Didier Ratsiraka

française. La France exploitait le bois et les épices exotiques de l’île, comme la vanille. Les Malgaches se soulevèrent à deux reprises contre les Français, en 1918 et en 1947, mais le pays n’obtint son indépendance que le 26 juin 1960. En 1975, Didier Ratsiraka prit le contrôle du pays. Il régna en dictateur sur Madagascar jusqu’en 1991, date à laquelle il fut renversé dans un contexte de crise économique. Il accéda peu après à la présidence et gouverna jusqu’à une défaite contestée aux élections en

propre au pays considéré. 2 Nous voudrions d’abord esquisser l’enracinement historique de l’entreprise. La situation politique et sociale du prétendu régime socialiste malgache (République Démocratique Malgache, sous la première présidence de Didier Ratsiraka, 1978-1993), né de la révolte de 1972 mais en ayant largement détourné l’esprit comme la lettre, a généré une violence spécifique dont certains jeunes écrivains de Madagascar ont voulu se faire l’écho. La première en date, Michèle Rakotoson

rester le plus longtemps possible en faisant tout les moyens pour y maintenir. Ils exercent son pouvoir en dictature. Il en profite pour éliminer ses rivaux et supprimer toute opposition interne. La violence d’État s’instaure . Au temps de Didier Ratsiraka et Marc Ravalomana, pas mal de politicien subissait le même sort. Mauvaise gouvernance L’incompétence au sujet de la politique fait naître la mauvaise gouvernance de l’État. Premièrement, le gouvernement ne maîtrise pas l’organisation du travail

Africaine de Développement (BAD), les travaux de réhabilitation du Canal des Pangalanes, de Toamasina à Mananjary (400 km). Le financement a été acquis et les travaux commencé en 1985. L’inauguration par le Président de la République, son Excellence Didier RATSIRAKA et le Président de la BAD clôturait les travaux, en octobre 1991. 3.- Consistance du projet Le projet Canal des Pangalanes est composé des composantes suivantes : * La partie Génie Civil : * Construction des ports fluviaux :

Madagascar, en plus grande difficulté suite à la crise de 2002 débuté en fin 2001 due à un trafic des personnes de l'AREMA, partie de Didier Ratsiraka le président au pouvoir, lors des élections l'opposant avec Marc Ravalomanana, le premier ministre malgache ayant un charisme et une certaine célébrité au près du peuple. Les élections ont été trafiqué en faveur de Ratsiraka, la majorité du peuple avec Ravalomanana en tête passa alors en force par un coup d'Etat violent entraînant des meurtres, destructions

en faveur d’un militaire chargé de faire l’Union nationale. En 1975, après l’assassinat du populaire général Rasimandrava, le capitaine de corvette Didier Ratsiraka instaure un régime autoritaire se disant révolutionnaire, à la fois pro soviétique et non aligné. Il se maintient jusqu’en 1993. Après un intermède parlementaire jusqu’en 1996, Ratsiraka est réélu. En décembre 2001 Marc Ravalomanana l’emporte mais ne peut faire reconnaître sa victoire qu’en juillet 2002, après six mois de manifestations

d’accord dans une foire international entre l’ AGCE - CNAM de La Réunion représentée par son président Monsieur Alain Seraphine, la SPAT dirigée par Monsieur Botozaza Pierrot, Monsieur Yves Langenire et le maire de la commune urbaine de Tamatave Roland Ratsiraka. • 16 septembre 2005, Monsieur Régis Mangalaza, enseignant au CNAM de La Réunion est nommé afin d’étudier l’implantation du centre CNAM Tamatave 5 rue de commerce quartier Ampasimazava. En ce sens, une journée portes ouvertes a été organisé

longue série d’évènements qui aboutissent à la démission du Président Marc Ravalomanana. En effet, le 13 décembre 2008, le Président malgache Marc Ravalomanan décide d’interdire la chaîne VIVA après la diffusion d’une interview de l’ex-président Didier Ratsiraka, exilé en France depuis 2002. Cette décision aura pour conséquence le rassemblement de milliers de personnes autour d’Andry Rajoelina, maire d’Antananarivo. Le premier rassemblement réunit 20 000 personnes dans un parc de la capitale. Le 23 janvier

l’habilitant, notamment, à révoquer le Premier ministre pour des « causes déterminantes », autres que son renversement par l’Assemblée Nationale. La seconde révision, adoptée de justesse lors du référendum du 15 mars 1998, décidé par le Président Didier Ratsiraka, a changé en profondeur l’édifice constitutionnel : d’une part, la loi constitutionnelle n°98-01 du 8 avril 1998 a remanié l’énoncé des principes essentiels, des droits et des libertés ; d’autre part, une nouvelle variante « d’Etat régional »

permet de mieux comprendre pourquoi l’environnement économique a subi de multiples « blocages » qui auront des conséquences sur la dynamique structurelle qui régit le secteur minier. 6Il faut retourner à la « révolution socialiste » pilotée par Didier Ratsiraka pour éclairer les problèmes économiques de Madagascar des deux dernières décennies. Fondée sur le collectivisme agraire et la nationalisation des secteurs clefs de l’économie comme l’agriculture, les stratégies économiques mises en place sous