Dialogues avec l'ange

Cette nouvelle trouble la Vierge, ainsi s'ouvre un dialogue entre l'ange et la jeune femme. Cet épisode biblique porte une grande importance pour la religion Chrétienne, c'est l'annone de la venue du fils de Dieu. 3/ Interprétation de l'oeuvre: Ce tableau est coupé en deux plans. Dans le premier plan on peut y voir les deux personnages et dans le second plan un paysage qui semble infini. Il y a un contraste entre les deux plans. On voit l'ange Gabriel à gauche, tenant le lys blanc dans sa main

résout à être sage certainement car il ne l'était pas, état déjà déséquilibré. Déclencheur : lorsque Memnon met la tête à la fenêtre et voit les 2 femmes. 3 actions, 3 expériences : Les sanctions : Rencontre avec l'ange qui ne rétablie pas Memnon dans l'état d'équilibre Bilan : Ces actions contrastent avec le cadre habituel, merveilleux du conte. Situations ordinaires et expériences familières du lecteur du 18e mais dans un cadre exotique, oriental

l’élément perturbateur à la suite d’une magnifique scène romantico-comique unissant plusieurs types d’humour comme celui de situation, de mots mais aussi de geste, où James Stewart montre un véritable talent comique où il ajoute à ses excellents dialogues des postures subtiles sans jamais en faire trop ce qui rend sa performance tout au long du film plus qu’appréciable. Cet élément perturbateur donc, où l’on apprend l’attaque de son père, illustre bien la maitrise du réalisateur pour passer d’un

évangiles. On peut y lire le récit : « L’ange Gabriel fut envoyé par Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth, à une jeune fille, une vierge, accordée en mariage à un homme de la maison de David, appelé Joseph ; et le nom de la jeune fille était Marie. L’ange entra chez elle et dit : « Je te salue, Comblée-de-grâce, le Seigneur est avec toi. » À cette parole, elle fut toute bouleversée, et elle se demandait ce que pouvait signifier cette salutation. L’ange lui dit alors : « Sois sans crainte

apprend d'avantage sur son évolution de lecteur à auteur et sur l'influence que certains ont eu sur lui. Très jeune, Michel Tremblay reçut pour sa fête son premier livre, L'auberge de l'ange gardien de la Comtesse de Ségur. À la lecture de ce livre, il descelle immédiatement une anomalie. Lors des dialogues, le vocabulaire plus que soigné des personnages rend l'œuvre très irréaliste, ce qui lui déplut. Un jour, Michel Tremblay lut ,pour la toute première fois , une œuvre de sa région. La lecture

Hugo (1802-1885) Hernani, II-4 (1830) Introduction Pour le proscrit Hernani, personnage éponyme du drame publié par Hugo en 1830, et pour Doña Sol, c’est l’heure du choix. Leur amour illégitime est connu : ils sont traqués. Dans un dialogue animé et contradictoire, chacun des amants s’emploie à convaincre l’autre d’accepter sa décision : fuir ensemble pour Doña Sol ; se séparer pour Hernani. Il s’agira de voir comment, plus que les principes proclamés par la Préface de Cromwell

est faite puis en dernier lieu, aux idéaux des Lumières qui ressortent de ce texte. I] Un dialogue A. Caractéristiques du dialogue - Discours direct = volonté de réel, lecteur plus impliqué dans la discussion - Vb de paroles : s'écria, répondit, dit, … - Deux personnages qui discutent : Zadig + Ermite - L'action de l'Ermite ( noie le petit garçon ) déclenche la discussion - Evolution du dialogue : Sentiment de colère de Zadig ( s'écria, cria, Ô monstre ), face à un ermite posé = égalité

étendus pour faire triompher les valeurs de la philosophie. Cadre spatio-tempo « le 18e du mois du Schewal, l’an 837 de l’hégire(622) , ce qui correspond à 1459 de notre ère. Merveilleux oriental présent, avec mention du griffon, du basilic de l’ange Jesrad. Zoroastre= Zarathoustra prophète persan de VIIe s. av JC , célèbre pour sa théorie de l’univers, qui offre l’opposition entre le Bien et le Mal . Encrage des personnages dans des lieux orientaux : Babylone, près de Bagdad actuellement,

problème se détermine dans le texte de Dante – où se pose la question de l'ange (un être de pensée qui n'est pas un être de parole) ; question qui montre deux aspects : 1- Les métaphores du miroir et du regard impliquent chez l'ange une pensée qui se définit en termes de contemplation et d'intuition ; les anges ne parlent pas, c'est-à-dire qu'il leur suffit d'yeux, pas besoin d'oreilles. 2- On traite de la pensée de l'ange à partir du mode de relation que les anges ont entre eux ; et sous cet angle

d'une croix, symbole de l'Univers sur lequel la Vierge Marie porte le regard. Le chancelier et l’ange regardent la Vierge qui regarde Jésus qui fixe un point indéterminé. Ces regards contribuent à donner l’impression d’un dialogue silencieux. Le chancelier et l’ange regardent la Vierge qui regarde Jésus qui fixe un point indéterminé. Ces regards contribuent à donner l’impression d’un dialogue silencieux. On redécouvre les règles de la perspective en étudiant des œuvres de l’Antiquité. Les