Différence Richesse

scène et dramatise l'opposition entre les rêves et la réalité du personnage. La parure met en parallèle deux mondes sociaux et culturels differents, celui des employés et celui des bourgeois parisien. De nombreuses oppositions apparaissent «luxe richesse ; simplicité», «dysphorie et euphorie », la recherche à tout prix du standing social et les risques de vouloir vivre une vie qui n'est pas la sienne. Mme Loisel voulait, avant tout, que les gens l'admirent, l'envient. De l'envie de paraître de Mme

les inégalités ? Toute différence est-elle forcément une inégalité ? Un blond et un brun sont différents, mais sont-ils inégaux ? Dire que deux individus sont différents, c'est dire qu'il existe une ou plusieurs distinctions entre ces individus. Mais toute différence n'est pas une inégalité. Pour qu'une différence soit une inégalité, il faut qu'il y ait une hiérarchie, c’est-à-dire qu’il faut que la différence se traduise en termes d'avantages et de désavantages. Une différence ne devient une inégalité

similaires entre eux de la société. Dans un premier temps nous observons que l’image d’une société qui divise les pauvres et les riches apparait plusieurs fois dans les extraits de ce corpus. Balzac montre une démarcartion entre la pauvreté et la richesse puisque le personnage le Père Goriot passe d’être pauvre “… et a commencé sa fortune…” à être riche “Il en a eu tant qu’il en a voulu”. Ceci montre le tournant que peut prendre la hierarchie de la société, de ne rien posséder à tout avoir et viceversa

la puissance d'un état passe par sa puissance économique. Cela signifie que: éco est indépendante de la morale éco est > à la politique 2) Objectif = enrichissement de tous: → la richesse devient la valeur suprême: la finalité de la vie sociale devient économique: l'enrichissement. La production de richesse doit augmenter, cela suppose que tous travaillent. Mercantilistes estiment que le commerce est une activité + importante que l'industrie car elle travaille pour lui. → le souverain doit

plus riches fort@etud.insa-toulouse.fr jacob@etud.insa-toulouse.fr lamothe@etud.insa-toulouse.fr priviere@etud.insa-toulouse.fr Cours d’économie : BORG Philippe (philippeborg@free.fr) Sommaire Introduction 1 I. Comment définir la richesse ? 2 A. Qui sont les riches ? 2 B. De nouvelles données sur les plus aisés : Les méthodes d’évaluation et leurs limites 3 C. Les répercussions sociales en France : Le pays où les inégalités se creusent 3 II. Pourquoi l’écart se creuse-t-il 

au cabinet de réflexion ou plus précisément dans NOTRE cabinet de réflexion… Les métaux… Depuis toujours, les métaux représentent pour l’homme une forme de puissance, une forme de richesse. Dans des temps anciens, la possession du bronze et du fer était synonyme de pouvoir, notamment au moyen des armes et des richesses comme l’or ou l’argent. Nous avons ainsi retrouvé dans les tombeaux des Pharaons, au moins pour ceux qui n’avaient pas été totalement pillés, parmi les objets courants et la nourriture

la consommation et au luxe. L’individu doit se contenter de ce qu’il a tout en continuant de travailler toute sa vie sans courir après la richesse. Cette richesse est le « summum du répréhensible » pour la religion protestante. L’individu doit s’accomplir tout au long de sa vie au travail. Or, l’individu consommant peu tout en continuant de travailler, sa richesse s’accumule et la tentation naturelle de consommation devient plus forte. Weber prend l’exemple de la Hollande. Alors sous l’influence du

liberté dans la poursuite de la richesse une condition de tout progrès. Il nuance à l’occasion l’ampleur des inégalités sociales. Pour mieux saisir son œuvre nous allons présenter quelques-unes de ses plus importantes propositions économiques • Les propositions économiques d’Adam Smith Bien que philosophe, la contribution de Smith se situe surtout dans le domaine économique. Sa principale œuvre a pour titre «recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations». Ce texte est considéré

plus une richesse en soit, mais plutôt un vecteur d’échange de richesse. La production monétaire est liée à la production de richesses réelles. II. Les Physiocrates XVIIIe siècle. Quesnay : économiste français. Pour les physiocrates, la terre est la variable économique de base. C’est le seul secteur qui est réellement producteur de richesse, il y a donc une prédominance de l’agriculture. Ils reprennent les bases du mercantilisme : l’important n’est pas tant l’échange de richesses, mais

capitalisme (fin XVIIIème siècle - début XIXème siècle). Les économies classiques sont les fondateurs de l’économie politique ayant pour domaine d’étude l’ensemble des activités qui concourent à la production, à la circulation et à la répartition des richesses naturelles. Les fondateurs de ce courant sont : Adam SMITH (1723-1790), David RICARDO (1772-1823), Jean-Baptiste SAY (1767-1832) et Thomas Robert MALTHUS (1766-1834) dont les œuvres s’étalent sur prés d’un demi siècle et marquent profondément successeurs