La délinquance juvénile.
Les caractéristiques de la délinquance juvénile
La déviance est un mot utilisé dans les années 1960 qui signifie : « comportement qui échappe aux règles admises par la société ». En étant délinquant on est déviant mais en étant déviant on est pas forcément délinquant. Dans une société il existe des normes et des valeurs, si celle-ci sont transgressés alors on est déviant. Pour être délinquant il faut qu’il y ait une loi qui stipule que si on transgresse une norme il y a stigmatisation.
Il faut savoir que être déviant est un concept qui évolue. Ainsi si on était déviant à une époque on peut ne pas l’être aujourd’hui. Le gouvernement peut changer les lois en créer d’autres ou encore en supprimer. De plus à une époque les autorités pouvaient être plus indulgentes qu’aujourd’hui et vice versa.
Nous avons parlé de la délinquance et la déviance maintenant nous allons parler des jeunes avant de traites la délinquance juvénile.
Lorsqu’on parle de la délinquance juvénile on parle surtout des adolescents. Sur la sociabilité juvénile, le sociologue réputé Laurent Muchielli a écrit que lors de cette période de l’enfance c’est la découverte de soi, du sexe, de la vie nocturne. L’enfant commence à avoir des opinions sur les discutions des adultes commence à comprendre comment le monde fonctionne et c’est pour ça qu’ils provoquent les adultes et les institutions et il y aussi les tentations de vols car l’enfant ne peut toujours pas travailler. Cet effet de l’adolescence, dit Laurent Muchielli, est procuré surtout chez les garçons. La cause de ses réactions est surtout due à des problèmes : l’échec scolaire, la fragilité familiale, l’influence des pairs, ou des évènements perturbateurs raconte Laurent Muchielli.
EXEMPLE, Lamence Madzou.Lamence Madzou écrit sa vie de déviant. Il faisait partie d’un gang en Ile-de-France dans les années 1980. Il parle de son échec scolaire qu’il était le tête de turc de la classe que les sanctions n’étaient pas les