Dialogue L Avare

Cléante a rencontré Marianne. La nature du conflit est principalement familiale. Et concerne les relations entre les enfants et leur père. Harpagon risque de s’opposer au mariage de ses enfants, on voit clairement dans ces scènes qu’Harpagon est avare et qu’il traite mal ses enfants. Cléante propose alors à sa sœur de s’enfuir. Les thèmes traités ici sont le thème amoureux, familiale et le fait qu les enfants doivent se débarrasser du père. L’exposition de la place reste néanmoins incomplète étant

perdu dans la nuit qui le voile ; / qui souffre, ver de terre amoureux d’une étoile […]. » Antonomase (féminin) : C’est une figure par laquelle on remplace un nom commun par un nom propre, et vice-versa. Exemple : « un Harpagon », pour désigner un avare, est une antonomase. C’est aussi le cas lorsqu’on remplace un nom par une périphrase : « la capitale de la France » pour désigner « Paris ». Aposiopèse (féminin) : Une aposiopèse (ou réticence) est une rupture dans la suite attendue des enchaînements

l’art de la conversation, ce qui lui permet de dresser en creux le portrait de l’honnête homme. Cette remarque est centrée sur le personnage d’Acis, cette peinture est adaptée à l’objet traité (la conversation), en effet, elle prend la forme d’un dialogue fictif. Acis, beau parleur fictif est présenté à travers la bouche du moraliste qui se met en scène pour conseiller son interlocuteur sur le langage qu’il sied d’employer en public. · Lecture  : faites

son « crâne » il dépose des « objets ». Et c’est aussi un portrait qui est rempli d’antithèses : mensonges/vérité, maladie/santé, maigreur/appétit … (citer). Le portrait moral nous le rend aussi un peu repoussant : il ment, il est égoïste, il est avare. C’est un personnage dans la démesure, dans le merveilleux où il aurait le rôle du malin, du malicieux. On a le champ lexical de violence faites au visage : « enlevé le menton », « mâchoire a cédé », « soufflé le nez » dans un contexte de guerre (1ère

il est indéniable également que l’argent tend à rendre un individu malheureux.Lorsqu’Harpagon se détache des autres pesronnages, on sent bien qu’il le rend solitaire. Il se renferme sur lui-même, s’exclut : il n’y a pas de socialisation, pas de dialogue. Le seul pesronnage qui l’interesse est sa cassette. Ainsi, l’argent peut nous conduire à nous solitariser. Il peut également conduire à une vision terne de la vie. C’est le cas des cyniques chez Simmel, qui ne trouvent plus d’intérêt du tout, rien

sa joie et sa douleur. La comédie comporte un chœur de vingt-quatre choreutes. Au chœur on a ajouté ensuite un acteur, puis un deuxième, enfin un troisième. Au fil du temps et de l'évolution du théâtre, chants du chœur ont diminué au profit du dialogue. Ce théâtre quasi spontané évolue dès le VIe siècle avant J.-C., dans les pays doriens, puis à Mégare et en Sicile, vers des représentations plus concertées, farces, pantomimes ou divertissements mythologiques. Mais ce n’est qu’après 460 qu’on

la place du village, les choreutes mènent la ronde autour d’un autel. Un choreute, plus inspiré que les autres, grimpe sur l’autel et improvise seul. Il devient le coryphée, chef du chœur. Tous s’immobilisent pour l’écouter, puis lui répondent. Ce dialogue entre le chœur et le coryphée est la première ébauche de la tragédie : tragoedia en grec signifie « chant du bouc ». Au VIe siècle, on fait appel aux rhapsodes pour être coryphées. Ce sont des conteurs professionnels qui se produisent au coin des

Hourc 2sd2Vincent Carnet de lecture, L’île des esclavesLa structure de la pièce 1) L'intrigue principale raconte le naufrage de deux maîtres et de leurs esclaves venant d'Athène pendant la Grèce Antique. Les deux maître, Iphicrate et Euphrosine et leurs esclaves respectif, Arlequin et Cléanthis se retrouvent sur une îles qui est uniquement constitué d'habitant descendant d'esclaves ou même d'ancien esclave. Les lois de cette nouvelle république imposent aux esclaves de devenir maîtres et aux maîtres

prose! » NOTE D’INTENTION DU METTEUR EN SCENE Certes l’avarice est un trait de caractère, dont la pièce de Molière fait avec « maestria » l’apologie sans scrupule, et l’œuvre n’est pas là pour nous dire ni pourquoi ni comment Harpagon est devenu avare. Et pourtant, c’est sur ces sortes de questions que le génie de Molière s’exprime parfois à son insu. Son talent ne se résume pas au style de l’écriture parfois hasardeux, mais dans l’extraordinaire acuité qu’il a à transcrire, au moyen de la dramaturgie

démonstrations didactiques, frappe des formules volontiers paradoxales («envier des êtres que l'on méprise», page 92 - «nous ne savons pas ce que nous désirons, nous n'aimons pas ce que nous croyons aimer», page 240 - etc.). Mais, de même que cet avare et ce calculateur parvient à se détacher des biens matériels, de même le brillant tribun échappe aux envolées oratoires pour atteindre à un lyrisme poétique et mélodique : «Je descendis vers la terrasse. De grêles arbres à fruits se dessinaient vaguement