Différences Enrichissantes

refus de communication ou d'une dimension « monstrueuse » du personnage, que le refus de ne donner qu'une seule signification à ses actes. C'est au lecteur d'apprécier et de combler les lacunes de la narration, mais aussi de rester ouvert à la différence, et surtout de s'interroger sur cette personnalité déstabilisante.

à lui. Ils ne deviennent pas locuteurs, sauf à la ligne 19, mais dans une situation présentée comme invraisemblable «qu'un seul te dise, s'il l'ose.» II. LA SINGULARITÉ DU MOI ET LA SINGULARITÉ DE L'OEUVRE -Rousseau souhaite marquer sa différence, sa distance avec les autres hommes comme l’affirme les comparaisons «Je ne suis fait comme aucun de ceux que j'ai vus ; j'ose croire n'être fait comme aucun de ceux qui existent. Si je ne vaux pas mieux, au moins je suis autre. Si la nature a bien

êtes soigneux, vous » « vous êtes bien obligeant » - ( le volume verbal est e faveur de Jean, il use de verbes, de répliques + longues, alors que Berenger, le + souvent, reprend les paroles de son juge sévère. On peut noter aussi une légère différence das le niveau de lague, Berenger est un peu plus familier dans le vocabulaire « gueuele de bois » ou de la syntaxe « qu’est ce qu’elles ont mes épaules ? » - Il y adonc un et mépris exaspéré de la part de Jean et de l’humilité admirative

coupé des codes habituels du genre du roman. Il est placé devant la conscience d'un personnage dont il peine à comprendre le fonctionnement. C'est donc du lecteur d'apprécier et combler les lacunes de la narration mais aussi de rester ouvert à la différence

personnage en l'apparence assez simple mais qui devient plus complexe, notamment par son extrême sensibilité aux sensations et à sa vision confuse du monde qui annoncent le meurtre. On peut rapprocher ce texte de La Condition Humaine d'André Malraux à la différence que Meursault est un personnage passif, qui va subir les événements, alors que Tchen est un homme actif, qui agit poussé par une idée Il est étranger à la société dans laquelle il vit.  Il ne parle pas pour ne rien dire, il n’est pas très bavard

dit-il. «Alors, qu'est-ce que vous deux fait?" «Nous avons été au parc," dis-je. "Et puis la pub, nous sommes amis." J'ai vraiment apprécié ma journée avec Andy. C'est un bon gars et je suis sûr que nous pourrions être amis réels, malgré la différence d'âge de 20 ans. Notre séparation est encore un peu maladroit mais. Il n'ya pas de promesse de futurs arrangements. Juste une poignée de main et un sourire. Quelques heures plus tard, j'ai déjà commencé à oublier à quoi il ressemble.

homme n'était plus pour [lui] un homme, c'était le spectre de la misère, c'était l'apparition […] d'une révolution », l'homme devient alors le symbole de tout un peuple oppressé par une noblesse indifférente. Cependant, ces textes présentent des différences au niveau générique. En effet, le texte de La Bruyère est un portrait, alors que celui de Hugo s'apparente au journal intime et que l'auteur présente son récit comme une anecdote authentique qu'il vient de vivre : « Hier, 22 février, j'allais à

manière homogène. Ciblage : évaluer l’intérêt de chaque segment+décider de cibler ou non certain de ces segments. Positionnement ; consiste à prendre 1place ds l’esprit du conso pr ensuite décliner 1plan de marchéage : mise en place d 4P.  Les différences de segments : Segmentation de marché : découpage en sous segment « boissons sans alcool, jus, soft » Segmentation de client : découpage selon d caractéristiques : « banque, revenu, age statut » Segmentation mrk : prend en considération la

personnage en apparence assez simple mais qui devient plus complexe, notamment par son extrême sensibilité aux sensations et à sa vision confuse du monde qui annoncent le meurtre. On peut rapprocher ce texte deLa Condition Humaine d'André Malraux à la différence que Meursault est un personnage passif, qui va subir les événements, alors que Tchen est un homme actif, qui agit poussé par un idéal.

représente un danger. Elle refuse l'existence à celui qui ne partage pas la même croyance. […] L'intolérance, c'est le refus de la différence, c'est la quête sanglante de l'uniformité, le refus de toute autonomie , de toute diversité. C'est le refus de l'échange parce qu'il désarme la haine, le refus de la cohabitation parce qu'elle accepte les différences. C'est la mort. C'est la mort de la Pensée au nom d'une pensée, qu'elle soit révélée ou construite. C'est le refus du doute, qui