Dicton

3. Le roman de l’anti-terroir Extrait no.4 : La Scouine d’Albert Laberge « Un silence et une tristesse sans nom planaient sur cette campagne. Tout attestait la pauvreté, une pauvreté affreuse dont on ne saurait se faire une idée. C’était un dicton populaire que les Picotés avaient plus d’hypothèques que de récoltes sur leurs terres. » (p.61 de l’anthologie) Extrait no.7 : Marie Calumet de Rodolphe Girard « Elle se pâmait de bonheur à la pensée de dormir dans la même saint lit dans lequel

rapport parallélisme de construction + répétition « sollicitude commune pour l’intérêt commun » pas de notion de propriété privé ou de hiérarchie sociale la vertu individuelle est la seule base menant au bonheur. Collectif : 2 aphorismes (dictons) « l’intérêt des particuliers se trouve toujours dans l’intérêt commun » / « la justice pour autrui est une charité pour nous » Montesquieu exprime une vision relativement optimiste des hommes et de leur capacité a vivre en société : ils ne sont

→ reliés à la thèse par un connecteur de cause (car/ parce que/ en effet) ou par les signes de ponctuation [:]) -D’autorité (recours à l’opinion d’une institution d’un personnage célèbre) -Par une opinion commune (sagesse populaire), proverbes, dictons. -Du témoin fictif (recours à une autorité anonyme) -Par analogie (rapport de ressemblance entre 2 réalités, 2 opinions, 2 thèses) Indices : la comparaison, la métaphore. Dans un texte argumentatif, l’auteur ou le locuteur utilise 2 moyens

étudiées aussi bien par la psychologie que par les sciences humaines et sociales. À cause de la nature complexe et difficile à saisir de l'amour, les discours sur l'amour se réduisent souvent à des clichés, que l'on retrouve dans un certain nombre de dictons sur l'amour, depuis la phrase du poète Virgile : « L'amour triomphe de tout (omnia vincit amor) », jusqu'au célèbre : « L'amour rend aveugle ». Le philosophe Leibniz en donnait cette définition : « Aimer, c'est se réjouir du bonheur d'autrui »[2]

Source : http://etudiant.lefigaro.fr/vie-etudiante/news/detail/article/l-alcool-responsable-d-un-deces-sur-quatre-chez-les-jeunes-2038/ https://www.ongdba.org/ http://www.lesscouts.be/ http://www.dicocitations.com/proverbes-dictons-jeunes.php http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais

qu’ Arlequin ne semble pas se soucier du danger pour son Maître , alors que sa condition de valet lui imposerait de donner sa vie pour lui. · L’interjection «  eh  » suivie d’un dicton «  encore vit-on  » : montre la légèreté d’Arlequin qui voit son bonheur à travers le fait de pouvoir rester en vie. · Le connecteur «  mais  » : montre

nécessite une traduction et vu qu'il n'existe pas d'équivalent en français, une explication. Or la transposition d'une langue à l'autre restitue son sens littéral à la figure lexicalisée: l'oignon y retrouve son statut végétal qu'il avait perdu dans le dicton. Par les vertus de l'analogie visuelle, il se fait alors métaphore: le bulbe et la tête, à la forme similaire, se substituent l'un à l'autre. Il devient alors possible de filer la métaphore: l'oignon peut fleurir dans la tête, la tête fleurit comme

parce que d’abord ce « je » est un « je » qui se déploie pour un « nous » effrayé, et ensuite, le « tu » dont il s’agit ici correspond non seulement à la sommation des lecteurs de Castera, mais aussi un acte d’ invitation à ceux qui consomment le dicton « je wè bouch pe ». Nous vous invitons à prendre connaissance de l’introduction de cette lettre : Je t’écris pour te dire Que je vis à fleur d’encre Dans une ville de béton armé On tire lamentablement dans ma rue Dire est déjà trop dire Le

« libre », au 17e et 18e siècle, il y avait une sorte de sexisme qui l’a détruit, ou l’a rendu plus difficile d’accès, car la loi et la société étaient en faveur des hommes, et les femmes étaient toujours « le deuxième sexe ». L’église a poussé ses dictons et sa façon de penser encore plus loin, ce qui a créé une vie plus difficile à vivre, notamment pour les femmes. Même quand l’amour était vrai, « quand la faim est à la porte, l’amour s’en va par la fenêtre. » (p.130) le sentiment de manque détruit

10(VII à X) : petite enfance de Gargantua ; comment Gargantua reçut son nom, fut allaité, vêtu, occupé par ses nourrices. Réflexion sur la vanité de l’étymologie, de la signification métaphorique des couleurs, et sur la fantaisie des proverbes et dictons, pris à la lettre. Au chapitre 7, Alcofibras s’insère dans la fiction en affirmant avoir lui-même travaillé les métaux qui sont entrelacés pour former les anneaux que porte le jeune Gargantua.Chapitres 11 et 12 (XI et XII) : L’esprit du jeune Gargantua