Dialogue Mise En Abyme Et Moral

« Toute œuvre, tout roman raconte, à travers la trame événementielle, l’histoire de sa propre création, sa propre histoire », écrit T Todorov dans Littérature et signification1. Si l’ouvrage de J. Herman peut être considéré comme une mise à l’épreuve de l’idée de T. Todorov dans le corpus des romans du XVIIIe siècle, défi que personne n’avait jusque là « sérieusement relevé » (p. 231), il se présente également, plus fondamentalement, comme une tentative pour en ressaisir l’enjeu : la question de

littéraire. Le miroir fournit une métaphore privilégiée de l’expérience esthétique et de la représentation en général. Le miroir devient aussi un emblème possible pour des procédés littéraires aussi essentiels que la réécriture, la compilation, la mise en abyme ou la glose. Plus généralement, le miroir comme objet d’une vision indirecte, permet d’évoquer l’expression indirecte qui fonde des procédés littéraires aussi essentiels que la métaphore ou l’allégorie. Le miroir présente avant tout une

apparaît à la fin du moyen-âge en réaction au roman de chevalerie. 2 œuvres novatrices : Rabelais : Pantagruel, Gargantua et les trois autres livres (1532-1564) Cervantès Don Quichotte (1605-1615) Lire extrait 2 p32 ( fondation du roman moderne : mise en question des thèmes et des genres dominants, capacité à intégrer tous les thèmes et tous les registres dans un ensemble protéiforme. Cf les romans-univers du 20ième siècle qui portent une réflexion critique et philosophique sur le monde et sont

le théatre: une forme de mise en abyme(=un procédé consistant à représenter une œuvre dans une œuvre du même type, par exemple en incrustant une image en elle-même) 1)Le rappel d'éléments théatraux .voc specifiquement theatral .Indication de mis en scène 2)Des indices qui mettent en évidence l'artificialité propre au théatre .Réplique ambigüe .Jeu entre vouvoiement/tutoiement .dans la pice de théatre: exagération des acteurs/des éléments du décor 3)Cette mise en abyme signifie le probleme d'identité

présentée comme une coquette, dense et qui se compromet avec des fille faciles, La Clélie, Mme de Sévigné = Clarinte. Forme d'ambivalence, précieuse courtisée mais aussi amie de Mme de La Fayette donc proche de la veine morale qui caractérise encore la littérature. 1661 arrestation de Fouquet : personne de la coure, protecteur des lettres et des arts 1664 : trouve une place sociale, sa fille est introduite dans la coure mais cette place elle la perdra lors du mariage

Molière : Le Misanthrope. Sociabilité et solitude à l'épreuve du théâtre Le Misanthrope peut être lu comme la mise à l'épreuve, sur scène, de la sociabilité classique, de la « diplomatie de l'esprit » chère à Marc Fumaroli. Le héros en est un misanthrope, tenté constamment par le départ, et par la solitude. Solitude et sociabilité, hypocrisie et sincérité sont également ébranlées par le théâtre, dont les situations mettent, pour le plus grand plaisir du public, les personnages face à leurs propres

illustré le théâtre de l'absurde, par exemple dans la pièce de théâtre La Cantatrice chauve : les personnages sont illogiques, échangent des propos que l'on peut qualifier de stéréotypes ou des tautologies ; l'action est souvent inexistante. 2. Abyme (mise en) - Plus généralement, on désigne ainsi le procédé qui consiste à répéter (parfois à l'infini) un élément à l'intérieur d'autres éléments similaires au premier. 3. Acception - Sens particulier d'un mot, admis et reconnu par l'usage (= sens

comportement métrisé et discret, effctvmnt, elle ne s'éternise pas dans la boutique. II- Une éducation originale. a- Une mère d'exception. Elle concentre ttes qualités sauf jeunesse et beauté. Énumération de substantifs laudatifs : L.5-6. Mise en valeurs par adjctifs hyperbolique : extraordinaires. Mme de chartres se retire de la cour apres la mort de sn mari pr se concentrer sur leducation L.6 à 8. Lexique de l'education : donné ses soins, travailla, cultiver, songea aussi à lui donner

(rouge). L'osmose est rompue par cette couleur. Ce personnage serait l'image du peintre, du spectateur, l’œuvre devient alors une sorte de miroir. Le spectateur s'identifie alors à cet homme qui est transporté dans ce cadre comme dans un rêve => mise en abyme. Le luth évoque la peinture. La peinture est égale voir supérieurs à la poésie dans l'évocation de l'amour, des sens. Cette peinture de Titien évoque tous les sens comme peut le faire la poésie : l'eau de source = le goût // l'herbe = le touché

et arriver à réaliser son idéal. C'est-à-dire que ces deux thermes ont tous les deux un but semblable. Ambition : La liberté de réussir finit ou commence celle des autres Reste dans les limites de la morale Arrivisme : Se sert des autres comme marchandise But : Argent, Pouvoir, Célébrité Accepte des majeurs immoraux Conclusion : Le personnage du roman à un double aspect :