Dialogue Raconter Un Meurtre

l’étanchéité ou non des différentes classes sociales. Effet de théâtre dans le théâtre quand le marchand évoque les fêtes florentines comme un spectacle : fêtes qui lui procurent du plaisir/ mention des lumières = verbe « on regarde ». Sorte de dialogue argumenté entre les 2 marchands. L’orfèvre = + sévère « Mais ce sont des tonneaux sans vergogne que tous ces godelureaux de la Cour ». Analogie animalière dévalorisante : « en s’abrutissant jusqu’à la bête féroce ». Mention du carnaval (thème

Les mythes· Fonction d’explication = questions existentielle/fondamentales (ex : la mort, les sens de la vie, etc.)· Fonction d’enseignement · Fonction d’émulation· Thumos = valeur importante, avoir du cœur, se vanter Analyse AntigoneLes mythes font appel à notre imagination (nous avons cette faculté depuis tout jeune, donc très efficace pour transmettre des messages).Antigone est une œuvre d’art (pièce de théâtre) et il fait appel à un mythe, mais il inclut l’opinion de l’auteur donc

faire nous même réfléchir. Premier paragraphe : Il se répète pour bien transmettre ce qu’il veut dire. l.15-16 même si il a fait un putain de crime, on ne peut pas choisir au nom de la justice de tuer quelqu’un Selon Camus. Contribuer/assister a un meurtre est devenir un meurtrier. Sa métaphore filée est : la peste, il utilise pour montrer tout ce qui tue. -­‐  Selon  Tarrou,  la  peste  ne  représente  pas  seulement  le  nazisme  mais  toutes  les  idéologies  menant

Culture mythologique (Semestre 3) Le mythe raconte une histoire, c'est un récit qui est différent des légendes. En effet, ces dernières s'inspirent de faits réels en les rendant presque surnaturelles, comme par exemple la légende du Roi Arthur. Dans les mythes, les personnages sont irréels : se sont principalement des héros ou des dieux. Cependant, certains dieux n'apparaissent jamais dans les mythes comme les muses, déesses de la création et l'inspiration. Au départ, le mythe n'est pas considéré

qui y sont entrés en maîtres se sont retranchés dans Budapest et entendent tenir la ville qu’assiègent les Russes. C’est ce siège de deux mois, vécu dans la cave de leur immeuble, pris, au bord du Danube, sous les feux croisés des belligérants, que raconte Christine Arnothy. Ils sont là, une douzaine à attendre l’avance russe avec l’espoir qu’elle marquera la fin de l’oppression et de l’horreur. Mais bientôt, les parents de Christine décident de quitter le pays. Ils aboutissent dans un camp de réfugiés

membres du choeur, les choreutes, prenaient part à sa joie ou à sa douleur. Il y eut d’abord un choeur de 12 choreutes puis de 15. Au choeur, on ajouta d’abord un acteur, puis un autre et enfin un troisième. Peu à peu, le chant diminua au profit du dialogue. A partir de cette origine religieuse, le théâtre a conservé des scènes rituelles: deuil, sacrifice et supplications ainsi que des chants religieux. Les acteurs Les acteurs sont au maximum trois pour effectuer les représentations. Le seul

corps de répond plus de lui-même) - (l.13) : perd sa lucidité - (l.19) : n’est plus lui-même  N’est pas à la hauteur de sa tâche b. L’ironie du narrateur - Abondance des hyperboles déplacées c. La naissance du sentiment Stendhal a souvent raconté une banale scène de conquête amoureuse de façon originale. Il a joué de façon ambigüe avec le point de vue de J. de façon que nous puissions soit partager son angoisse de ne pas réussir le défi qu’il s’est imposé, soit nous moquer légèrement de ce

de gauche, compagnon de route du communisme , Giono reste avant tout un pacifiste. C'est pourquoi, lorsque le P.C.F. se prononce pour le réarmement, il se désolidarise et s'éloigne de lui. Publication en avril de Que ma joie demeure, roman qui raconte l'évolution de la vie chez les habitants du plateau Grémone, en Haute Provence, suite à l'arrivée d'un poète Bobi, venu soigner le village de la lèpre de la solitude et de l'ennui. Dans ce roman, le bonheur et la vie paisible du village se heurtent

(1773) est une autre œuvre représentative des Lumières : le texte a une portée sociale, morale, et philosophique. Mais il peut être aussi qualifié d’ « anti-roman ». Le dialogue entre Jacques, le valet, et son maître est constamment interrompu par des digressions, par des interventions du narrateur, des récits secondaires racontés par d’autres personnages. L’auteur « casse » les conventions romanesques, en apostrophant le lecteur, en dénonçant les artifices de la fiction, qu’il remet en cause. « Comment

première partie, quand Madame de Chartres meurt, elle donne d’ultimes conseils à sa fille. La vertu et son devoir d’épouse sont les seules raisons qui doivent la guider. Ce sont les raisons qu’invoque la Princesse de Clèves lors de son dernier dialogue avec le duc de Nemours. Après avoir avoué son amour au duc, elle déclare : « Cet aveu n’aura point de suite, et je suivrai les règles austères que mon devoir m’impose. » II. Mais la raison ne guide pas toujours la Princesse de Clèves qui va parfois