Die Linke

Social Démocrate (SPD) : sociaux-démocrates, parti de gauche Président : Sigmar Gabriel - Parti Libre Démocratique (FDP) : libéraux  Président : Annegret Kramp-Karrenbauer Il défend des politiques combinant la défense des libertés fondamentales. - Die Linke : gauche IV – Les enjeux à venir Dans les années à venir, l'Allemagne va devoir faire face à plusieurs enjeux importants. D'une part, un problème majeur : la pauvreté. L'Allemagne est le pays européen comptant le plus de pauvreté en 2011 et assez

la publication, en 2003, d’un programme des réformes libérales suscite de très fortes oppositions au sein du SPD. Une partie de celui-ci rejoint l’ancien parti unique est-allemand pour former un mouvement antilibéral proche des idées communistes, Die Linke (« La Gauche »). Le syndicat DGB est contesté en son sein, tandis que les grèves se multiplient. De 2005 à 2009, après des élections sans vainqueur, le SPD forme avec les démocrates-chrétiens de la CDU une coalition dirigée par Angela Merkel. A la

questions et le caractère parfois subjectif des réponses ne manquent toutefois pas de semer le trouble parmi la population étrangère. ExempleS au choix : "Quels partis politiques allemands ont formé en 2007 le parti ‘Die Linke’ ?" 1) CSU et SSW, 2) PDS et WASG, 3) CSU et FDP ou 4) Bündnis 90/Die Grünen et SPD?". Ou encore : "En Allemagne, la liberté d'expression cela signifie que je peux … 1) Imprimer des tracts sur base de faux faits, 2) Envoyer mon avis au courrier des lecteurs, 3) Arborer des symboles

victoire du libéralisme allemand. Des séries de mesures très libérales et impopulaires sont prises par la droite comme par le SPD qui connaît une crise d’identité. Le SPD (comme le PS en France) voit une partie de ses militants fonder un nouveau part : Die Linke. 2- Quel avenir pour le SPD en Allemagne Comme dans toute l’Europe, il connaît des difficultés. Peu de différence entre SPD et CDU (qui ont d’ailleurs gouverné ensemble). G. Schröder : chancelier et l’agenda 21. Pour la première fois c’est le

l’impasse sur l’aspect impérialiste de la crise actuelle (« l’hégémonie politique et économique des Etats-Unis ») et voit « l’axe et la base de cette réforme » dans la suraccumulation et la répartition « en particulier en Allemagne » (fraction du parti Die Linke au Bundestag). Ce qui dans la pratique la conduit à commettre des erreurs politiques. Par exemple, à la mi-septembre, quand les USA mirent « de façon agressive » (’’ Frankfurter Allgemeine Zeitung ”) le gouvernement fédéral en demeure de soutenir

elle refuse on lui enlève le chômage. Ca va coûter à Schroder son poste de chancelier. Dès 2005, la droite par Angela Merkel va arriver au pouvoir. La réforme Hartz a permis la naissance d'un nouveau parti du front de gauche "Die Linke". Oscar de LaFontaine se sépare du SPD et Die Linkle va faire 16%. Merkel n'avait pas la majorité donc la droite a fait alliance avec le SPD. C'est le système de cogestion qui s'est diffusé dans l'ensemble de la société Conclusion: Les évolutions du socialisme et du

Arbeit und soziale Gerechtigkeit). Dans le même temps, le PDS, héritier du SED, change de nom et devient le Parti de Gauche (Linkpartei). En 2007, WASG et le Linkpartei fusionne pour former La Gauche (Die Linke), un mouvement antilibéral proche des communistes. Aux élections de 2009, Die Linke obtient 12% des voix contre 23% pour le SPD. Après la réunification allemande, la situation de la DGB est difficile. L’économie post-industrielle qui se met en place, l’essor des classes moyennes, l’apparition

Angela Merkel a réuni 323 voix pour gouverner. Ensuite, Horst Köhler, le Président de la république fédé’rale, la déclaré Chancelière. Mais il n’a participé à aucun vote. Partis politiques : CDU/CSU (239) SPD (146) FDP (93) Die Linke (76) Verts (68) L’Allemagne connaît donc une grande stabilité gouvernementale qui est dûe, à la fois, à la forte personnalité de certains de ces chanceliers tels Helmut Kohl, Willy Brandt et Angela Merkel ainsi qu’à un système de coalitions

marxiste-léniniste : le SED est alors fondé et garde le pouvoir en RDA jusqu'à la chute du mur de Berlin en 1989, sa prédominance ayant même été inscrite dans la constitution de 1968. Depuis 2007, les derniers communistes allemands ont formé un nouveau parti die Linke (« la Gauche »). Walter ULBRICHT (1893-1973) leader du SED de 50 à 71 Erich HONECKER (1912-1994) leader du SED de 71 à 89 FDGB : Freier Deutscher Gewerkschaftsbund (Confédération des Syndicats libres d’Allemagne). C’est le syndicat

Dans le même temps, la progression des salaires subit un coup de frein. Les entreprises exportent de plus en plus, mais le pouvoir d'achat réel des salariés baisse. Un déclassement que l'euro-"teuro" tend à exacerber. Le parti d'extrême gauche Die Linke rappelle souvent que l'euro, s'il a été bon pour les entreprises, est synonyme de sacrifices importants pour les salariés. A l'heure où l'Europe admire les performances de l'économie allemande, le fossé entre riches et pauvres n'a jamais été aussi