Dis-moi qui tuer

c’était ses yeux ou sa bouche qui me montré cette expression, une expression d’effrois, de peur. Que devais-je faire avec ce meurtrier innocent, pour le moment. Allait-il me tuer ? Voulait-il me torturer, pour que durent mes souffrances ? Je n’espérais rien de cela, mais tout de même, un meurtrier n’est-il pas supposé tuer sa victime, et non la regarder de haut en bas, d’autant plus quand cette dernière est nue, pensais-je en frissonnant. L’horloge sonna neuf heures du matin, je devais aller au

découvrir que l'autre vie, respire, souffre, meurt? Dis-moi! Toi, bourreau des âmes, qui te moque de tous et s'amuse à tracer des brûlures sur mon cœur. Ce cher cœur endoloris se meurt en silence. Et mon âme, ridée et consumée par la peine et le chagrin que même mon corps n'ose plus refléter son image. Toi encore, toujours et a n'en pas finir, toi dont je n'arrive à me passer malgré tous. Masochiste, je le suis je l'avoue, mais tu es le seul à me tuer une fois et me souffler la vie une autre, à me faire

faire Aucun emblème pour laquelle tuer ou mourir Et aucune religion non plus Imagine le monde entier Vivant dans la paix... Vous pouvez dire que je suis un rêveur Mais je ne suis pas le seul J'espère qu'un jour tu nous rejoindras Et le monde sera comme un Imagine aucune possession Je m'en émerveillerai si tu le peux Plus besoin d'avidité ou de famine Une fraternité entre homme Imagine le monde entier Partagant la planète entière... Tu te dis peut être que je suis un rêveur Mais

Sujet : Faut-il toujours savoir la vérité. Intro : En règle générale, on demande toujours de nous dire la vérité : « Dis-moi la vérité », « Je veux savoir », parce que l’on veut tout savoir surtout, même quand cela ne nous concerne pas. On veut que nos amis, notre famille, nous dise tout, on veut être au courant de tout. Mais est-ce qu’on est obligé de tout le temps avoir cette vérité ? Etquelle vérité ? La vérité, c’est la propriété d’une idée d’être conforme à la réalité. Le sujet nous demande

Psychiatrique L’infirmiere : Tu as repris conscience Véronika : Je suis où? L’infirmiere : À Veillette le célèbre et redoutable asil de fou Véronika panique L’infirmière : Ma tante c’est suicidé il y a quelques mois. Véronika : Pourquoi tu me dis sa, qu’est ce que j’ai à voir avec ça? Je ne suis pas ta tante. L’infirmière : Tu sembles nerveuse, je ne sais pas si tu as des regrets ou si tu veux encore mourir, tout ce qui m’interesse c’est de faire mon métier, si le patient se montre agité je

investigations lui dévoile que Roger THIRAUD a découvert qu'un certain Veillut Directeur des affaires Criminelles a organisé le transfert de familles juives pour le camp de concentration de Drancy. Mais Veillut a profité des troubles du 17 octobre 1961 pour le tuer. Bernard Thiraud, le fils, a voulu terminer le livre de son père et parvenu aux mêmes conclusions sur les déportations de juifs, a subi le même sort que son père vingt ans après. Estelle Notre avis Nous avons bien aimés ce livre, car ce livre

valet rusé du nom de Scapin qui se propose de tout arranger. Dans la scène 2 de l’Acte III, non loin du dénouement, Scapin a fait croire à Géronte, dont il veut se venger des mauvais traitements qu’il a subis de sa part, qu’on le cherche pour le tuer, et va le persuader de se cacher dans un sac. LECTURE PROBLEMATIQUE : En quoi le jeu du valet va-t-il produire une scène particulièrement jubilatoire ? Il s’agira d’étudier, dans un premier temps, la mise en place du stratagème et dans un second

ce qui me prouve ? Les choses clichés qui portent à croire sont invisibles dans notre couple. Il baisait sans capote avant, mais a present cest avec capote , il me dit meme pas quil attendra les 3 semaines pour la pillule pour me rassurer , je lui dis plus que je laime que lui , il oublie de menvoyer un message gentil, il minsulte parfois parce que c’est un nerveux, il faut toujours que je sois à sa disposition. Oh non mais il sait pas à qui il a affaire le pauvre mec. Je vais le faire souffrir à

thème de cette pièce est la tentative de la révolution russe de 1905. Albert Camus s’est inspiré d’événements historiques réels ayant eu lieu à cette époque. En plus je cite: « Tous mes personnages ont réellement existé et se sont conduits comme je le dis. J'ai seulement tâché de rendre vraisemblable ce qui était déjà fait.2» Ce qu'a fait Camus, c'est qu'il a changé un petit peu les noms des personnages. Des jeunes du parti socialiste révolutionnaire se mettent ensemble pour organiser un attentat. Ils

un bruit. C'était un soldat ennemi qui était venu lui  aussi s'y abriter. Sous panique, je lui ai mis un coup de couteau, à cet instant  précis, je me suis dis : " Sois moi, sois lui, c'est une question de seconde ". Et oui, je ne pouvais pas m'imaginer un seul instant que si je le laisserais en vie  il n'aller pas en profiter pour me tuer. J'ai donc sauver ma peau.. quelques minutes après l'acte, j'ai réellement  pris conscience un peu plus tard, que j'étais devenu un criminel..  que j'avais tué