Didascalies Initiales Les Bonnes

Introduction : Cette pièce est extraite de : un spectacle dans un fauteuil. Alfred de Musset aura eut une relation complexe avec George Sand, et c’est d’elle qu’est venue l’idée initiale de cette pièce. Il faut tout d’abord préciser que cette pièce n’est pas vouée à la représentation. Dans la préface, Anne Ubersfeld écrit : « Après l’échec de La nuit vénitienne en septembre 1830, Musset avait apparemment renoncé à la scène, mais non à l’écriture théâtrale ». Nous allons étudier la première scène

or il écrit en français. Jean Genet : Les bonnes : deux bonnes qui vont manipuler leur maîtresse Pirandello : Six personnages en quête d'auteur (1921) : réflexion sur le théâtre |L| |'| |o| |u| |v| |e| |r| |t| |u| |r| |e| |d| |e| |F| |i| |n| |d| |e| |p| |a| |r| |t| |i| |e| |(| |1| |9| |5| |7| |)| Cette ouverture de la pièce est particulière. I- La longue didascalie initiale Il y a une première très longue didascalie, il faut attendre de longue minute avant que

aurait été envoyé par le ciel pour empêcher ce mariage. Sganarelle est complice de Dom Juan, il ment à Charlotte. Après quelques hésitations, Charlotte finit par croire en lui et ils décident de se promettre de se marier. Schéma quinaire Situation initiale : Charlotte a promis de se marier avec Pierrot Élément déclencheur : Pierrot se vante de ses exploits Péripéties : Charlotte s’intéresse à Dom Juan, Dom Juan séduit Charlotte… Élément de résolution : Charlotte est finalement séduite par

l’indique la référence à Alexandre de Médicis à la fin de la scène. C’est d’ailleurs une révélation qui fonctionne comme une surprise à la fois pour Maffio et pour le spectateur. Le choix d’un jardin à minuit au clair de lune, indiqué par les didascalies initiales, est typique des goûts romantiques. La situation se précise dans le dialogue : on comprend que le duc débauche des jeunes filles et que Lorenzo se charge de les lui trouver : « je réponds de la petite », précise-t-il l.10. Ainsi, le duc qui

CARACTERISTIQUES DE LA SCENE D’EXPOSITION Présentation du cadre spatio-temporel Présentation des personnages Lancer l’action Lieu : L’action commence à Rome, dans le palais de Néron v.3, plus précisément l’antichambre de l’empereur v.7 cf didascalie initiale. Les appartements de Néron sont un lieu symbolique : il est le lieu du pouvoir où A voudrait pénétrer mais en vain. Le lieu du pouvoir se dérobe à la vue et n’en paraît que plus inquiétant. A ne veut retourner dans sa chambre v.5 car elle pressent

qui permet d’identifier les personnages -> confère presque une dimension réaliste-> début in medias res mais qui présente ces particularités ( vues plus haut ) Les personnages sont associés à des objets : une toise pour Figaro ( d’après la didascalie ) et le petit chapeau pour Suzanne Il y a une mise en espace : l’espace est investi par les personnages presque de manière symbolique par Figaro qui mesure en quelques sortes la scène elle-même -> fait signe vers l’espace théâtrale -> unique

en pensant à Suzanne. Les données essentielles de la conjoncture sont résumées avec précision : aussi impatient que dépité, Figaro s’élève contre l’inconstance des femmes: Ce sera l’un des thèmes majeurs de la méditation et la triple apostrophe initiale en souligne l’importance (Ô femme ! femme ! femme !). Voir Hamlet, on y retrouve une plainte similaire « O femme, ton nom est fragilité ! ». Figaro croit Suzanne infidèle et sa colère va l’amener à généraliser : l’apostrophe concerne toutes les femmes

intéresserons aux éléments qui sont liés à la vérité. La question de la séduction est très importante chez le parasite car c'est par elle et grâce à elle qu'il gagne sa position. Ici cependant la séduction est utilisé par Tartuffe dans son but initiale : gagner l'amour d'une femme. Tandis qu'Elmire utilise cette dernière comme une arme contre l'hôte abusive. Tartuffe bien que surpris par le rôle d'Elmire se laisse prendre au jeux et entre dans la séduction amoureuse ce que souligne son vocabulaire

tuerie en se considérant tels que des révolutionnaires justes et raisonnables: Stepan irait jusqu’à assujetir le peuple par la force et la terreur, et à lui apporter ses idéologies par la violence, afin de l’amener finalement à ce qu’il pense être bon pour lui. Ce semblan extrémiste de Stepan se confronte à la douceur de Dora dans une telle situation, et au dépit de Voinov devant le désastre de leur plan. Puis la profonde tristesse de Dora face à l’emprisonnement de son amant s’oppose directement

de deux conversations parallèles. A- La composition du texte Il débute par un dialogue entre Jean et Bérenger, maintenu jusqu'à la ligne . À ce moment, le premier illustre ses propos (" Je me sens léger ") d'un mime ridicule, signalé par les didascalies. Arrivent alors le Vieux Monsieur et le Logicien. Leur conversation se déroule, imbriquée dans celle des deux premiers locuteurs. En effet, le raisonnement concernant le fonctionnement du syllogisme, qui intéresse le Vieux Monsieur et le Logicien