Dîme

sur la tête. Ils ont l’air de faire leurs comptes d’argent en écrivant sur un livre ce qui leur restent. On a là, la représentation parfaite de l’avarice qui est représenté de manière caricaturale et qui est poussé à l’extrême. le Paiement de la dîme L’auteur de ce tableau est Bruegel qui est un peintre qui a un style du réalisme flamand. Sur ce tableau, nous pouvons voir un village et une maison ou sont rassemblés des villageois pour payer leur dîmes. Nous avons la un représentation satirique

l’Eglise dans la féodalité L’église occupe une grande place dans ce système. En effet elle dispose des ¾ de la terre, et est donc un acteur essentiel. Elle exploite ses terres sous forme de seigneurie et percoit en plus des redevances seigneuriales, la dîme.

clercs et les moines, spécialistes du sacré encadrent la société, composé de laïc. Ils ont pour mission de conduire l'ensemble de la société au salut. En contrepartie, les laïc doivent les défendre et les nourrir, notamment par le versement de la dîme. Hiérarchie : évêque/clercs/prêtres des paroisses A partir de la seconde moitié du XIe siècle, des papes entreprennent de réformer l’Église. La papauté souhaite soustraire l’Église au pouvoir temporel, notamment en empêchant les rois et les princes

influente et s'exerce dans les domaines spirituel et temporel : instruction religieuse, cérémonies. Elle fonde des universités, suscite la construction de cathédrales, favorise les arts plastiques et la musique. Le clergé possède des terres, il perçoit la dime et reçoit des dons, moyens d'intercession entre Dieu et les hommes. Il assure la reproduction spirituelle de la société grâce aux sacrements et à la diffusion de la parole divine. Il s'occupe des pauvres et des malades dans les hôpitaux, dans les hospices

« Conduisez-vous d’une manière digne de l’Evangile du Christ» (Ph 1.27) « Que chacun de vous, le dimanche, mette de côté chez lui ce qu’il pourra, en fonction de ses moyens, afin qu’il n’attende pas mon arrivée pour récolter les dons» (1 Co 16.2) « Toute dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Eternel; c’est une chose consacrée à l’Eternel» (Lv 27.30).

pas s’attaquer aux plus faibles. L’Église sacrait, surveillait et jugeait les rois. Elle affirmait que le pouvoir de Dieu était supérieur à celui des hommes. L’Église est riche : elle possède de vastes domaines et le peuple lui verse un impôt, la dîme. Elle reçoit également des dons des fidèles. Le clergé est constitué de deux catégories d’hommes d’Église : les prêtres, qui vivent au contact des habitants, assurent les cérémonies religieuses et forment le clergé séculier avec les évêques; puis

l'Art Gothique, plus  impressionnant (plus haut, plus de lumière). Ces constructions servent aussi à enseigner les rudiments du cathéchisme ex: Tympan de St foy de Conques. Ces constructions coûtent cher. Elles sont financées principalement par la dîme. Un impôt obligatoire. L'Eglise est quant à elle exemptée d'impôts.   III - Une Eglise en lutte contre les infidèles A La répression des hérésies. Les hérétiques (ceux qui s'éloignent du dogme) se multiplient dans le même temps : Cathares, Vaudois…

chevaliers de s'attaquer aux personnes sans défense ; la trêve de Dieu interdit les combats, du mercredi soir jusqu'au lundi matin, ainsi que les jours de fête (qui sont très nombreux). III. La puissance de l'Église •  Tous les fidèles payent la dîme, qui correspond à un dixième de la récolte pour les paysans. L'Église possède de très nombreuses terres, cédées par les seigneurs ou les rois pour assurer leur salut. Les abbés et les évêques sont aussi des seigneurs qui perçoivent les revenus de leurs

de la Bastille» demeure, sans doute, l'un des épisodes les plus frappants. La «Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen», puis la «Déclaration des Devoirs», l'abolition du «droit d'aînesse», des «droits seigneuriaux», des «corvées» et de la «dîme», la rédaction de la première «Constitution», les successives réorganisations administrative, judiciaire et fiscale, la «Constitution Civile du Clergé», la nationalisation des biens du clergé, l'adoption et la généralisation du système métrique, la

contrôle les consciences, les pratiques et les croyances ; des pénitences publiques ou l’excommunication sont affligés à ceux qui ne les respectent pas. Au XIe siècle l’Eglise est riche. Elle détient sa richesse des divers prélèvements tels que la dîme, un impôt chrétien correspondant à un dixième des récoltes des paysans, des dons, ainsi que des legs de la noblesse pour ceux qui souhaitent sauver leur âme. Par ailleurs, elle possède des seigneuries dans lesquelles elle fait payer des redevances