Dictée de Mérimée

 Mérimée Sa vie : Prosper Mérimée, né le 28 septembre 1803 à Paris, est un écrivain, historien et archéologue français. Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée s'intéresse rapidement à la littérature et publie dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître. Mérimée fait des études de droit, apprend le piano et étudie la philosophie et aussi de nombreuses langues : l'arabe, le russe, le grec et l'anglais. Il est l’un des premiers traducteurs de la langue

Prosper Mérimée, né le 23 septembre 1803 à Paris et mort le 28 septembre 1870 à Cannes, est un écrivain, historien et archéologue français. Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui vaudront d'être élu à l'Académie française en 1844. En 1831, il entre dans les bureaux ministériels et devient en 1834 inspecteur général des Monuments

Prosper Mérimée Prosper Mérimée, né le 28 septembre 1803 à Paris et mort le 23 septembre 1870 à Cannes, est un écrivain, historien et archéologue français. Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui vaudront d'être élu à l'Académie française en 1844. En 1831, il entre dans les bureaux ministériels et devient en 1834 inspecteur

 Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui vaudront d'être élu à l'Académie française en 1844. Mérimée écrit principalement des nouvelles : La Guzla (1827), La venus d’Iles(1837) En 1831, il entre dans les bureaux ministériels et devient en 1834 inspecteur général des Monuments historiques. Il effectue alors de nombreux voyages

 1. L’AUTEUR Prosper Mérimée Prosper Mérimée, né le 28 septembre 1803 à Paris et mort le 23 septembre 1870 à Cannes1, est un écrivain, historien et archéologue français. Issu d'un milieu bourgeois et artiste, Prosper Mérimée fait des études de droit avant de s'intéresser à la littérature et de publier dès 1825 des textes, en particulier des nouvelles, qui le font connaître et lui vaudront d'être élu à l'Académie française en 1844. En 1831, il entre dans les bureaux ministériels

Introduction de la nouvelle Les Âmes du purgatoire est une nouvelle de Prosper Mérimée publiée dans la revue des deux mondes le 15 août 1834, puis elle sera republiée au côté des grandes nouvelles en1842. Cette nouvelle est une version très rare du mythe de Don Juan, contrairement à la majorité des auteurs ayant écrit sur le personnage de Don Juan, Mérimée se réfère au personnage de don Juan de Maraña. On va commenter l’étude des personnages qu’on a réalisé après la lecture de la nouvelle. DON

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TABLE DES MATIÈRES Résumé Analyse des personnages Le narrateur Mr De Peyrehorade Alphonse de Peyrehorade Mme de Peyrehorade Mlle de Puygarrig Axes de lecture Le fantastique Une nouvelle ancrée dans le réel Biographie de Prosper Mérimée Résumé L'action se passe à Ille, dans le Sud de la France. Tout commence par la rencontre entre deux antiquaires : le narrateur et M. de Peyrehorade. Tous deux se retrouvent pour parler d'une statue, celle dont tout le monde parle à Ille, découverte quelques

le récit, sauf deux petit fragments d'ouverture et de la fin. Ces deux fragments transforment le récit en journal du professeur, lu et commenté auprès des amis et la narration prend la focalisation interne. [1: Toutes les citations d'après : P. Mérimée, « Lokis » dans : La Venus d'Ille et autres nouvelles, introduction, bibliographie et notes par Antonia Fonyi, Flammarion, Paris, 1982, p. 181-228. ] Le narrateur est un prêtre protestant, professeur de linguistique, grand spécialiste du jmoude et

Mérimée et La Vénus d’Ille À l’époque de l’écriture de la nouvelle, Mérimée était en voyage dans le midi de la France. En effet, en 1834, il fut nommé inspecteur général des monuments historiques et antiquités nationales. À ce titre, il séjourna dans le Roussillon) où il écrivit La Vénus d’Ille. Il aurait également pu être inspiré par une énigmatique statue la « Vénus de Quinipily » qu’il avait vue à Baud (Morbihan)). La Vénus d’Ille est peut-être moins connue que Colomba ou Carmen dont le