Diérèse

du lecteur : il change de mètre (longueur de vers) : alexandrins initiaux : rythme ample qui suggère la Majesté royale ! Selon ce dont on a besoin pour faire le bon nombre de syllabes, on peut raccourcir ou allonger un mot (diérèse = long ; synérèse = court). La diérèse relève encore le lion. v.7-8 : enjambement. Un vers déborde sur l’autre. Lors de la rupture, + de mélodie, + de fluidité. Il y a un changement de rythme : La Fontaine met ici en valeur le sentiment d'importance qu'étale le roi

dix-sept pour le troisième... Cette irrégularité persiste tout au long du texte où les vers sont toujours très longs, ce qui ramène la rythmique du poème à celle de la prose. Seulement le premier vers est un alexandrin si l'on marque la diérèse sur «anc-i-en». Cette diérèse peut également ne pas être marquée, ce qui ferait un vers à onze syllabes. On peut également apercevoir des rimes qui sont pauvres «ancien/matin» vers 1 et 2, «policières/divers» vers 13 et 14, «Christianisme/Pie X» vers 7 et 8, «sténo-dactylographes/passent»

par une personne ou un groupe. Cet article regroupe ces données techniques en une présentation générale ; les détails sont présentés dans les pages césure, diérèse, enjambement, hémistiche, hiatus, métrique, rime, strophe, synérèse, vers, etc. Sommaire 1 Le vers 1.1 Métrique 1.1.1 Décompte des syllabes 1.1.2 Règle du e caduc 1.1.3 Diérèse et synérèse 1.1.4 Hiatus 1.2 Noms basés sur la métrique 1.3 Rime 1.3.1 Noms 1.3.2 Féminin et masculin 1.3.3 Singulier et pluriel 1.3.4 Richesse 1

vestimentaires sont exagérés, le faux col est démesuré, il engloutit l'oreille, les chaussures sont des pantoufles qui brillent pour accentuer le caractère ridicule du bourgeois que tout oppose au poète, mal vêtu, mal coiffé, à la tenue négligée. La diérèse de Monsi/eur (i-eu) au vers 8 accentue le caractère pompeux et ridicule du personnage. Étrange situation pour ce personnage bien vêtu, il souffre d'allergie, un rhume de cerveau, une rhinite, un coryza qui contraste avec sa situation importante. Par

pour des problèmes graphiques Exemple : « Et, durant tout un jour, j’ai eu toute Venise. » Henri de Régnier. - la diérèse (division) : elle divise deux sons normalement lus liés. La diérèse est en général un mode de soulignement. Elle peut servir à amplifier un terme isolé ou simplement pour des raisons métriques. Exemple : lion donne li/on ou quatrième se prononce en diérèse quat/ri/ème dans le langage courant. « La Ré- vo-lu-ti-on leur criait : «  Vo-lon-taires… » Victor

voyelle, ou s'il est à la fin du vers. b) Exemples : vers 16, 17, deux alexandrins :"C'était l'heur(e) divin(e)/ où sous le ciel gamin" vers 29, treize syllabes :"Et que vous aurez un(e) petit(e) ami(e) anglais(e)" 2. Diérèse, synérèse a) On fait une "diérèse" lorsque l'on prononce de façon séparée les deux termes d'une diphtongue (en français, le plus souvent, une diphtongue est l'adjonction d'une semi-consonne et d'une voyelle). Exemple :AFeK Si jô A ffec  ti on 1 2 3 4

« mon amant ». En décrivant la scène, Bérénice parle sur un ton lyrique. Elle expose ses sentiments forts à l'égard de Titus. Les diérèses placées sur les signes de pouvoir (« aigle » et « pourpre ») montrent l'importance que prend Titus. La « splendeur » est à la rime avec la « grandeur » pour appuyer sur la force de « cette nuit ». Nuit qui est aussi placée sous la diérèse. Cette nuit est celle du couronnement de Titus. Même si le pouvoir n'attire pas la Reine, il garde une grande importance dans

extrémités de la ville. → se laisse porter par la vie de la ville : espace ouvert, de liberté => enthousiasme des artistes du début du siècle pour la ville b)-thème errance mètre : quintils d'octosyllabe, antithèse avec l'errance → Absence de ponctuation, diérèse « melodieux » c)-Référence a l'antiquité, lyrisme → Référence à Apollon : le soleil dont il est le dieu + la lyre qu'il a inventé. → Le registre lyrique s'impose ici la ville et le moi sont liés, errer dans la ville au rythme du moi. II La célébration

le e s’appelle faire une élision, ou élider. 3) La diérèse : Dans le vers « Si mystérieux », la prononciation normale donne quatre syllabes ; mais d’après le contexte, on attendrait un pentasyllabe (le reste du poème est composé d’une alternance de deux pentasyllabes et d’un heptasyllabe). On détache donc le i en prononçant : « si mystér-i-eux ». Détacher ainsi deux voyelles habituellement liées dans la prononciation s’appelle faire une diérèse. Ce procédé permet donc d’obtenir un vers de la bonne

il engloutit l'oreille >personnification > faute de goût. Rejet externe «  ses yeux » >le rythme laisse penser qu’il est aveuglé par soucis apparence. Il est en pantoufles >qui brillent >accentue le caractère ridicule du bourgeois. Ainsi que La diérèse de Monsi/eur (i-eu) au vers 8 accentue le caractère pompeux et ridicule du personnage. *Attitude trop sérieuse :Jeux de mots « maire et père » > pas de différenciation vie pv et public. « Il est grave » : 1ère caractéristique, appréciation générale