Dictature Et Rire

jeunes critiques de cinéma deviennent cinéastes et mettent en pratique ce qu’ils critiquent dans leurs articles. Claude Chabrol réalise Le Beau Serge, Jean-Luc Godard A Bout de Souffle et François Truffaut Les 400 Coups. Ces critiques fustigeaient la dictature des trois piliers du cinéma français : - les producteurs - les scénaristes (Henri Jeanson, Michel Audiard, Aurenche et Bost) - les vedettes (Michèle Morgan, Pierre Fresnais…) Ils estimaient que l’on donnait à l’époque trop d’importance au mot d’auteur

est très intolérant face à la déviance de ses membres, ceux-ci deviennent + anxieux (peur d’être punis) - créatifs + dépendants des autorités, + soumission = ⇓ Santé mentale ex: extrémistes religieux, familles autoritaristes, gouvernements(dictatures) Idéal équilibre : souplesse avec fermeté Ces normes varient au fil de l’histoire normes : subjectives Ex : Homosexualité Ex : nombre de diagnostic « anormalité » augmentent 2.1.1 Critères juridiques et économiques Parmi les critères

d’une façon de percevoir les choses. Est-on grotesque ou est-ce le discours ambiant qui est grotesque ? L’écriture du grotesque est politique car elle est critiqueDe la grotte au grotesqueLe grotesque est une forme de comique, fondé sur un décalage. Le rire, l’effet comique, vient du fait que nous observons un décalage entre une norme, une habitude, entre ce qui nous paraît familier et cette chose-là qu’on trouve comique. Plus l’évènement comique est fort, plus l’effet comique sera fort.Dans le domaine

tout en bousculant notre langue, en démolissant les tabous, n’en aborde pas moins les grands problèmes existentiels de l’humanité. Dans son voyage à travers les mots, utilisant l’humour comme médiateur, Queneau exprime une grande tolérance et fait rire de nos propres misères. Il rejoint ainsi les plus grands auteurs comiques de notre littérature : « Y a pas qu’la rigolade, y a aussi l’art. » Esprit universel, Queneau comme Rabelais invite le lecteur à un certain effort (à éplucher « l’oignon » ou

une phrase d’un soldat durant la guerre du Rif : «un homme ça s’empêche». D.Sapiens / Demens (ref aux écrits d’Edgard Morin) L’homme est Sapiens autant que Demens, Sapiens, oui on le sait, mais aussi demens = fou. L’homme se caractérise par le rire et les larmes, ce sont des réactions convulsives signes de déséquilibre à mettre en relation avec 2 autres tendances : -recherche de l’extase (état dans lequel l’homme sort de lui). Différents procédés dont : l’ ivresse, la drogue, la danse, la musique

être incontestables. • On cherche à atteindre la raison et l’intelligence du destinataire. Le registre didactique est souvent employé (? fiche 6). B Persuader Persuader, c’est jouer sur la sensibilité et les sentiments du destinataire. Aime-t-il rire de son adversaire, s’en moquer ? Quel est son système de valeurs ? Il s’agit de trouver ce qui pourrait lui plaire, ou au contraire le choquer, de manière à obtenir son adhésion. Ici on déploie tout l’art de la rhétorique et on joue sur divers registres

de la côte Est des Etats-Unis. Sa vie, retracée ici à travers ce poème de très nombreux inédits, suit les soubresauts littéraires et politiques du siècle, du mouvement dada aux errances du surréalisme, de la montée du nazisme en Allemagne à la dictature du gouvernement de Vichy, de la création de l'URSS à la décolonisation. De Paris à Mexico, de Tunis à New York en passant par Berlin, Prague et Rio de Janeiro, c'est une longue vie pleine de poèmes et de traversées, cherchant sans cesse un difficile

féminins ne parlent que de kilos en trop, kilos à perdre, minceur à tout prix,… Et gare à celles soit avec quelques kilos en trop, soit n’arrivant pas à perdre du poids, elles sont montrées du doigt et on les accuse de manque de volonté !!!Face à cette dictature de la minceur, de nombreuses femmes deviennent anorexiques ou boulimiques. Perdre ou prendre le moindre kilo devient une obsession qui peut les mener droit vers la mort. Mais l’anorexie n’est pas une mode, c’est une véritable maladie qui doit être

désormais. C’est le cas du Marquis de Sade, auteur du 18ème s., à qui Elisabeth Roudinesco consacre tout un chapitre ; il a été emprisonné toute sa vie pour avoir écrit des livres érotiques et libertins (sadisme). Le personnage de Sade nous fait doucement rire alors qu’au 19ème s. encore il effrayait beaucoup de gens, notamment Napoléon qui jetait ses livres au feu. La notion de perversion a donc beaucoup changé. Nous avons analysé plus particulièrement le dernier chapitre, qui porte sur la perversion

lecteur se rend donc clairement compte de la circularité du récit. Evidemment, l'auteur a aussi faire preuve d'humour et d'ironie tout au long de son oeuvre. Le lecteur constate vivement la naïveté des animaux, qui a tendance, au début, à le faire rire mais ensuite à l'ennuyer du fait que ces bêtes ne se rendent pas compte de leur servitude. En revanche, le lecteur apprécie de retrouver les traits humains sous le comportement des animaux. En outre, on a affaire à une contre-utopie. En effet, cette