Dialogues de Platon

LES ENSEIGNEMENTS DE PLATON SUR L’EDUCATION [pic] Préparé par George Bebedelis Athènes, Grèce Avril 2000 SOMMAIRE Introduction…………………………………………………………………………………….. 1. Le système éducatif………………………………………………………………………….. 2. Rectitude intérieure et extérieure…………………………………………………………….. 3. Le vrai philosophe, un amoureux de la Bonté……………………………………………….. 4. La Bonté……………………………………………………………………………………… 5. L’éducation consiste à tourner l’âme vers la lumière de la Bonté……………………………

une de ces discussions est ainsi rapportée par Platon dans un dialogue, le Lachès, lequel voit Socrate aux prises avec le célèbre général athénien Lachès. Lors de cette discussion, les protagonistes tentent de définir le courage. Lachès, pourtant bien placé pour savoir ce que désigne ce mot, propose plusieurs définitions successives qui, toutes, sont détruites par les questions de Socrate et les distinctions conceptuelles qu'elles entraînent. Le dialogue s'achève sur un échec : les interlocuteurs se

discours, mais opèrent un renversement : c'est désormais le discours qui a la primauté. Ce qui conduit à deux positions sophistiques : celle de Gorgias, pour qui il n’y a pas d'être Mais un discours qui ne prétend pas, comme c'est évidemment le cas de Platon, pouvoir atteindre la vérité puisque « le discours, il n’est ni les substances ni les êtres : ce ne sont donc pas les êtres que nous révélons à ceux qui nous entourent ; nous ne leur révélons qu’un discours ». Un simple discours dans toute sa matérialité

considéré comme l’un des inventeurs de la philosophie morale et politique. Il n’a laissé aucune œuvre écrite ; sa philosophie s’est transmise par l’intermédiaire de témoignages indirects (en particulier par les écrits de ses disciples Platon et Xénophon). Platon Platon né à Athènes en 424/423 av. J.-C., mort en 348/347 av. J.-C. est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs

Le dialogue entre Socrate et Théétète date de 399, peu avant son exécution. Théétète le rencontre et il discute de la science avec lui. Cette rencontre est à l’origine d’une discussion entre Théodore (Mathématicien grec) qui est le précepteur de Platon, qui à fait la découverte d’un jeune homme prestigieux, doué pour la science. Socrate est tellement satisfait à son tour, qu’il en parle à un certain Euclide, qui lui prend en note ce que Socrate lui a dit et reconstitue par écrit ce dialogue entre

Platon Théétète (161d à 162a) – Eléments d’explication Traduction John Burnet, 1903 (une autre traduction est proposée plus bas pour éclairer le sens du texte autrement)« Si, en effet, l’opinion que chacun se forme par la sensation est pour lui la vérité,Platon présente tout d’abord une série de conditions (« si »).Il commence par concéder la thèse sensualiste. Selon le sensualisme,

l’Homme. En effet, pour lui la sincérité ne consiste pas pour l’Homme à pouvoir être vrai ou authentique mais plutôt à veiller que ses actions ne deviennent pas duplices. Pour Platon, dans son œuvre Hippias mineur il nous montre que la sincérité peut tourner au désavantage de la personne qui en use. Effectivement, ce dialogue entre Hippias et Socrate nous montre que Hippias, un célèbre homme de sciences a trouvé la ruse de tourner la sincérité à son avantage. Pour terminer, Freud exprime dans son

Parvenir aux essences Platon récuse l’existence du traité philosophique : comment écrire sans qu’il en résulte un écrit ? Le discours animé par le savoir ne parle pas au nom d’un savoir, mais démontre comment il s’élabore en fonction d’un savoir qui est de ne pas savoir. Si Platon écrit des dialogues, c’est parce qu’il a tenté de multiplié les moyens de tenir à distance la fixité de l’écrit. « La pensée est un dialogue de l’âme avec elle-même » (Théétète) : un discours qu’elle entretient avec elle-même

Étude Philo 1. L'allégorie de la caverne est une métaphore philosophique proposée par Platon dans "La République". Elle décrit un groupe de personnes enchaînées dans une caverne, ne percevant que des ombres projetées sur un mur. Ces ombres sont considérées comme la réalité par les prisonniers, qui ignorent tout du monde extérieur. Lorsqu'un prisonnier est libéré et découvre la lumière du soleil, il réalise que les ombres ne sont que des illusions et que la réalité

Péloponnèse et de la tyrannie des Trente. Physiquement il était fort laid (Xénophon) : chauve, le nez épaté, il ressemblait à un satyre (Platon) ou à un silène (Rabelais) ; ce visage scandalisait les Athéniens pour lesquels la beauté physique était le symbole de la beauté morale. socrat-1.gif ¨buste de Socrate Sa tenue vestimentaire (Platon) était plus que simple (sans être provocante comme celle des cyniques) et il portait rarement des chaussures... Nous ne savons rien sur la jeunesse