Dialogue Ou Monologue Pour Exprimer Un Conflit

tragédie qui est un genre classique et noble au XVIIème siècle. Elle met en scène des personnages appartenant à l'aristocratie ou à la mythologie. Elle montre la fatalité, le pouvoir des dieux (ou des hommes) contre lesquels le héros ne peut rien, ou un conflit entre l'amour et le devoir. La tragédie classique, liée à la tragédie grecque, veut inspirer la terreur ou la pitié pour purifier le spectateur (effet de "catharsis"). La comédie se caractérise par la mise en scène de la vie ordinaire et un dénouement

dictateurs. Ainsi la pièce d'Emmanuel ROBLES, intitulée Montserrat, fait directement référence à l'histoire de l'Amérique du sud face à la domination espagnole. Elle représente la répression subie par les partisans de l'opposition de Bolivar à travers le conflit que l'on inflige au personnage de Montserrat (être responsable de la mort d'innocents ou dénoncer Bolivar). Dans bien des lieux et époques, dénoncer de façon directe et abrupte des injustices ou s’insurger contre les décisions du pouvoir était suicidaire

réalisme + romantisme -> contexte : Restauration· Contenu : narre histoire Julien Sorel -> réussite social = critique + description société · Présentation texte : (rappelle partie + chapitre) après 1 nuit amour M ignore J -> conflit (lecture)Problématique : Nous nous demanderons en quoi cette scène montre la complexité du personnage de Julien Axes :· Mouvement 1 : « 91» à  « 105» : montée de la tension dramatique· Mouvement 2 : «106 » à « 118» : retombée de la tension

membres du choeur, les choreutes, prenaient part à sa joie ou à sa douleur. Il y eut d’abord un choeur de 12 choreutes puis de 15. Au choeur, on ajouta d’abord un acteur, puis un autre et enfin un troisième. Peu à peu, le chant diminua au profit du dialogue. A partir de cette origine religieuse, le théâtre a conservé des scènes rituelles: deuil, sacrifice et supplications ainsi que des chants religieux. Les acteurs Les acteurs sont au maximum trois pour effectuer les représentations. Le seul

personnage particulier un monologue permettant aux spectateurs de se rafrachir la mmoire. Le Prologue replace la pice dans son contexte mythique). Toute la troupe des comdiens est en scne. Si certains personnages semblent ignorer le drame qui se noue, dautres songent dj au dsastre annonc. Antigone rentre chez elle , laube, aprs une escapade nocturne. Elle est surprise par sa nourrice qui lui adresse des reproches. Lhrone doit affronter les questions de sa nounou. Le dialogue donne lieu un quiproquo

phrases exclamatives très présentes tout au long de la scène 6 dans le discours d’Andromaque puisqu’elle exprime sa douleur, son désespoir mais aussi cherche à émouvoir le roi d’Épire. D’autres procédés comme l’anaphore amplifie la portée des vers : ainsi celle de « J’ai vu » aux vers 39/40 martèle aux oreilles de Pyrrhus les visions effroyables auxquelles Andromaque s’est trouvée confrontée. Le dialogue du texte C repose sur l’incommunicabilité entre les deux personnages, et se développe sur un double

3 LE THEATRE : ORIGINE, DEFINITIONS, FONCTIONS, GENRES ET FORMES DE PAROLES. I- ORIGINE ET HISTOIRE DU THEATRE. Dès les débuts de l'humanité, le "théâtre" désignait l'acteur qui racontait ou qui revivait une expérience de chasse, de conflit, pour la partager avec son groupe, sa tribu ou sa famille. Le théâtre est donc à l'origine un lieu d'où le public observe un spectacle. À la Renaissance, la signification s'étend non seulement à l'ensemble de l'édifice de spectacle, scène comprise

en 1833 lors de cette époque d’instabilité. Certains se demandent en quoi Lorenzaccio constitue un drame romantique. Cette question relative aux prétentions du romantisme exprime toute l’indécision qui plane au-dessus de ce drame déroutant. Lorenzaccio ne serait-il pas plus qu’un drame romantique historique ? Les conflits intérieurs du personnage de Lorenzo soulignent les questions de toute une société. Mais au-delà de ce constat, Lorenzaccio n’est-il pas un drame plus personnel, existentiel 

Vampyre ». Elle est fondamentalement autre et représente ainsi la « radicalité de l’autre exemplifiée » pour Denance ; mais elle est tout en même temps qu’un autre que soi (autre que Jane), un autre soi, une autre Jane. C’est ce que Wolstenholme exprime lorsqu’il écrit « Bertha is put in place of Jane’s double […] through the image of nightmare which becomes a fluid medium through which they exchange position ». Ainsi, puisqu’à la suite de nombreux critiques on peut, par exemple, voir Bertha comme

succèdent de courtes scènes qui font intervenir des individus, qui peuvent être alternativement une fille, un garçon, deux filles, une fille et un garçon, une grand-mère et sa petite fille. Dans ces courtes séquences alternent chaque fois monologues et dialogues. Chaque personnage apporte une réflexion personnelle sur différents thèmes : le temps qui passe la relation intergénérationnelle la relation fille / garçon le vieillissement physique la peur du changement… etc… Une écriture rythmique et poétique