Diérèse

L’intimité ici, est la solitude. Grâce à cette diérèse initiale, cette intimité est mise à l’honneur, dans un cadre particulier qui est le romantisme, la mort est présente, champ lexical assez éloquent : « suaire »,

documenter cette question. 3) La diérèse Ce phénomène, courant dans les variétés de français de Suisse romande et de Belgique, consiste à prononcer une séquence vocalique en deux syllabes (ex. "mouette" [mu-ɛt] ou "nuage" [ny-aʒ]) plutôt qu'en une syllabe constituée d'une semi-consonne suivie d'une voyelle (ex. "mouette" [mwɛt] ou "nuage" [nɥaʒ]). Quelques exemples: - le mot "lion" prononcé avec diérèse [li-jõ] : Suisse :  Neuchâtel. Mais la diérèse n'est pas systématique puisqu'on trouve

Rapport : rythme/syllabe C. Le rythme et les sonorités 1. L'accent tonique 2. La coupe 3. La césure 4. Rythme binaire 5. Rythme ternaire 6. L'enjambement 7. Le rejet 8. Le contre rejet 9. Diérèse/synérèse 10.L'allitération 11. L'assonance D. Les rymes E. Genres et valeurs des rymes A/Groupe rythmique Un groupe rythmique est essentiellement un groupe de mots terminé par un accent et une pause. Cette pause marque une délimitation

Élévation – Les fleurs du malCharles Baudelaire est un poète Français du 19e siècle, héritier du romantisme et précurseur du symbolisme ; occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire. En 1857, paru le premier exemplaire des Fleurs du mal, un recueil de poèmes qui fut partiellement censurer car la volonté de Baudelaire de mêler le beau avec le sordide, la sensualité et le mal choqua la bourgeoisie bien pensante. Ce n'est qu'en 1861 que le recueil est remanié et enrichie d'une 20aine

fois). Les deux hémistiches du vers 5 développe l’évidence de ce mal. Pour insister sur la souffrance, Baudelaire va utiliser en fin de vers un terme qui comporte une diérèse (mystérieuse) qui ralentit le rythme, et il s’amuse à le faire rimer avec un autre terme qui est presque un antonyme (curieuse) et qui comporte la même diérèse. Son but est de montrer que le spleen est un mal naturel mais qui provoque l’étonnement. Pour marquer le caractère universel de ce mal, il va opposer deux termes allégoriques

rapidité des préparatifs et Ordres du roi rapidement exécutés. Ds 2ers vers = alexandrins car évocation de la puissance royale = fait penser au Roi-Soleil = idée de rayonnement. Un certain nb de procédés illustrent d’ailleurs cette majesté cf diérèse à Lionne et nations Recours au gd style « ciel » « Maître » allitération en S au vers 13. Idée de puissance reprise et associée au verbe étaler. 2ème partie = alexandrins = Rythme plus lent. Evocation du comportement des animaux : jeu avec métrique

cet oeil : son incertitude, appuyée par la diérèse «mystéri-eux» (qu’il faut respecter pour que le vers ait ses douze pieds), ses variations constantes, sa versatilité inquiétante. Et, au dernier vers de la strophe, se dessine déjà la correspondance entre la femme et le ciel. La deuxième strophe, établissant une correspondance entre cette femme et une atmosphère où sont atténuées la lumière, la chaleur et la visibilité («jours blancs, tièdes [autre diérèse] et voilés»), il montre son effet nocif (thème

langage est hérité de la Préciosité, mais, chez Tartuffe, ce langage dévot est devenu un langage naturel et la dévotion lui fournit une excuse commode : en aimant Elmire, il aime la beauté créée par Dieu. Mais le terme « dévotion » (v. 986, avec diérèse) touche au blasphème en confondant l’amour pour une femme avec l’amour que le chrétien doit avoir pour son dieu. Il en va de même lorsque Tartuffe brosse son auto-portrait, auquel l’exclamation initiale donne le ton. La religion lui offre à nouveau

celles propres à l'équilibre interne du poème. Le « e » muet. Le « e » ne se prononce pas lorsqu'il est suivi d'une voyelle ou lorsqu'il est placé à la fin de vers. → Heureux qui, comme Ulysse, a fait un beau voyage. (Du Bellay) La diérèse et la synérèse. La diérèse prononce deux syllabes deux sons habituellement groupés: → au/da/ci/eux. La synérèse prononce une seule syllabe deux sons habituellement séparés: → lion. 2. La strophe : Une strophe est un groupe de vers constituant une unité de

roseau * Changement de personnage par un tiret (marque du dialogue). Rigueur de la fable : «  le chêne dit (…) le roseau répondit (…) » * « compassion » = diérèse + mot à l’hémistiche + enjambement : proposition incise qui allonge la qualité de compassion du chêne : le roseau pas dupe. V17 à 19 : ironie marquée par la diérèse + « souci » en fin de vers (insistance) + parle par antiphrase (contraire : « bon naturel » = « mauvais »). Il comprend que le chêne se moque * nature importante