Diète d'Empire

instaurent une réforme industrielle, afin de pacifier leur territoire, pour qu’ils puissent avoir un réel pouvoir sur leur empire. Cette réforme, entendue à la diète de Worms, a pour but de ne pas faire de guerres privées entre les régions. Les princes acceptent tous. Pour être certain que cette entente soit respectée, on créer un Tribunal d’Empire. Toutefois, pour payer les juges ainsi que l’armée commune, les Hasbourg instaurent le «sou commun», type d’impôt direct imposé à la population qui, à l’extérieur

peut parfois se combiner avec une sorte de démocratie (exemple de la République de Venise avec un doge élu et aux pouvoirs limités ou de la Pologne dont le Roi était élu par la Noblesse — 10 % de la population — et dont les pouvoirs étaient dans la Diète). Antiquité grecque[modifier | modifier le code] Aristocratie, du grec aristokratia (aristos, excellent, le meilleur, le plus brave et kratos, pouvoir). Par ce seul mot, c'est la conception d'un régime politique et d'une organisation sociale qui

Confédération. Il n'existe pas de gouvernement central. Il existe un parlement fédéral, c'est la Diète (parlement dans l'Europe centrale et orientale). Elle est à Francfort et dispose de 70 membres. Elle prévoit une procédure très complexe. Pour qu'une décision soit prise il faut obtenir les 2/3 de la diète et que chaque état membre ratifie la décision prise (ce qui équivaut à une unanimité). La Diète ne peut donc prendre de décisions. Cela permet aux grandes puissances de maintenir les hiérarchies

de France l'a également été. On mesure alors combien le sort de cet empire qui disparaît avec napoléon a pu être lié à l'histoire et à la construction de l'Europe. A la suite, des travaux de Robert Foltz, nous essaierons de comprendre cette idée d'empire en Europe. Qui entre théorie politique et réalité c'est partagé entre les notions ou les concepts d'universalisme, de fédéralisme puis de nationalisme. Les évènements qui ont marqué la tournée de l'empire est souvent inconnue dans l'enseignement

peut assimiler « La bombe parisienne » à « l’étincelle » qui mit le feu aux poudres, déclenchant l’engrenage que l’on appellera plus tard « Printemps des peuples ». Le régime de la monarchie de juillet est usé, la grave crise économique ne cesse d’empirer, et de plus, la capitale possède un « terreau » social et urbain particulièrement disposé à l’expression de revendications insatisfaites. On observe une nette frontière sociale entre un Paris des beaux quartiers et le Paris populaire des ouvriers

souverains de l'empire. Elles se réunissent de façon assez irrégulière. Entre le X° et le XVIII°, on a en moyenne, une réunion tous les 60 ans. Ces assemblées expriment clairement des griefs (gravamina) d'ordre financier contre le pape. Exemple de la diète de Worms au début du XVI°. Elles lui reprochent de disposer trop librement des bénéfices ecclésiastiques germaniques. Cette montée des particularismes n'est pas sans conséquences pour les grands ordres religieux, notamment chez les bénédictins

aux autres. Sur le plan politique, ce patriotisme impérial critique aussi l'absolutisme des princes et le gouvernement aristocratique des villes, défendant le point de vue des catégories sociales qui ne sont pas représentées à la diète impériale (les chevaliers d'empire, la petite bourgeoisie cultivée, les étudiants, les officiers, etc.). Cette volonté de liberté s'accompagne d'un intérêt nouveau pour la nature. Les personnages peuvent laisser s'exprimer leurs sentiments plus librement lorsqu'ils

libéraux s'étaient réunis à Heidelberg pour préparer l'élection d'un parlement allemand dont les membres seraient désignés par les sociétés libérales, les associations des villes. Le 18 mai, on élit son président Henri de Gagern, on dépossède la Diète de ses attributions. Ce nouveau parlement est composé de toutes les tendances politiques. ( une gauche démocratique, une extrême gauche républicaine, un centre libéral orienté à droite, un centre libéral orienté à gauche, une droite). Le but de

Hongrie semble légitimer une politique répressive envers les autres nationalités de la part d’une population qui en a pourtant souffert. Alors que l’Empire est parvenu à résoudre le conflit austro-hongrois et à instaurer un certain «patriotisme d’empire» ( comme le souligne l’historien Jacques Droz), le dualisme s’avère rapidement comme étant responsable de son effritement et marque le début des combats nationalistes . Dès le compromis émergent donc des revendications nationalistes diverses

aux nations en construction. Un siècle plus tard, cet ensemble paraît désuet et trop fragile pour résister à une guerre européenne où s’affichent des nations vigoureuses et puissances industrielles mondiales, munies pour l’Angleterre ou la France d’empire coloniaux imposants. Alors la guerre paraît enclencher l’inexorable chute de l’Empire continental/des Habsbourg. Cependant, des questions demeurent quant à l’incidence réelle du conflit/ de 14-18 dans la disparition de l’Empire d’Autriche-Hongrie