Dilemme éthique

s’accomplir est apparemment un but légitime de l’existence humaine. Ainsi, de nombreux philosophes ont pensé le désir comme étant se qui caractérise l’homme. En particulier, Spinoza fait du désir ce qui constitue la nature humaine : → Spinoza, Ethique, troisième partie, définitions des sentiments. « Le désir est l’essence même de l’homme, en tant qu’elle est conçue comme déterminée, par une quelconque affection d’elle-même, à faire quelque chose. EXPLICATION Nous avons dit plus haut

Les études de marché I) La méthodologie globale Une étude bien menée quel que soit son objectif s'articule autour de 5 étapes précises : la détermination de l'objectif de l'étude le plan d'étude la collecte d'informations sur le terrain l'analyse des résultats la remise du rapport de recommandation Le schéma ci après démontre l'interactivité qu'il peut exister entre les différentes formes d'étude ainsi que leur complémentarité. Ce schéma démontre deux choses, d'une part que l'étude

الذي غدى هو ذاته في حاجة إلى إيتيقا تنير له السبيل الأصيل لتواصل حقيقي. إن واقع الإنسان اليوم، يعلن الحاجة الملحة لعودة الفلسفة الأخلاقية و الإيتيقية، فطلب الأخلاق يبدو متزايدا اليوم, ولكن ماذا نعني بالأخلاق وماذا نعني بالإيتيقا؟ إن كلمة إيتيقا Ethique الفرنسية من أصل يوناني، و تعني البحث عن نسق مبادئ تهدف إلى وجود خير وسعيد, في حين أن كلمة أخلاق Morale الفرنسية من أصل لاتيني، و تتحدد كنظرية في الجبر، نظرية في القانون والواجب الأخلاقي باعتباره لا مشروط و كوني. و يجب أن نلاحظ أن الإيتيقا تشهد اليوم

espoir de salut. - L’autorité de l’Eglise doit être une hiérarchie de pouvoirs entre des hommes. 3. Réflexion personnelle par rapport au texte a. Ethique sexuelle et tutelle imposée par les hommes. « Elles (les femmes chrétiennes) sont dominées par les préceptes d’une éthique sexuelle qui les prive de la libre décision par rapport à leur corps, et de l’acceptation joyeuse de leur spécificité de femme. Elles doivent gérer la colère générée par des tutelles

L’entreprise providence : un espace économique mondialisé sous contrôle éthique ? L’éthique d’entreprise et le terme de responsabilité sociale (RSE) mettent en avant l’image d’une entreprise possédant une force de proposition légitime. Mais, l’éthique et la responsabilité sociale font de l’entreprise un acteur économique porteur du bien commun, l’entreprise moralisant le capitalisme. Ces nouvelles thématiques datent des années 90 et gagnent peu à peu de l’importance. Mais leur but n’est pas clairement

(LETTRE A MENECEE( Partie II : ( « Ainsi le mal qui effraie le plus, la mort, n’est rien pour nous, puisque lorsque nous existons la mort n’est pas là et lorsque la mort est là nous n’existons pas. Donc la mort n’est rien pour ceux qui sont en vie, puisqu’elle n’a pas d’existence pour eux, et elle n’est rien pour les morts puisqu’ils n’existent plus. Mais la plupart des gens tantôt fuient la mort comme le pire des maux et tantôt l’appellent comme la fin des maux. Le philosophe ne craint pas

modification des principes d'action (notamment éthiques) gouvernant la conduite de vie des hommes. 13) Dans le texte il est dit : « d’après franklin , ces vertus , comme toutes les autres , ne seraient que des vertus que dans la mesure où elles seraient réellement utiles à l’individu ; et la simple apparence suffirait si elle pouvait assurer le même service. Cette conclusion est inévitable pour le strict utilitarisme. » 14) Il peut dire que cette éthique protestante n’est en aucun cas eudémoniste

Francfort-sur-le-Main de 1983 à 1994, année de sa retraite. Habermas est souvent assimilé à l'École de Francfort mais il a sans doute été plus influencé par Max Weber que par Karl Marx. Il est un des penseurs de l’éthique de la discussion avec Karl-Otto Apel, éthique qui s’inscrit dans la veine de l’éthique kantienne, tout en y apportant un certain décentrage avec l’impératif catégorique. CITATIONS DE JURGEN HABERMAS : {draw:frame} {draw:frame} «Une théorie qui entend prendre pour objet la pratique humaine

domaine économique a rencontré, lui aussi, de fortes résistances intérieures. Or, parmi les éléments les plus importants qui ont façonné la conduite de vie, on trouve toujours, dans le passé, les puissances magiques et religieuses ainsi que les idées éthiques de devoir qui sont ancrées dans la croyance en ces puissances.[1] » C'est avec L'éthique protestante et l'esprit du capitalisme, publié sous la forme de deux articles en 1904 et 1905, que naît son projet d'analyse des déterminations religieuses

pour que disparaisse le besoin de croire. II. La religion réunit là où la drogue isole La foi suppose de croire à quelque chose que l’on ne peut pas prouver, la religion pourrait ainsi être considérée comme “l’asile de l’ignorance” (Spinoza, Ethique 1) mais la complexité de la religion tout comme son universalité ne doivent-ils pas nous conduire à une vision moins réductrice ? Des auteurs chrétiens comme Lactance rapprochent le mot “religion” avec “ligare”,“religare” qui signifient respectivement