Difference Entre Pib Reel Et Pib Nominale

Partie I. Les origines de la croissance économique et du développement Chapitre 1. Sources et limites de la croissance Programme officiel Notions : valeur ajoutée, PIB, revenu par tête, population active, capital, productivité du travail, investissement, formation brute de capital fixe (FBCF) Notions complémentaires : IDH, développement durable, investissement immatériel, investissement public Indications complémentaires : Mesurée par l’accroissement d’un indicateur de production globale

part des dépenses de protection sociale dans le PIB et le second compare le taux de croissance du PIB à celui des dépenses en prestation de protection sociale. a) Comment a évolué la part du PIB consacrée aux dépenses de protection sociale ? Le poids des dépenses de prestation de protection sociale dans le PIB est relativement important, il est environ compris entre 25% et 30% du PIB. On n’observe pas de changement brusque mis a part entre 2008 et 2009 ou le taux passe de 26.9% a 30.1% Lorsque

marchandises....................................................15 Facteurs déterminant les variations du taux de change du dollar .........................................39 Variation du crédit réel au secteur privé ...............................................................................43 Croissance du PIB réel par habitant, 1980–2009 ...................................................................50 Fréquence des épisodes d’accélération et de décélération de la croissance, 1980–2009 .......

économiques. * La construction de l’Europe a été un phénomène de croissance - la description de la croissance nécessite de définir des indicateurs de mesure et d’apprécier l’influence des différents facteurs explicatifs. Pour les nations, on utilise le PIB. L’utilisation de fonction de production permet, en outre, d’apprécier l’influence respective des différents facteurs : travail, capital et progrès technique. - la croissance économique provoque des changements qualitatifs au niveau des structures

s’interroger sur la pertinence et l'efficacité des moyens employés pour relancer l’économie américaine. Ainsi, aujourd'hui encore, l'efficacité des politiques budgétaire et monétaire en tant qu'outils d'action sur la demande agrégée fait l'objet de débats entre les économistes. L'objet de notre étude est donc de vérifier la validité empirique de la théorie keynésienne à l'aide d'outils économétriques. En d'autres termes, nous cherchons à déterminer si les politiques économiques menées par les gouvernements

CAUSALITÉ ENTRE LE TAUX DE CHANGE RÉEL ET LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE : APPLICATION À UN PANEL DE PAYS EN DÉVELOPPEMENT KHALIL FADI‡ ‡ Univ. Orléans, CNRS, UMR 7322, LEO, F45067, Orléans, France, e-mail : fadi.khalil@hotmail.fr Résumé Cet article s’intéresse au concept de causalité en panel. Les approches de Konya (2006) et de Dumitrescu et Hurlin (2011) ont été retenues pour tester la (non) causalité au sens de Granger (1969) entre le taux de change réel et la croissance économique dans les pays

secteur institutionnel, ou branche) au cours d’une période donnée (Calcul : VAB = CA – CI) PIB (produit intérieur brut) : mesure de la production de l’ensemble des unités résidentes (calcul : PIB = VA + TVA+ droits de douane - subventions à l’importation Au niveau macroéconomique : PIB = CF + FBCF + (exportations – importations) + variations de stock) Revenu par tête : Flux de ressources, réelles ou monétaires, perçu en moyenne par chaque individu de la population d’un pays Population

MACROECO PARTIE INTRODUCTIVE : PRESENTATION DE L’ANALYSE I- opposition entre analyse A°) definition Analyse me : analyse des comportements et des choix des indi. Elle se base sur les comportements d’un agent en considérant qu’il est représentatif de l’ensemble des agents (=homo economicus). Objectif : maximiser son profit Par ex : • e (P) Contrainte : coût de P et débouchés Objectif : maximiser sa satisfaction (=son utilité) • ménages (conso)

pays qui la partagent. Ces débats ont gagné l’Afrique, où des projets d’union monétaire sont envisagés – en Afrique australe (entre les membres actuels de la Communauté pour le développement de l’Afrique australe [SADC]), en Afrique orientale (avec la relance de l’East African Currency Board [le Conseil monétaire d’Afrique de l’Est]) et en Afrique de l’Ouest (entre les pays anglophones membres de la Communauté économique des États de l’Afrique de l’Ouest [CEDEAO]). Il est donc plus important

cours de chacune de ces périodes, cela signifie qu'il a la possibilité d'épargner et d'emprunter. C'est d'ailleurs pour cela que ce choix intertemporel du consommateur est souvent décrit comme étant le choix qu'il a entre consommation immédiate et consommation différée, autrement dit entre consommation et épargne. Comme dans le raisonnement de base, la détermination de l'équilibre du consommateur consiste en une optimisation c'est-à-dire en une maximisation d'une fonction objectif - sa fonction d'utilité