Dictature Et Rire

L’arrogance des Anonymes Je n’ai jamais cautionné l’anonymat et bien qu’on m’en ait un jour accusée, je ne l’ai jamais pratiqué. Même si l’anonymat protège parfois contre certaines formes de censures et autres dictatures, cela reste, après réflexion, la forme la plus basique de lâcheté. C’est se cacher dans l’ombre et ne pas vouloir faire face aux conséquences de ses actes. Donner son nom, c’est prendre ses responsabilités et surtout prendre le risque de conséquences et de représailles, ces représailles

Ton visage est triste ». Il est très autoritaire, il donne beaucoup d’ordre à ses convives et les oblige à les exécuter « Je veux que tout le monde rie. Toi, Lepidus, et tous les autres . Levez-vous, riez. Je veux, vous entendez, je veux vous voir rire ». Il fait régner la peur et ne s’en cache pas, il est même heureux de procéder ainsi « Non, mais regarde-les, Caesonia. Rien ne va plus. Honnêteté, respectabilité, qu’en dira-t-on, sagesse des nations […] Tout disparait devant la peur. La peur, hein

pourrait l’imaginer. Le centre est plutôt coquet, les commerces et les cafés nombreux. Rien, à première vue et pour le voyageur de passage, ne permet de deviner que c’est ici qu’est né le soulèvement populaire qui a mené à la chute de 23 ans de dictature et à ce qui est convenu d’appeler aujourd’hui « le printemps arabe ». Certes, à l’instar de ce que l’on peut voir dans le reste du pays, les nombreux « graffiti » (aussi bien en arabe qu’en français ou en anglais) témoignent de l’ampleur des événements

qui sont encore en vie. Je te regarde, tu me regardes... Je te souris, tu me souris... Tu crois que je t'aime, mais je t'emm*rde ! Je n'aime pas beaucoup qu'on partage mon opinion, j'ai l'impression de n'avoir plus qu'une demi opinion. La dictature, c'est "ferme ta gueule", et la démocratie, c'est "cause toujours". A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. Papa, d'ou ils viennent les nuages ? De Jamaique mon fils.. De Jamaique.. Si la drogue nuit à tes études

L , L K Résumé Dans les ruines brûlantes de la cité millénaire de Kaboul, la mort rôde, un turban noir autour du crâne. Ici une lapidation de femme, là un stade rempli pour des exécutions publiques. Les talibans veillent. La joie et le rire sont devenus suspects. Atiq, le courageux moudjahid, reconverti en geôlier, traîne sa peine. Toute fierté l’a quitté. Le goût de vivre a également abandonné Mohsen, qui rêvait de modernité. Son épouse Zunaïra, avocate, plus belle que le ciel, est désormais

c'est la langue allemande dans sa dimension la plus agressive qui est parodiée; mais l'essentiel de ce qui est dit ne veut rien dire... Chaplin montre par là que le discours est d'une rare pauvreté et stupidité. Il montre qu'en réalité dans cette dictature le fond (les idées) est moins important que la forme (la façon d'exprimer des idées). L'emploi d'une voix off (traducteur) nous fait saisir très vite qu'Hynkel parle beaucoup pour ne rien dire: en effet de longues phrases correspondent à une idée

passion, jaloux, envieux, avare, vaniteux, etc. Le spectacle des passions procure du plaisir, nous flatte, mais, en même temps, nous montre la vérité sur nous-mêmes. Molière avait choisi pour devise "castigare ridendo mores" (châtier les mœurs par le rire) : l'art est porteur d'une morale, mais il ne nous fait pas la morale. Hegel s'oppose ici, implicitement à la morale kantienne, selon laquelle nous devons faire le bien par respect pour la loi morale et sans considérer notre intérêt ou notre plaisir

dénoncer, derrière le rire, la violence et la cupidité des puissants. Ce qui fait frémir le spectateur est la distance entre la familiarité et la bonhomie apparentes des préoccupations du père et de la mère Ubu (par exemple l’évocation des « fonds de culotte », le plaisir de manger de l’andouille, ou le désir d’un parapluie et d’un grand caban) et l’enjeu et les conséquences du complot qu’ils préparent : il ne vise pas moins à massacrer toute une famille et à imposer une dictature sanglante à tout un

dictateur de Bacteria et ensemble, ils établirent une alliance. L’invasion fût un succès. Mais durant ce temps, Schultz et son ami juif réussissent leur fuite du camp et ce dernier passa la frontière avec la belle qu’il aime pour échapper à la dictature. C’est alors que tout se brouille! Les soldat de Hynkel arrêtent leur propre dictateur parce que la ressemblance avec le barbier est trop forte et ils croient donc que le Dictateur est le barbier. D’un même fait, ils poussent le barbier à aller

dénoncer, derrière le rire, la violence et la cupidité des puissants. Ce qui fait frémir le spectateur est la distance entre la familiarité et la bonhomie apparentes des préoccupations du père et de la mère Ubu (par exemple l’évocation des « fonds de culotte », le plaisir de manger de l’andouille, ou le désir d’un parapluie et d’un grand caban) et l’enjeu et les conséquences du complot qu’ils préparent : il ne vise pas moins à massacrer toute une famille et à imposer une dictature sanglante à tout un