Dieu Et Nous Seuls Pouvons

et de se les signifier mutuellement. Mais le langage existe en vue de manifester l’avantageux et le nuisible, et par suite le juste et l’injuste. Il n’y a en effet qu’une chose qui soit propre aux hommes par rapport aux autres animaux : le fait que seuls ils aient la perception du bien, du mal, du juste, de l’injuste et des autres notions de ce genre. Or avoir de telles notions en communs c’est ce qui fait une famille et une cité ». [Aristote. La politique , I]

et Jn 20.31.) 2. Il est aussi important de souligner combien « absolus » sont les contrastes à l'intérieur de la première lettre de Jean a) On est soit dans la lumière, soit dans les ténèbres : 1 Jn 1.5-7 ; 2.9-11. b) Si on n'est pas enfant de Dieu, on est enfant du diable : 1 Jn 3.10. L'amour du monde est incompatible avec l'amour du Père : 1 Jn 2.15. L'auteur veut transmettre des certitudes, permettre à ses lecteurs de savoir qu'ils sont passés de la mort à la vie : 1 Jn 2.21 ; 3.14 5.13

siècle, les philosophes se posaient la question centrale de ce siècle : la question du bonheur. Chacun y cherchait une interprétation différente, qui ne dépendait que d’eux. A cette époque, les femmes n’avaient pas accès à l’enseignement supérieur, seuls les hommes y étaient autorisés : si elles voulaient apprendre, elles devaient avoir recours à des professeurs particuliers, ce qui impliquait qu’elles devaient faire partie de familles assez aisées. Mme Du Châtelet avait essayé d’intégrer une prestigieuse

capitale, puisque tout le reste en dépend : nos idées, mais aussi nos choix politiques, professionnels, familiaux etc. Si vous ne vous posez pas cette question, vos choix ne seront pas éclairés et vous abandonnerez votre vie aux hasards de la Fortune. Seuls des irresponsables, des « inconscients » peuvent vivre sans se poser cette question ; mais dès qu’on la pose, des difficultés très graves se manifestent. (Ci-contre : La condition humaine de René Magritte, 1933.)Sextus Empiricus et les sceptiques antiques

libre de faire le mal… » Montaigne disait : « La vrai liberté c’est pouvoir toute chose sur sois ». Notre futur est donc entre nos mains, est déterminé par l’usage que nous ferons de la liberté. Nous n’imaginons pas le pouvoir que nous avons, nous pouvons changer le monde, devenir ce que nous voulons. Pourquoi craindre ce qui fait notre grandeur ?Nous ressentons cette force dans le poème de Paul Eluard, « Liberté » notamment dans la dernière strophe « Et par le pouvoir d'un mot/ Je recommence ma vie

son martyre firent le tour du monde chrétien à son époque. On parlait partout de cette enfant de douze ou treize ans sans nom qui, plutôt que de renier son amour pour Jésus Christ et de revenir sur ses paroles faisant d'elle la promise du fils de Dieu, préféra se faire trancher la gorge par le glaive d'un bourreau qui n'osait lui-même pas la pourfendre, cela après avoir survécu aux flammes et à l'humiliation envoyées contre elle par les habitants de Rome encore majoritairement de religion païenne

de la part du roi de Castille, le plus grand prince de la terre habitable, auquel le pape, représentant Dieu en terre, avait donné la principauté de toutes les Indes; que s’ils voulaient lui payer un tribut, ils serait très bénignement traités, leur demander des vivres, pour leur nourriture, et de l’or, pour le besoin de quelque médecine; leur expliquaient au demeurant la croyance d’un seul Dieu et la vérité de notre religion, laquelle ils leur conseillait d’accepter, y ajoutant quelques menaces.

aujourd'hui, se rendent maintenant compte que leur destinée est liée à notre destinée, et ils sont arrivés à la réalisation que leur liberté est inextricablement liée à notre liberté. Nous ne pouvons pas cheminer seuls. Et en cours de chemin, nous devons promettre que nous marcherons toujours de l'avant. Nous ne pouvons pas retourner en arrière. Donc, mes amis aujourd'hui je vous dis que quoique nous devions faire face aux difficultés d'aujourd'hui et de demain, j'ai tout de même un rêve. C'est un rêve

philoKenshika Sathiyaseelan Suis-je l’auteur de ma vie ? Le capitaine d’un bateau décide t-il d’emprunter une voie maritime par son envie et donc, par volonté ou est-il contraint à emprunter cette voie pour éviter des accidents à causes des aléas naturels tels que les courants, les vagues, la météo… Par analogie, on peut considérer que la vie est le chemin emprunter et le capitaine le “je”, c'est-à-dire nous et on peut alors se demander, dirigeons-nous le cours de notre vie à notre guise

XIV. Pour dénoncer l’esclavage des noirs au sein du commerce triangulaire, et par conséquent le racisme, Voltaire emploie l’ironie : il dit le contraire de ce qu’il pense afin de prouver que la thèse adverse est absurde. Pour illustrer cela, nous pouvons relever un extrait du tome XVI : « La race des nègres est une espèce d’hommes différente de la nôtre [...] on peut dire que si leur intelligence n’est pas d’une autre espèce que notre entendement, elle est très inférieure. Ils ne sont pas capables