Dialogue L Avare

mise  beaucoup  sur  l’implicite,  sur  le  non‐dit.  La  parole engagée manque d’ombre et d’ambiguïté, de subversion : elle dit. Sartre admire Shakespeare pour sa  capacité  à  avoir  une  parole  subtile.  Or  il  faut  bien  dire  que  dans  le  dialogue  Hoederer‐Hugo  la  part  d’ambiguïté et d’obscurité.   La  part  d’ambiguïté,  et  la  question  du  sens  du  meurtre,  repose  sur  Jessica.  On  trouverait  peut‐être  là  la  justification de la dérive vers une banale infidélité. Sartre est conscient de la nécessité de maintenir une part 

principal, le valet Figaro. L’objet de la pièce sont les relations entre cet ardent défenseur de la liberté et son maître, le comte Almaviva, qui convoite Suzanne, la camériste de sa femme et la promise de son valet. Cette première scène de la pièce, dialogue entre Suzanne et son fiancé, met en place le lieu, l’intrigue et les principaux personnages. 4 – Le XVIIIème siècle, siècle des Lumières, est marqué par les revendications croissantes du peuple, révolté par les inégalités sociales qu’il subit. Le

Cependant, tout genre littéraire peut laisser place à l’argumentation directe sous forme d’un dialogue ou monologue délibératif. Prenons l’exemple de Zola qui, dans sa lettre ouverte J’accuse expose clairement son opinion concernant l’affaire Dreyfus grâce à un monologue délibératif, ou encore Mme de la Fayette, qui dans son roman La Princesse de Clèves, adopte l’argumentation directe à travers le dialogue entre Mr de Nemours et Mme de Clèves. L’efficacité de l’argumentation directe passe par la

pouvoir politique et économique : c’est la grosse fortune du pays. [pouvoir pol au main du pouvoir éco] Le portrait physique est anguleux : caricature suggéré à la rapacité. Il a des traits de caractères appuyés : son gout de l’argent (personnage avare et cupide), le portrait devient de plus en plus péjoratif « son talent se borne ». Portrait dépréciatif fait par le regard du voyageur parisien : la focalisation du texte est fait par le voyageur parisien (sa vision + son jugement). => Personnage

choqué par le geste d’Annette et s’investit à fond dans la récupération de l’objet comme si c’était essentiel. Alain: dominateur, matérialiste Michel: plus faible, mais aussi matérialiste Femmes: violentes verbalement, moqueuses, insatisfaites: Dialogue impossible Liberation de Michel et d’annette de leurs partenaires R3. Conflit à l´intérieur de chacun des 2 couples entre mari et femme Conflit hommes – femmes Annette exaspéré par Alain (telephone, rhum) Véro et Michel qui se lancent constammemt

Rousseau, entre le début et la fin de l’extrait. Il commence par nous faire entendre que Molière est admirable, puis par la suite, il parle de celui-ci en mal : «  Molière est le plus parfait des auteurs comique » (l. 2), « C’est un grand vice d’être avare et de prêter usure » (l. 40). Nous pouvons donc en déduire que l’auteur essaye à la fois de convaincre le destinataire et de le faire réfléchir sur Molière, qui est pour lui une personne qui ne mérite pas son respect. Pour finir, Rousseau remet en

le premier, à l'idée d'introduire un second acteur, le "deutéragoniste", instaurant ainsi un dialogue entre deux acteurs. Il est considéré comme le père de la tragédie antique dont il a jeté les bases. Il a également introduit les décors et les costumes. Ces tragédies antiques partagent une structure très rigide, une composition en vers et une division en "épisodes" (scènes), où s'intercalent des dialogues et des poèmes lyriques chantés par le Chœur. Les récits sont le plus souvent issus de la mythologie

sortant », « revenant encore » , s’en va , et arrivé à la porte, se retourne. Les personnages font une espèce de « ballet » factice, de fausses « sorties »… Nous décelons un contraste entre le jeu de scène « s’en va lentement », et la vivacité des dialogues. Finalement, Dorine arrête Valère, mais il « joue » un sans blanc de résistance. Le comique de situation est présent dans la scène. Dorine interpelle Valère comme si elle dominait la situation et lui parle de façon contraire à sa situation sociale

début de mon travail. „La fable est un court récit écrit plutôt en vers qu’en prose et ayant un but didactique ( qui cherche à instruire). Elle se caractérise généralement par l’usage d’une symbolique animale ou avec des personnages fictifs, des dialogues vifs, et des ressorts comiques. La morale est soit à extraire de l’implicite du texte, soit exprimée à la fin ou, plus rarement, au début du texte. Les fables les plus caractéristiques comportent un double renversement des positions tenues par les

peut-être de son attitude humblement, et du contenu de ses paroles, un dialogue s’installe dès le vers 13 qui se poursuit dans le vers 14 Le chien a des solutions toutes faites Il propose à Loup l’égalité aussi de leur condition gras … presque sans condition ! Loup a la « balle dans son camp » ne… que, à vous. Le futur est employé à propos… Il ne tiendra qu’à vous, beau sire D’être aussi gras que moi ». Il n’est pas avare de compliment non justifié. « Les os et la peau », il ne doit pourtant