Dis-moi qui tuer

dévalorisées : elles sont mal coiffées, mal rasées, elles ont les yeux creusés, cernés et fatigués, elles ont des têtes effrayantes et sont jeunes. Les auteurs de cette affiche veulent nous montrer à quel point elles sont dépitées à l'idée de se faire tuer. Ces personnes allaient être torturées puis fusillées au Mont Valérien le 21 février 1944. Lors de cette arrestation c'était Missak Manounchian qui en était le chef actuel, d'où le nom du groupe. Celui-ci faisait partie des Francs-tireurs et Partisans

1.Lorenzaccio est une œuvre écrite par Musset publiée en 1834. Florence est au cœur de la tyrannie; Lorenzo voué à la restauration de la République se lance dans une lutte pour tuer son cousin, tyran de Florence, le duc Alexandre de Médicisis. La pièce a été publiée dans la nouvelle édition en deux volumes d’Un spectacle dans un fauteuil, elle a donc été écrite pour être lue et non pour être jouée pourtant, la corruption régnant à Florence se donne à voir car celle-ci est omniprésente ; elle est

Fernande, ma soeur ( quand je vois Fernande, je bande …) Elle fait toujours sa tête de cochon quand je dis ça ! Simone, ma soeur et son mari, Raoul, toujours en train de picoller et fumer des joings ! Philibert, mon neveu, comme son papa Gustave, il est toujous coiffé bizard ! Walter, mon neveu, toujous en train de faire le con sur les photos ! Rocky, mon neveu, il se croit James Bond, il veut tuer tout le monde ! Jean-Edouard, mon neveu, il veut être chanteur mais à mon avis, c'est loupé

des buildings et gabriel dis qu'il sont dans central park.. il vont voler un telephone a ptit gros espagnol voler un voiture et vendre la mintre du marie de D'alice. Tous les deux vint parcouriir la ville afin de pouvoit resoud e cette egnime.. A la fin on apprend qu'alice est atteinte de la maladie d'aizeimer a 38 ans et ue gabriel n'est pas un jazzman mais un psycitherapeutrr et qu'il est fous amoureux dAlice dt qu'ensembke il vainqueront la maladie. Sue son pe e a tuer v ghn. JE recommande se

Il ne restait rien à part un trou rageur dans le bois et plein de copeaux de bois sur le sol. Anéantir les preuves. Dégâts collatéraux... Je savais ce qui allait arriver maintenant. La fille s'assiérait à côté de moi, et je voudrai la tuer. Les élèves innocents de cette classe, dix-huit autres enfants et un homme, qui ne pouvaient pas quitter la salle en voyant ce qu'ils allaient voir. J'hésitais à la pensée de ce que je devais faire. Même dans mon pire état, je n'avais jamais

d'habitude. - Il n'avait pas l'air méchant? - Mais non. Puisque je vous dis qu'il était comme d'habitude. Vous savez qu'il n'était pas très rigolo; bien, il continuait à n'être pas très rigolo, mais tout juste. Bien gentil, quoi! - Bon. Alors, qu'est-ce qu'il t'a dis? - Il m'a dit : «Est-ce que tu as des oies?» J'y ai dit : «Oui, j'ai des oies; ça dépend.» - «Va m'en chercher une.» J'y dis : « Sont pas très grasses», mais il a insisté, alors j'y ai dit : «Eh bien, venez.»

n’a pas oublier que tu as aveuglé son fils. Peut-être que allez vous tous rentré mais, d’abord vous allez beaucoup souffrir. Il faudra que tu sois ferme avec ton équipage surtout quand vous arriverez sur l’île du trident car vous serez tentée de tuer des bœufs du troupeau d’Apollon. Mais ton sinon bateau disparaîtra et ton équipage mourra si vous touchez a un de ces bœufs tu réussiras peut-être a rentré chez toi mais ce seras après plein de souffrance et dans un état misérable . si tu n’y touche

complaisais à voir mourir ou à infliger moi-même la mort. Je cherchais à détruire les guêpes et toutes sortes d’insectes nuisibles dans le jardin de mes parents. Je ressentais une certaine joie sadique à tuer! Mais voila Depuis quelques années chez constaté chez moi un certain changement: faussé par le désir de tuer plutôt que de juger, je voulais moi-même commettre un crime. Désir comparable, peut-être, à l’effort de l’artiste pour s’extérioriser…Il me fallait commettre un crime sensationnel…fantastique. Voila

lesquelles j’ai l’impression d’absolument tout voir. Je me fais tabasser et castre Cazeneuve et frappe une femme dans la bagarre. Je retrouve mes esprits avec Coudrier qui m’interroge car j’étais présent lors des 3 explosions. Il me croit quand je lui dis que ce n’est pas moi. Je refuse de porter plainte pour les coups. C’était Léonard le prof à la réunion sur l’avortement qui est mort. Je rentre alors chez moi. Théo est chez moi et dit qu’il est content que Léonard soit mort car c’était un fumier

la moindre idée de ce qu'elle contenait, ni qu'elle allait saper les fonda ons sur lesquelles reposaient nos vies, à savoir les factions, nos identités. — C'est peut-être une de tes grand-mères ? Une tante ? Un truc comme ça ? — Puisque je te dis que non, répliqué-je. Prior est – était – le nom de mon père ; elle serait forcément de sa famille. mais à ma connaissance, c'était tous des érudits. Et Edith est un prénom altruiste. Alors… — Alors ça doit être plus ancien que ça, suggère Cara.