groupe déviant, la notion de carrière, la morphologie du groupe déviant... Concept central La déviance regroupe des comportements qui ne sont pas conformes aux normes sociales et qui sont l'objet d'une réprobation sociale. Ces normes peuvent être explicites ( lois et règlement ) ou implicites ( morales et mœurs ). Ainsi le déviant n'est pas forcement dans l'illégalité. Selon becker, l'individu ne devient pas déviant du jour au lendemain, mais suit un apprentissage

de normes et une diversité de déviances. Délinquance : acte qui est considéré comme un délit par la justice. * Un comportement déviant peut également devenir une norme juridique (reflet des mœurs, et des normes sociales). * Normes sociales qui deviennent des actes déviants (fumer dans les lieux publics) Les normes varient donc les actes déviants aussi, dans le temps, dans l’espace selon les PCS (profession et catégorie social). Ainsi les relations parents enfants étudiées par François

aux règles admises par la société ». En étant délinquant on est déviant mais en étant déviant on est pas forcément délinquant. Dans une société il existe des normes et des valeurs, si celle-ci sont transgressés alors on est déviant. Pour être délinquant il faut qu’il y ait une loi qui stipule que si on transgresse une norme il y a stigmatisation. Il faut savoir que être déviant est un concept qui évolue. Ainsi si on était déviant à une époque on peut ne pas l’être aujourd’hui. Le gouvernement peut

représente un individu qui est libre et déviant pour la société. Alors que les feuilles marrons qui sont par terre présente la mort ,le fait d’être emprisonné par la société obéir les règles de la société. Pour etre libre, il faut se détacher de tt les normes qui nous retiennent meme les regles que l'on a interiorisées. En loccurrence être déviant pour la société. Cette liberté sera donc contraignante à cause du regarde des autres dut à l'action déviante. Cette délivrance va être difficile a obtenir

Pour lui les groupes sociaux créent la déviance en instituant des normes dont la transgression constitue la déviance, en appliquant ces normes à certains individus et en les étiquetant comme des déviants ».C’est un sociologue interactionniste, selon lui aucun acte n'est déviant en lui-même, il devient déviant car étiqueté comme tel par les Institutions légitimes. Même chose pour les individus étiquetés comme déviants.La Q° se pose de connaître ce processus qui conduit à un tel étiquetage.Notion de Carrière

déviance " n’est pas suffisamment homogène pour signifier quelque chose en elle-même. On peut citer une liste de comportements déviants. Pourtant il n'y a pas de rapport direct entre le vol, l’homicide, le manquement à la politesse ou aux convenances, la conduite dangereuse, l'habillement excentrique et la consommation de drogue. De plus, ce qui est aujourd’hui regardé comme déviant a pu, à un autre moment de l’histoire, ne pas l’être. En réalité, le point commun de tous ces comportements est indirect

famille, ...) Le développement des sociétés et la transgression de certaines normes peut également parfois les légaliser. En effet, certaines normes ont longtemps été rejetées par la société. Ceux qui les appliquaient étaient alors considérés comme déviant. A l'inverse, si parfois certaines règles viennent renforcer le contrôle social formel, les normes sociales peuvent être allégées. Aujourd'hui certaines règles sont venues légaliser certaines pratiques. L'avortement en est un exemple. Si pendant

Aujourd’hui deux auteurs parmi les plus cités et respectés, Bret Easton Ellis et Michel Houellebecq peuplent leurs ouvrages de descriptions précises de scènes de meurtre ou de sexe sans que cela paraisse répréhensible. Un comportement considéré comme déviant et puni comme tel dans la société du second empire est devenu normal cent cinquante ans après. Que s’est-il passé durant ces années ? Comment et pourquoi la société a-t-elle évolué ? Quels sont donc les liens entre déviance et changement social ?

comportements plus autonomes. Les comportements déviants ne sont-ils pas ceux « étiquetés » déviants par des individus ou des groupes d'individus ayant le pouvoir d'imposer leurs normes (« les entrepreneurs de morale », selon H.S. Becker) ? Plutôt que de s'interroger sur les comportements déviants, n'est-il pas plus important de s'interroger sur les activités de ceux qui imposent leurs normes ? Pourtant les individus ayant un comportement déviant ne se doutent-ils pas qu'ils enfreignent des normes

tenons-nous cette légitimité ? Puis il définit la déviance suivant diverses conceptions : - La première est la conception statistique : on est déviant si l’on s’écarte trop de la moyenne, on peut même dire qu’on est déviant lorsqu’on est différent du commun. En suivant cette conception nous pouvons dire que les roux ou encore les gauchers sont déviants puisque la plupart des individus sont droitiers et châtains. Mais cette définition est très éloignée de l’étude scientifique de la déviance. - La