Diphtongue

de l’articulation pendant la phonation. (L’anglais par exemple est une langue relâchée. )
Il y a une grande tension et une grande sobriété de la mimique phonatoire. Les conséquences sont:
 Stabilité du timbre: il n’y a pas de diphtongues. (L’anglais a beaucoup de diphtongues) “C’est chaud” en français il y a deux voyelles, en anglais quatre. Absence des consonnes affriquées: /ts-dz/ et /tsc-dg/ Ils ont disparu dans le français moderne parce que la tension musculaire est net et les consonnes occlusives

/i:/ tendu vs. /I/ relâché : issue, rich/reach, athlete, (voir paires minimales) Réduction des voyelles inaccentuées : College, elevator, senate, rural, Britain, anonymous, unanimous, image, pressure, money, women Réalisation des diphtongues et opposition voyelle diphtongue : theory fear /idea / ID beer /bear law / low , saw /sow, cop / cope, cost / coast (low cost!) write / written Consonnes : Thirst / first L parasite : could, would, world, walk h parasite : (h)*even / heaven h omis : whole (≠ wall)

pour protéger les poumons de l’arrivée inopinée d’une nourriture ou une boisson qui se seraient trompés de chemin. Il ne semble pas avoir été fait pour permette une telle diversité de sons, d’inflexions, de hauteur, d’amplitude, de modulations, de diphtongues. Et il continue d’évoluer. La plus récente évolution de maîtrise de la voix est peut être, dans notre monde occidental, l’acquisition par les chanteurs lyriques du fin XVIII° début du XIX° siècle, de ce surplus  d’amplitude par un geste de protection

son spectre vocal qui lui est propre [plus fiable que les empreintes digitales pour différencier deux individus]. La voix se caractérise aussi par : - la largeur du parler ; en allongeant les voyelles, en appuyant sur les syllabes longues et les diphtongues, on peut parler plus loin. l'accent, il est basé sur les voyelles. III L'ARTICULATION C'est le détachement et l'enchaînement correct des sons et en particulier, la netteté des consommes. Elle peut être déficiente sur : . . . les syllabes

naturelle (...) est que ceux qui montrent à lire, n’apprissent d’abord aux enfants à connaître les lettres, que par le nom de leur prononciation. » Pascal donne des indications sur l’ordre de présentation des lettres et des divers cas avec ou sans diphtongue, etc. « Et ensuite on leur apprendrait à prononcer à part, et sans épeler, les syllabes ce, ci, ge, gi, tia, tie, tii... » Contributions aux sciences physiques [modifier] Expérience des liqueurs [modifier] Statue de Pascal sous la Tour Saint-Jacques

l’inaccessible Idéal, thème cher à Baudelaire. LECTURE ANALYTIQUE 3 PERMETTANT LA REDACTION DU COMMENTAIRE 1er quatrain L’environnement urbain se résume d’abord à une sensation de bruit, transcrite par les allitérations et des diphtongues sourdes « ou », « au », « an ». La position centrale du pronom personnel sujet « moi » traduit l’encerclement du sujet poétique par la ville. Dès le 2ème vers, s’amorce la description du personnage : deux adjectifs qualificatifs, « longue »

de 'h aspiré', par opposition au 'h muet' où l'élision et la liaison se font : l'homme, un homme, les hommes [lɔm], [ɛ̃nɔm], [lezɔm]. Cette terminologie devrait être abandonnée car il n'y a pas de son [h] en français. • Le français n'a pas de diphtongues, c'est-à-dire de voyelles uniques dont le timbre initial et final sont différents, comme dans la prononciation [aʊ] de l'anglais cow. Une graphie française comme 'ai' est un digramme, pas une diphongue. • Un silence provoqué par l'accolement brusque

reste des archaïsmes comme événement). III - L'accent circonflexe Sur toutes les voyelles, sauf le y. Il a été aussi appelé chevron (usage attesté par Littré). Il a été introduit en 1532 par Jacobus Sylvius, qui s'en servait pour marquer des diphtongues : les boîs. Certains, peu après, l'utilisèrent pour marquer la chute d'un e à l'intérieur d'un mot : vrai^ment, il pai^ra. En 1618, il a commencé à servir pour marquer la suppression d'un s : tôt, toûjours, soûtenir, plûtôt... ; cet emploi a été

encore de la neige (la neige maléfique du souvenir malheureux?) et que, signes du « printemps clair », les apiculteurs brûlent « les ruches blanches », que « les oiseaux chantent » (dans un vers dont la légèreté tient à la succession harmonieuse des diphtongues nasales : « oi » « eau », « an » « an »). Strophe 39 : De nouveau se présentent des mots recherchés : « argyraspides », « dendrophores ». Or « argyraspides », qui peut laissser perplexe, signifie argent + bouclier et était le nom des hommes

compris chiken crap « les intestins de poulet », et a eu du mal à se contenir. Je m’étais mal fait comprendre, pour des raisons non pragmatiques, mais phonétiques : en anglais, crêpe, parfois orthographié sans accent circonflexe, se prononce avec une diphtongue [ej]. Par ailleurs, on a incompréhension et malentendu à la fois quand les mots attribués à l’interlocuteur appartiennent... à une langue que celui-ci n’a pas utilisée. On connaît l’histoire de guerre des deux officiers allemands qui, un jour, se