Difference Rousseau Voltaire

VOLTAIRE ET LE « SAUVAGE CIVILISÉ » A Thesis Presented to The Faculty of the Department of World Languages and Literatures San José State University In Partial Fulfillment of the Requirements of the Degree Master of Arts by Christopher J. Barros May 2010 UMI Number: 1477356 All rights reserved INFORMATION TO ALL USERS The quality of this reproduction is dependent upon the quality of the copy submitted. In the unlikely event that the author did not send a complete manuscript

Hachette.(pages 96 à 107) Ce qui suit est adapté à vos copies Correction questions sur corpus 1) Chercher les différences et les ressemblances : il faut comparer les univers évoqués dans tous les éléments du corpus et non deux à deux. Le mieux est de faire un tableau comparatif au brouillon, puis de rédiger sur la copie. |Elément |Rousseau |Voltaire |Mercier |gravure |bilan | |énonciation |je

nouvelles. A travers L'éducation des femmes, Laclos appelle les femmes à se révolter et à imposer leur envie d'être éduquées. Beaumarchais, Voltaire et Marivaux dans Le Mariage de Figaro, Femmes, soyez soumises à vos maris et La Colonie donnent leur avis sur le sujet en utilisant le rire pour enseigner, ils sont outrés par le manque d'éducation des femmes. Rousseau, dans Emile ou De l'éducation au contraire s'oppose à l'éducation des jeunes filles et adopte une position sexiste sur le rôle des femmes

d’un extrait du Dictionnaire Philosophique de Voltaire article « Homme ». Voltaire né le 21 novembre 1694 à Paris ou il meurt le 30 mai 1778 est un écrivain mais aussi philosophe qui a marqué le XVIII e siècle particulièrement. Celui-ci est considéré de classe bourgeoise. Dans cet extrait de texte , il remet en cause l’être humain , il se met en opposition aux analyses pascaliennes. Il met en doute les capacités de celui-ci . C’est comme-ci Voltaire retraçait l’histoire ainsi que les inventions

Il est recueilli par la femme d’un vitrier, Mme Rousseau (le père servira une pension). Il manifeste une intelligence précoce et brillante. Il fait des études de droit, de médecine. A vingt-quatre ans, il entre à l’Académie des Sciences (l’abbé Gua de Malves est un de ses confrères). Il publie des traités de mathématiques et de physique. Frédéric II et Catherine II tentent en vain de se l’attacher, mais il préfère rester à Paris, chez Mme Rousseau. b) Denis Diderot (1713-1784) Ce qui le rapproche

croient au progrès. o Ils exaltent l’individu, redécouvrent l’enfant (importance de Rousseau, Emile, 1762), et affirment le droit au bonheur. o La plupart plaident pour une adhésion à une religion « naturelle » mais sans aller jusqu’à remettre en cause l’existence de Dieu (Diderot le fait). Aux enseignements des Eglises, la plupart opposent la croyance en un Etre suprême, un grand architecte de l’univers (Voltaire était franc-maçon). o Enfin les philosophes font la critique de l’absolutisme de droit

Nouvelle Héloïse LE XVIII° SIÈCLE SOMMAIRE : Page 2 : Frise chronologique d'un point de vue politique et culturel Page 3-4 : La Philosophie des Lumières Pages 5 : Synthèse biographique de Voltaire Page 6 : Zadig Page 7 : Micromegas Page 8 : Synthèse biographique de Rousseau Page 9 : La Nouvelle Héloïse Page 10 : Les confessions La Philosophie des Lumières Pour les intellectuels européens du XVIIIe siècle, l'homme se caractérise par capacités de réflexion, dont

Les personnages sont des marionnettes. Chez voltaire une totale indifférence à la vraisemblance. Idem dans "La princesse de Babylone". Dans l'ingénu plus proche de la tradition de la nouvelle historique. Constance d'une forme d'humour au 2e ou 3e degrés, avec le goût du pastiche à la nouvelle Eloise, pastiche biblique, il s'exprime sur un ton prophétique à prendre au 3e degrés. La présence d'une sensibilité, propre à voltaire qui y appartient. L'être humain est toujours victime de

Son opposition est explicite et frontale, à la différence de l’ironie souvent maniée dans ses articles de L’encyclopédie. Les théistes (ou déistes : croyance qui affirme l’existence d’un Dieu et son influence dans l’univers) dont la figure de proue est Voltaire, refusent l’athéisme tout comme ils condamnent la croyance en une religion révélée, fondée sur les dogmes (certitude). La définition du théisme dans le Dictionnaire philosophique de Voltaire en 1765 affirme l’existence d’un Être suprême

ce courant a conduit pour ça part à une dynamique révolutionnaire. I) Les principaux philosophes du siècle des Lumières A) Les deux grandes figures emblématiques du siècle des lumières ( Voltaire et Rousseau) Figure emblématique de la France des Lumières, François-Marie Arouet, dit Voltaire, né le 21 novembre 1694 à Paris où il est mort le 30 mai 1778, est un écrivain et philosophe qui a marqué le XVIIIe siècle notamment par son combat contre « l’Infâme », nom qu’il donne au fanatisme