Didascalies Initiales Les Bonnes

deux personnages épris l’un de l’autre l.11 : mariage imminent l.6/15 : F mesure la chambre pour installer un lit cédé par le comte A l.13/14 : Elément de farce  lit qui est un élément symbolique est offert par le comte et F entend en faire un bon usage l.17/23 : S refuse cette chambre ainsi que tout ce qui vient du comte, elle ne veut pas vivre au château  effet de stichomythie qui accélère le rythme + pronoms relatifs à la chambre l.25 : reprise des termes de F  trait d’esprit de Suzanne

dans le palais royal. Six mois plus tard, les conseillers commentent l'ascension de Ruy Blas (portant toujours le nom de don César), devenu premier ministre, et se disputent les biens de l'Espagne (1). Ruy Blas les fustige de sa tirade méprisante : « Bon appétit, messieurs! » (2). La Reine qui, cachée, a tout entendu, lui avoue son amour et lui demande de sauver le royaume (3). Resté seul, Ruy Blas s'émerveille de cette déclaration quand paraît don Salluste habillé en valet, qui, humiliant son domestique

ou l’histoire d’un auteur en liberté Séance 1  : Edmond à l’horizon Objectif  : Déterminer un horizon d’attente Support d’étude  : les affiches de la pièce et du film, la didascalie initiale Séance 2  : On expose… Objectifs  : Susciter l’envie de lire la pièce en en comprenant l’intrigue, comprendre le rôle des scènes qui permettent l’exposition, contextualiser la scène, coopérer.

au spectateur. Les didascalies (ou indications scéniques) : Ce nom féminin désigne les indications, inscrites entre parenthèses sur le texte, qu'a écrites l'auteur sur la façon de jouer ou de dire une réplique, ou sur les éléments du décor. Leur qualité varie en fonction des œuvres : une tragédie classique du XVII° siècle en comporte très peu ; une pièce de Ionesco en sera richement pourvue. On distingue les didascalies externes, écrites en italiques, et les didascalies internes, intégrées aux

qu'on s'adresse au spectateur.Les didascalies (ou indications scéniques) : Ce nom féminin désigne les indications, inscrites entre parenthèses sur le texte, qu'a écrites l'auteur sur la façon de jouer ou de dire une réplique, ou sur les éléments du décor. Leur qualité varie en fonction des œuvres : une tragédie classique du XVII° siècle en comporte très peu ; une pièce de Ionesco en sera richement pourvue. On distingue les didascalies externes

connaître au spectateur le nom d’Électre, rappellent qu’Agamemnon a été assassiné par son épouse, qui est la « misérable » mère d’Électre. Le dialogue révèle l’extrême détresse de la fille d’Agamemnon, et le caractère inébranlable de sa résolution. Les didascalies, par ailleurs, nous apprennent le lieu de l’action, Mycènes, en Grèce, où règne la famille des Atrides. Ce passage instruit donc le public des principaux éléments nécessaires à la compréhension de la pièce, et répond aux exigences d’une exposition

Mimms se tient aux paroles de Figgins. La scène se termine sur une certitude de Figgins « C’est un singe » qui est infondée. Tableau 1 autre : Zoo ou l'Assassin philanthrope est une pièce qui, pour présenter les personnages et la situation initiale, met en place un tableau d'exposition. Cette première scène fait appel à de nombreux effets de styles complémentaires afin de faire découvrir au spectateur l'Univers particulier de cette œuvre. En quoi les « jeux » autour du berceau dans ce

acteurs), mais aussi donne des indications au lecteur, au metteur en scène, aux acteurs qui vont jouer le texte : qui parle, à qui et éventuellement où, quand, comment… Ces indications s’appellent les didascalies. Didascalies et paroles des personnages constituent le texte de théâtre. Les didascalies La présence de ces indications scéniques est facilement identifiable par le lecteur : les noms des personnages sont en lettres capitales, les autres indications (de lieu, de temps, de déplacements, d’intonations

peut ainsi appuyer l'idée d'une parenthèse informative, de mesure : cette question rappelle le problème de départ après l'analepse informative et renouvelle la curiosité pour les raisons de la distance H1-H2. La première didascalie vient à ce moment, une des rares didascalies du texte, "hausse les épaules", un mouvement statique, corroborant l'idée d'une action non scénique. Ce haussement d'épaule peut-être le signe extérieur d'une incapacité à en dire plus, comme l'indique la réplique que ce geste

« joli », tout comme la reprise nominale « Va le chercher, le mignon. » (l. 31), cela annonce la suite de la tirade… Mais avant l’envolée finale de la longue réplique, un retour au réel. « Que dis-tu, fifille ? Lève donc le nez. » (l. 29-30) : quasi-didascalie interne en terme théâtral, cette précision donne au lecteur une impression nette du poids du silence d’Eugénie dans l’atmosphère de la scène. Les deux dernières phrases (lignes 31 à 34) sont l’occasion d’un véritable élan qui confine au