Dignité Du Corps Humain

le mercredi 22 octobre 2014 et il est à peu près 9h00. Le mercredi est le jour de la semaine où Mme R., une des résidentes que je me suis vu attitrée, est censée être accompagnée à la baignoire. Mme R , âgée de 86 ans, souffre d'une démence à corps de Lewy. Cette maladie se caractérise par différents symptômes dont une détérioration progressive des fonctions cognitives (attention, mémoire, repéres spatio-temporaux), de troubles du sommeil, et parfois d' hallucinations. De plus, cette résidente

hospitalisation. La pudeur est un sentiment de gêne qu’une personne peut ressentir à l’idée de montrer une partie ou la totalité́ de son corps, ou de rendre publics des sentiments ou des émotions estimes comme intime. La pudeur dépend pour chacun de son éducation, son vécu, sa culture, ses croyances. L’intime est sans conteste une composante essentielle de l’être humain. Selon le dictionnaire le Petit Robert : « Caractère de ce qui est intérieur, intime et profond. Ce qui est contenu au plus profond d’un

projet politique et social qui se dresse contre « l’obstination déraisonnable » de la médecine à vouloir à tout prix maintenir une personne en vie. Il souhaite redonner au mourant le pouvoir de décider de sa mort, lorsque les conditions de sa dignité ne sont plus réunies. Des formes multiples d’euthanasie L’euthanasie recouvre des actes de nature diverse : On appelle euthanasie active le geste d’un tiers qui donne la mort au malade. L’euthanasie active est alors dite par action

  logement,   droit   à   l'image   autonome   par   rapport   au   droit   au   respect   de   la   vie  privée,  droit  à  la  voix,  droit  au  respect  de  la  dignité  humaine  _,  loin  de  marquer  la  vitalité  et  la   prospérité  des  droits  de  la  personnalité,  sont  les  traces  d'un  déclin,  non  seulement  par  surcharge   de

droit à la dignité, - droit à la santé Droit à la dignité : Déclaration des droits de l’homme de 1948 « Tous les hommes naissent libre et égaux en dignité et en droit Consécration du principe en tant que valeur constitutionnel : la Bioéthique de 1994 art 16 Code civil = assure primauté de la personne, interdit toute atteinte dignité et garantie le respect de l’être humain dans le commencement de sa vie » Code spécifique infirmière : Fait obligation à l’infirmière de respecter la dignité du patient

le vivant, humain et non humain, s’est ciblée sur la question du rapport au corps humain. Donc comment doit-on agir à l’égard du vivant humain, du commencement de son existence, à la fin de sa vie. Peut-on le manipuler, le transformer, et notamment à l’aide du clonage ? A ce sujet, deux philosophies se dessinent et semblent antagonistes. D’un côté, il y a l’approche restrictive qui défend l’idée qu’il faut plutôt limiter cette nouvelle liberté que les hommes ont sur le vivant humain. Il s’agit

l’aider à réaliser sa toilette au lavabo, et lui préparer ses affaires, car elle sort aujourd’hui pour retourner à la maison de retraite où elle séjournait. Je prends avec moi 2 serviettes de bain et 3 gants de toilette (un pour le visage, un pour le corps, et un autre pour la toilette intime). Je frappe à la porte de sa chambre, et n’entendant pas de réponse, je rentre et m’approche d’elle. Voici ce que j’observe : MME B. est allongée sur son lit, à moitié endormie. Je le réveille en douceur, elle

Arthur Gobineau écrit : « S’il y a des civilisations plus avancées que d’autres, ce serait la preuve de l’inégalité biologique des races humaines. » 2- Position de Bergson : la diversité culturelle comme l’expression de l’unicité du genre humain et de la fécondité des peuples. 2 - La diversité culturelle ne traduit pas la division de l’espèce humaine. Selon Marcien TOWA, « elle montre, (…), son identité générique ». - Les différences culturelles qui apparaissent entre les hommes doivent

existe de nombreux points de similitudes. {draw:frame} {draw:frame} Sa parenté avec l’animal semble parfois évidente. Tout d’abord, ils ont des ressemblances physiologiques et reproduisent certains mécanismes. Mais au-delà du corps sont-ils semblables ? De plus, c’est un corps qui s’entretient : il a besoin de repos et notamment d’être nourrit. Effectivement l’homme tout comme l’animal a des besoins nutritionnels. Néanmoins l’entretiennent-ils de la même manière ? Les hommes n’ont-ils pas besoin avant

l'être humain Edmond Wagner I. Considérations préliminaires II. Les principales règles d'orientation concernant les interventions sur l'être humain A. Les étapes d'une décision médicale (d'après J. Illhardt) B. La justification des décisions 23 23 24 24 III 1 2 2 3 4 4 5 7 9 9 10 10 10 11 15 C. Autres règles d'orientation III. Application des lignes d'orientation à deux exemples concrets A. Interventions sur le corps humain en vue de l'utilisation de certains produits de ce corps B. Les