Différents Trains Reich

* Amélioration des conditions d'évacuations : de plus en plus de véhicules automobiles, trains sanitaires, péniches. * Organisation globale : Les H militaires sont associés pendant toute la guerre à des H de complément (ex : lycées) et à des H bénévoles (ex : châteaux). * La régulation => lourdes hécatombes : Sur les 1 350 000 tués et disparus, 135 000 seulement le sont à la suite de différentes affection (épidémie de fièvre typhoïde fin 1914, grippe espagnole à l'automne 1918). La victoire

L'occupation 3 Contraintes et Interdictions 4 Une économie sous contrôle 5 Le mur de l'Atlantique 6 Bilan pour la Vendée A – En France 1. La pénurie La vie des Français a d'abord été marquée par les pénuries. Elles s'expliquent par différents éléments : les réquisitions allemandes ; la désorganisation des transports et le blocus allié ; la pénurie de main d'œuvre et de sources d'énergie (charbon, électricité). a) Le manque de nourriture Les problèmes de ravitaillement touchent rapidement

concertée contre la crise impuissance des gouvernants politique menées dans un cadre purement national 2/ la prise de mesures protectionnistes contrôle des changes pour empêcher la fuite des K (Europe centrale et Allemagne) isolement des différentes zones monétaires : relèvement des tarifs douanier : tarif Hawley-Smoot juin 1930 EU, France à 3 reprises (1931, 1932, 1933) , RU tarif général en février 1932 (Import duties Act) dévaluation monétaire: la livre sterling cesse d’être convertible

Juifs ne peuvent aller que chez un coiffeur juif… » Anne Frank, Journal, 1942-44 A partir de 1942, les Juifs qui vivent dans les pays occupés par les nazis sont tous arrêtés, regroupés dans des camps de concentration puis déportés par des trains où ils sont entassés, sans eau, ni nourriture pendant plusieur jours vers la Pologne. Les Tziganes subissent le même sort. Certains événements furent plus marquants que d’autres et font l’objet de films ou de livres. Ainsi la rafle du Vel d’Hiv du

Berlin­Rome,  Hitler annexe  l'Autriche  en  mars  1938 Arthur Neville Chamberlain, après la conférence de Munich (Anschluss).  La  guerre  est  évitée  de justesse  par  les  accords  de  Munich (septembre),  qui,  en  acceptant  l'incorporation  au  Reich  du  territoire  des  Sudètes,  amorcent  le  démembrement http://www.larousse.fr/encyclopedie/divers/Seconde_Guerre_mondiale/122570 2/24 20/7/2015 Encyclopédie Larousse en ligne ­ Seconde Guerre mondiale de la Tchécoslovaquie. Dès mars 1939

utilisation du sport comme cadrage des esprits, les prémices des régimes totalitaires des années 30 avec une vision du sport quasi paramilitaire notamment utilisé dans les organisations de jeunes. -La pratique sportive devient obligatoire au sein des différentes organisations. Il faut « cultiver les saintes traditions italiennes ». Le sport doit permettre de former le jeune fasciste et le jeune soldat italien  perçu comme instrument éducatif, porteur de valeurs - dvpt de plusieurs organisations : 1926

et gendarmes français, sur ordre du gouvernement de Vichy, ont arrêté 13 152 personnes, puis les ont regroupées au Vélodrome d'Hiver et au parc de Drancy ; Après avoir séparé les adultes des enfants, les forces de l'ordre les ont entassés dans des trains en direction des camps de travail allemands ; comme celui d’Auschwitz qui en fait se révélèrent être des « camps d'extermination ». Bien que les lois « anti-juifs » tout comme le gouvernement de Vichy furent déclarés illégitimes dès 1941 par le Gouvernement

Destruction du régime qui était alors en place : Napoléon II. Alsace – Lorraine (Lothring) reconquise par l’Allemagne car ils considèrent que la langue (de Sarrebourg à Metz) est germanophone. Toujours vrai à Sarrebourg : on parle le francique (différent de Strasbourg : Alémanique). C’est important que la langue soit invoquée par les allemands car le critère objectif à la construction de la nation allemande est la langue. Les gens qui sont les locuteurs de la même langue appartiennent à la même nation

« investigations historiques sur la collaboration francophone ont été peu profondes en comparaison avec ce qui s’est passé en Flandres. Les nationalistes flamands s’allièrent pendant les deux guerres mondiales avec l’Allemagne en croyant qu’avec le soutien du Reich il leur serait plus facile de se débarrasser du joug belge. Un historien , Francis Balace, rappelle dans le journal Le Soir que pendant que le parti du grand-père de De Wever comptait avec 100.000 suiveurs, les suiveurs de Leon Degrelle, protégé après

temps, elle manifeste de désarroi de l’artiste qui se trouvera dans l’incapacité matérielle et peut-être morale de continuer à exercer son art pendant qu’il est soldat. C’est pourquoi, paradoxalement, il se représente à la fois dans son atelier en train de peindre et dans l’incapacité de le faire, privé de main droite. Cette peinture a les caractéristiques de l’art expressionniste allemand : des couleurs vives, même criardes qui contrastent entre elles, un dessin volontairement sommaire, pour exprimer