Dichotomie Monétaire Réel

Thaïlande, la crise à la fois monétaire et financière s’est propagée très rapidement affectant gravement tous les pays de la région : Philippines, Malaise, Indonésie, Corée du Sud, Japon… L’apparition soudaine d’une crise inhabituelle suscite à appréhender pourquoi les pays d’Asie de l’Est et du Sud-est, encore récemment cités comme exemples typiques en matière de croissance économique rapide, ont été aussi rapidement et gravement confrontés à une telle crise monétaire et financière. La libéralisation

défendu l’idée que "l’indexation des dettes en valeur réelle "est une condition de l’équité mais aussi de l’efficacité. Ce n’est que si le prêteur est assuré de ne pas être spolié par l’inflation et donc de retrouver la valeur réelle de son capital que les taux d’intérêt seront faibles. Maurice ALLAIS pense, par ailleurs, que l’exubérance des marchés financiers est due à une création intempestive de monnaie tant de la part des autorités monétaires que des banques commerciales et que sans une vigoureuse

CNRS 5118) Thèse pour obtenir le grade de DOCTEUR DE L’UNIVERSITE DE BOURGOGNE Discipline: Sciences économiques Présentée et soutenue publiquement par MASSAËR MARONE 1 Octobre 2010 SYSTEMES FINANCIERS ET CANAUX DE TRANSMISSION DE LA POLITIQUE MONETAIRE Jury M. Jean-Pierre ALLEGRET M. Christian BARRERE Professeur à l’Université de Lyon II, Rapporteur Professeur à l’Université de Reims ChampagneArdennes, Rapporteur M. Christian DESCAMPS Maître de Conférences HDR à l’Université de Bourgogne, Directeur

d’encaisse. § 2) L’anticipation des conditions de réalisation de l’équilibre financier. Chapitre 2 : Encaisse monétaire et trésorerie. Section 1 : L’encaisse monétaire de la firme. § 1) Préférence pour la liquidité et gestion des stocks. § 2) Les limites de la gestion de la trésorerie en termes de stocks. Section 2 : La minimisation du volume de l’actif monétaire. § 1) La maîtrise des flux monétaires et l’économie de coûts. § 2) La négociation des conditions de banques. Section 3 : La prévision des flux

d’encaisse. § 2) L’anticipation des conditions de réalisation de l’équilibre financier. Chapitre 2 : Encaisse monétaire et trésorerie. Section 1 : L’encaisse monétaire de la firme. § 1) Préférence pour la liquidité et gestion des stocks. § 2) Les limites de la gestion de la trésorerie en termes de stocks. Section 2 : La minimisation du volume de l’actif monétaire. § 1) La maîtrise des flux monétaires et l’économie de coûts. § 2) La négociation des conditions de banques. Section 3 : La prévision des flux

Etats-nations, les frontières, les barrières commerciales et toutes les institutions politiques, sociales et culturelles à caractère national doivent désormais s’effacer devant la “tyrannie des marchés” financiers (H Bourguinat7), la soudaineté des crises monétaires et les secousses financières en chaîne. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication ne sont plus que des instruments aux mains et au service de l’expansion du capital financier. Ces technologies ne sont-elles pas faites pour

quel sera le niveau exact des prix et des quantités échangées entre pays. C'est S. Mill qui déterminera l'équilibre de l'échange international en faisant deux hypothèses : fonctions de demande par pays identiques et constance de la part du revenu réel consacrée à chaque bien. D'autres hypothèses fondent le modèle : concurrence pure et parfaite, existence d'un seul facteur primaire par pays, coûts de production fixes (totalement indépendants de l'échelle de production et des effets externes).

zéro : la conséquence principale des rendements décroissants est qu’il y a donc un état de production maximum dans l’économie, au-delà duquel on ne peut progresser donc à terme la croissance sera de zéro. • La dichotomie monétaire : la sphère financière n’est que la contrepartie de la sphère réelle. Au sein du courant classique on trouve, en autres, trois économistes dont les conclusions vont être largement reprises par le courant néoclassique. Adam Smith : la main invisible stipule que l’intérêt

convention à Lomé, qui permet de donner le libre accès au produit des pays de l’ACP (Afrique, Caraïbes, Pacifiques) dans la communauté. Les pays de l’ACP peuvent toujours se protéger contre les pays de la CEE. En 1979, on va créer un système monétaire européen, c’est l’ECU (European Currency Unit). Le début des années 1980 va être marqué par l’arrivée de nouveaux traités. A partir de 1986, on crée l’acte unique, et s’en suit une série de traités. En 1985, un certains nombres de pays européens

concurrence puisse s’exprimer sans pénaliser les entrées intérieures. 5ème phase d’intégration : faut-il harmoniser le rôle des pouvoirs publics ? politiques conjoncturelles erronées L’Europe en est là politiques monétaires création monnaie pour cette zone UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE (UEM) 6ème phase d’intégration : s’il y a une monnaie, il y a une souveraineté publique qui passe par la fiscalité ◊ il faut un président démocratiquement élu en légitimité Cette phase est la dernière de l’intégration