Diffraction des électrons

natures à la fois, comment rendre compte de la dualité ? Le présent chapitre répond à ces questions et montre que la dualité > est une réalité dont le photon n'a pas l'exclusivité. Elle s'étend à toutes les particules "matérielles" telles que les électrons, protons, neutrons etc... I - Interférences photon par photon Pour tenter de répondre aux questions posées, nous allons réaliser une expérience extrême: l'expérience des fentes d'Young avec une source lumineuse si faible qu'elle n'émette qu'un seul

pourquoi j’ai choisi l’holographie comme sujet pour traiter le thème de l’information. C’est en 1947 que le physicien anglo-hongrois Dennis Gabor a créé le principe de l’holographie en cherchant à prendre une image qui contient toute l’information d’un électron. Son idée était que si on connaît la nature d’un champ d’onde on peut revenir sur la source qui l’a créé. Ainsi, la photographie incapable d’enregistrer les phases, Gabor développe le principe de l’holographie qui peut sauvegarder toute l’information

l’angle de diffusion. Le facteur ℎ 𝑚(𝑐⁄ est appelé longueur d’onde Compton. Théorie de Bohr pour l’atome d’hydrogène: Bohr a réussi à expliquer le spectre de l'hydrogène observé sur la base des deux postulats suivants : - Un électron ne se déplace que sur certaines orbites circulaires autorisées qui sont des états stationnaires dans le sens où aucun rayonnement n'est émis. La condition pour de tels états est que le moment cinétique orbital de l'électron est donné par : 𝑚𝑣𝑟

découvertes s'accumulèrent : découverte des lois quantitatives de la réflexion et de la réfraction par Snell et par Descartes, observation de la double réfraction du spath d'Islande par Bartholin, première description de certains phénomènes de diffraction par Grimaldi, découverte par Newton de la décomposition spectrale de la lumière blanche par le prisme et des anneaux colorés des lames minces… Tous ces remarquables progrès des connaissances scientifiques sur la lumière ne pouvaient pas ne pas donner

100 Annexes Annexe 1 – Techniques : Neutrons et Rayons X I – Introduction II – Les Neutrons II.1 Généralités II.2 Notion de section efficace II.3 Diffusion des neutrons par la matière II.4 Diffraction ou diffusion de Bragg II.4.1 Cohérent – incohérent ; élastique – inélastique II.4.2 Diffraction II.5 Production des neutrons II.5.1 Modérateur II.5.2 Neutrons produits dans les réacteurs II.5.3 Neutrons produits par spallation 104 105 105 109 109 109 111 115 115 116 119 119 119 120 10

Chapitre 3 Sources de lumières colorées Thème : Observer Sous-thème : Sources de lumières colorés I] La lumière : une onde électromagnétique 1°) Historique Les expériences de diffraction et d'interférence de la lumière réalisées depuis la fin du 18ème siècle ont amené à décrire la lumière comme une onde. Dans la deuxième moitié du 19ème siècle, James C. Maxwell montre que l'onde lumineuse est de nature électromagnétique : vibration simultanée d'un champ électrique et d'un champ magnétique, perpendiculairement

méthodes pour créer des rayons X. Il est possible d'en créer en changeant d'orbite certains électrons provenant de couches électroniques. On peut aussi en créer avec une source radioactive mais ce procédé rend la production instable et c'est pour cela qu'il n'est pas couramment utilisé. La méthode la plus commune consiste à créer ceux ci avec un tube à rayons X. On fait changer la direction des électrons vers une trajectoire précise dans un tube à rayons X. Une tension électrique est alors crée dans

champ magnétique à travers celle-ci induira l’existence d’un champ électrique en chacun de ses points. Pratiquement, si nous voulons matérialiser son existence, il suffit de placer un fil électrique le long de la boucle. Le champ présent mettra les électrons libres du métal en mouvement et nous verrons apparaître un courant. C’est ce que Faraday a découvert… L'idée originale de Maxwell fut de généraliser ce concept de lignes de champ électrique à des "boucles mathématiques". En effet, nous avons défini

permis de souligner certaines propriétés de nos pastilles notamment les différences entre les deux types. Une fois les pastilles fabriquées, il a fallu vérifier leur supraconductivité par une validation de l’effet Meissner d’abord puis ensuite la diffraction par rayons X qui nous a permis de s’assurer de leur composition chimique tout en les comparant à une pastille commerciale. Enfin, nous avons étudié l’une des propriétés physiques des supraconducteurs à savoir la susceptibilité magnétique χ via

est la dualité onde-particule énoncée par Louis de Broglie (prix Nobel de physique 1929). Une particule, grain de matière et/ou d’énergie, se comporte également comme une onde, pour donner lieu par exemple à des phénomènes d’interférences et de diffraction. En effet, les travaux d’Einstein portant sur l’effet photoélectrique et qui lui ont valu le prix Nobel de physique en 1921, avaient montré que la lumière est constituée de grains d’énergie (des quanta / un quantum), particules immatérielles : les