Diéthanolamine

liés à la formulation. Selon la définition officielle, les produits cosmétiques sont censés agir uniquement sur les parties superficielles du corps. Cependant, est-ce vraiment le cas pour tous les produits ? MEA (Monoethanolamine) ; DEA (Diethanolamine ) ; TEA (Triethanolmine ) ; AEDN (…) Ces trois tensioactifs sont facilement absorbables par la peau et peuvent s'accumuler dans les organes. Une étude du National Toxicology Program l'a récemment démontré, et notamment qu'une application répétée

Catégorie chimique Nombre de produits Alcool méthylique HAP 342 Éthylèneglycol HAP 119 Diesel Cancérigène, HAP 51 Naphtalène Cancérigène, HAP 44 Xylène HAP 44 Chlorure d'hydrogène HAP 42 Toluène HAP 29 Éthylbenzène HAP 28 Diéthanolamine HAP 14 Formaldéhyde Cancérigène, HAP 12 Acide sulfurique Carcinogène 9 Thiourée Carcinogène 9 Chlorure de benzyle Cancérigène, HAP 8 Cumène HAP 6 Acide nitrilotriacétique Cancérigène 6 N,N-Diméthylformamide HAP 5 Phénol

comprendre sa composition. Le shampoing contient des agents lavant comme : -L’ammonium lauryl sulfate ou l’ammonium laureth sulfate, -Le sodium laureth sulfate (SLES) ou le sodium lauryl sulfate (SLS) (qui est un produit plus agressif !) -Le diethanolamine (DEA) -Le triethanolamine (TEA) Certains de ces composants chimiques se révèlent être toxiques pour notre organisme et ceci sous plusieurs forme. Le SLS est une substance très agressive qui peut irriter la peau, être absorber dans les yeux

composés sulfurés (à l'origine des mauvaises odeurs) et en particulier l'H2S, toxique, on fait subir à ces gaz un traitement aux amines. Le procédé est basé sur l'absorption chimique de l'hydrogène sulfuré dans une solution aqueuse contenant de la diéthanolamine. Ensuite, par chauffage, on élimine l'hydrogène sulfuré et on régénère ainsi la solution aqueuse active qu'on réinjecte dans l'absorbeur. Ce procédé est également utilisé pour purifier l'hydrogène de recycle des unités d'hydrotraitement en augmenter

o-Dichlorobenzène p-Dichlorobenzène Dichlorodifluorométhane Dichlorodiphényltrichloroéthane Dichlorofluorométhane Dichlorométhane Dichloropropène (isomères cis et trans) Dichlorvos Dicrotophos Dicyclopentadiène Dicyclopentadiényle de fer Dieldrine Diéthanolamine Diéthyl cétone Diéthylamine Diéthylamino-2 éthanol Diéthylène triamine Voir Chlorure de méthylène [542-75-6] [62-73-7] [141-66-2] [77-73-6] [102-54-5] [60-57-1] [111-42-2] [96-22-0] [109-89-7] [100-37-8] [111-40-0] 3 200 5 10 1 5 1 0,1 4,5

nécessaire à la réaction avec les gaz acides. Ces amines sont classées suivant le degré de substitution de leur atome d’azote. Pour le captage du CO2, les amines les plus utilisées sont la monoéthanolamine (MEA) ; la diglycolamine (DGA) ; la diéthanolamine (DEA) ; la diisopropanolamine (DIPA) ; la N-méthyldiéthanolamine (MDEA) et la Triéthanolamine (TEA). Ces dernières années, des nouvelles amines ont été développées pour diminuer le surcoût énergétique lié au captage du CO2. Il s’agit d’amines

110-57-6 2 de l’ère commune 2,6-Dichloro-1,4-phénylènediamine 609-20-1 2 de l’ère commune 1,2-Dichloropropane 78-87-5 2 de l’ère commune Dicofol 115-32-2 2 de l’ère commune Didanosine 69655-05-6 Dieldrine 60-57-1 2 de l’ère commune Diéthanolamine 111-42-2 2 de l’ère commune Diéthyldithiocarbamate de sélénium 5456-28-0 2 de l’ère commune Diéthyldithiocarbamate de sodium 148-18-5 2 de l’ère commune Diéthyldithiocarbamate de tellure 20941-65-5 2 de l’ère commune N,N'-Diéthylthiourée

68989-88-8), contenant > 0,1% p/p de butadiène Hydrocarbures en C4 (n° CAS 87741-01-3) contenant > 0,1% p/p de butadiène Alcanes en C1-4, riches en C3 (n° CAS 90622-55-2), contenant > 0,1% p/p de butadiène Gaz résiduels (pétrole), lavage de gazole à la diéthanolamine (n° CAS 92045-15-3), contenant > 0,1% p/p de butadiène Gaz (pétrole), hydrodésulfuration du gazole, effluent (n° CAS 92045-16-4), contenant > 0,1% p/p de butadiène Gaz (pétrole), hydrodésulfuration du gazole, purge (n° CAS 92045-17-5), contenant

réservés aux composés polaires et peu volatils sous vide. L’ionisation se fait par impact d’atomes lourds non ionisés (Ar ou Xe), animés d’une grande vitesse, sur l’échantillon dispersé au préalable dans une matrice liquide peu volatile (glycérol ou diéthanolamine) et déposé dans la source à l’extrémité d’un support. 338 Partie 3 • Autres méthodes Pour disposer de ces projectiles, on commence par ioniser un gaz tel l’argon avec des électrons. Ces ions primaires sont alors dirigés vers une

de pétrole brut et craquage catalytique, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Hydrocarbures en C4, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Alcanes en C1-4, riches en C3, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Gaz résiduels (pétrole), lavage de gazole à la diéthanolamine, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Gaz (pétrole), hydrodésulfuration du gazole, effluent, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Gaz (pétrole), hydrodésulfuration du gazole, purge, contenant > 0,1 % p/p de butadiène Gaz résiduels (pétrole), effluent