Dialogue Entre Les Animaux

(1668-1694). Recueils de petits poèmes en vers libre comportant une morale, ici il s'agit comme souvent dans les fables d'un récit fictif où La Fontaine utilise des animaux pour corriger les défauts humains. Chaque récit inspire une morale. « Le Loup et L’agneau » met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier. Nous nous demanderons

de vie... (Gn2,7). L'homme devient alors un être vivant L'homme devient une âme vivante., c'est-à-dire une personne capable d’interagir avec Dieu. Ceci est une véritable définition de l'être humain. ( Ce qui est dit de l'homme ne l'est pas des animaux.) L'homme est donc un être fait pour Dieu et pour entrer en relation avec Dieu c. Dieu place l'homme dans un jardin en Eden. (Gn 2.8) Jardin : se traduit souvent par "paradis"... paradis terrestre 1 Eden : pas de localisation. Ce terme peut signifier

La conscience n’est qu’un réseau de communication entre hommes ; c’est en cette seule qualité qu’elle a été forcée de se développer : l’homme, qui vivait solitaire, en bête de proie, aurait pu s’en passer. Si nos actions, pensées, sentiments et mouvements parviennent, du moins en partie, à la surface de notre conscience, c’est le résultat d’une terrible nécessité qui a longtemps dominé l’homme, le plus menacé des animaux : il avait besoin de secours et de protection, besoin de son semblable, il était

difficile à apercevoir (« Vois-tu pas son œil de lumière…/ Non ») • Une promenade amoureuse qui dégénère * « Moi, ton soldat fidèle » et les tirets suggèrent un dialogue amoureux. * Une nature froide, peu romantique : la lune semble pâle, les éléments naturels semblent froids : « métal », « pierre ». * Animaux « monstrueux »: le Crapaud qui provoque la répulsion, le « poète tondu » (animalisation du poète), « Rossignol de la boue » (sorte de contradiction, le rossignol étant un

de Valladolid se déroule en 1550 à la demande de Charles Quint à Valladolid entre Sepulvéda et Las Casas, arbitrés par le légat du pape. Elle a pour but de déterminer si les Indiens ont ou non une âme, pour accorder ou non l’imprimatur au livre de Sepulvéda. Dans ce texte Roncieri, le légat du pape, interroge Las Casas sur les Indiens. I- Un dialogue qui prend l’allure d’un interrogatoire systématique Intro : Ce dialogue peut facilement être transposé au théâtre 1/ Un certain nombre d’éléments

1. A quel moment de l’histoire sommes-nous ? 2. Que s’est-il passé auparavant? Introduction: Le texte étudié est le début de la nouvelle Matin Brun, c’est l’incipit . Le lecteur entre d’emblée dans l’histoire , in medias res. 3. Où et quand se déroule cette histoire ? Le cadre spatio-temporel est indéterminé, ils passent un moment agréable au café au tout début du texte. Activité 1: Relevez les mots ou groupes de mots qui montrent dans les six premières lignes que les personnages vivent

lecteur en présentant deux animaux diamétralement opposés par leur taille et leurs forces, mais égaux par leur orgueil… Arg. 1 L’image du Roi Lion attendue par le lecteur… Arg. 2 …est déjouée par le fabuliste au profit du Moucheron… Axe 2 : …qui s’affrontent dans un combat dont l’issue est aussi surprenante. Arg. 1 Un combat épique… Arg. 2 …qui a une visée parodique. Dans la neuvième fable du Livre II, « Le Lion et le Moucheron », La Fontaine met en scène deux animaux de taille et de force ouvertement

Lafontaine, représentant du classicisme, est un écrivain et moraliste du 17e siècle surtout connu pour ses fables qui mettent souvent en scène des humains ou des animaux personnifiés. La fable du “loup et du chien” est un exemple de sa connaissance de l’ame humaine, de son affection pour les bêtes et des liens qu’il tisse entre les humains et les animaux Pb : nous verrons comment cette fable, à travers une scene de comedie, interroge notre rapport à la liberté et l’identité I- La rencontre des deux pers vers

prés qui sont un poison violent pour les hommes et les animaux. Le verbe « s’empoisonne » revient deux fois dans le poème. Une correspondance s’établit entre les vaches et le poète. Il existe un autre point de comparaison : c’est la notion de temps pour symboliser la conséquence qui peut être la mort (lentement, tout doucement). La relation se fait autour du verbe empoisonner et de l’adverbe lentement pour insister sur la lenteur des animaux et de la mort. On a un sentiment d’étirement de quelque

SOHIER Cléa 22002650 DM Langue et Littérature française CAMY Manuella 21900880 Marie-Laure FOUERELE LION , JOSEPH KESSEL Table des matièresI . Présentation de l’auteur 1 II . Présentation, court résumé de l’œuvre 1III . Le Personnage 2IV . En quoi l’animal devient-il un personnage ? 2A . Un personnage par